On savait que l’addition serait salée, mais on ne se doutait pas qu’elle serait d’une telle ampleur. Le PIB français s’est donc replié de quelque 2.2 % pour l’exercice 2009. Un chiffre qui traduit les proportions de la récession économique qui a été la conséquence de la crise financière et du crédit amorcée fin 2007.
Pour autant, le coût de ces décisions et la baisse des recettes fiscales seront longs à être rattrapés et le déficit correspondant sera long à être remblayé…