Le gouvernement a pris la décision de maintenir les taux d’intérêt à un faible niveau concernant la dette fédérale. C’est pourquoi il a prévenu les libéraux en rendant publics des documents qui démontrent cette prise de décision. Pourtant, cela peut engendrer des problèmes à moins que la Banque du Canada ne soit intervenue.
Justification économique clé
Rappelons que si les taux d’intérêt se montrent particulièrement faibles, c’est à cause d’une justification économique clé. Celle-ci est en liaison avec les dépenses à valeur importante ainsi que les déficits qui ont été installés par le gouvernement. Ceci a en effet été mis en place dans le but de soutenir la finance des entreprises ainsi que les travailleurs qui ont été victimes de la crise sanitaire.
Des taux d’intérêt élevés pour des obligations sur le long terme
À savoir que les obligations conçues pour le long terme sont proposées à des taux d’intérêt particulièrement élevés. Effectivement, cela n’est pas le cas des options à court terme. Ces dernières ont effectivement la capacité de bloquer les taux d’intérêt de la dette, ce qui leur permet d’être à un faible niveau. L’aide de la Banque du Canada est d’une importance capitale pour Ottawa afin de maintenir les taux d’intérêt à un faible niveau.
Des documents explicatifs à disposition
Des documents concernant les taux d’intérêt ont été fournis à la ministre des Finances, Chrystia Freeland. Ceux-ci mettent en avant l’interdiction de favoriser toute nouvelle obligation sur le long terme. Cela a bien évidemment la raison de combler l’appétit limité des investisseurs.
Il existe également des documents qui ont été adressés à La Presse canadienne. Ceux-ci mettent en évidence la Loi concernant l’accès à l’information. Ils soulignent également des obligations qui peuvent affecter les rendements. Pourtant, ce problème peut être résolu par la dissolution de la banque centrale.
À savoir que le gouvernement a proposé des obligations à 50 ans une fois cette année. De cette manière, la vente s’est passée dans de bonnes conditions, malgré le fait que la Banque du Canada a fait ralentir le déroulement des achats d’obligations. De cette manière, Ottawa nécessite son intervention afin d’amoindrir la valeur du taux d’intérêt.