Jack Dorsey, le fondateur et PDG de Twitter (également de la plateforme de paiement Square), a déclaré mardi qu’il ferait don d’un milliard de dollars de capitaux propres à son fond « Start Small » pour financer l’aide COVID-19 dans le monde. Jack Dorsey a fait cette annonce dans un tweet, révélant que la somme équivaut à environ 28 % de sa valeur nette actuelle, soit environ 3,6 milliards de dollars. Cette annonce marque l’effort philanthropique le plus important de la carrière de ce cadre technique de 43 ans.
I’m moving $1B of my Square equity (~28% of my wealth) to #startsmall LLC to fund global COVID-19 relief. After we disarm this pandemic, the focus will shift to girl’s health and education, and UBI. It will operate transparently, all flows tracked here: https://t.co/hVkUczDQmz
— jack (@jack) April 7, 2020
Dorsey est loin d’être aussi riche que des magnats de la technologie comme Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Bill Gates, co-fondateur de Microsoft, et Jeff Bezos, PDG d’Amazon. Pourtant, grâce à la performance des actions qu’il possède à la fois sur Square et Twitter, il est toujours milliardaire et, jusqu’à l’année dernière, il n’avait pas encore prévu de donner la majorité de sa fortune au-delà de l’existence du fond Start Small.
Pourquoi maintenant ? Jack Dorsey aurait pu opérer cette opération de dons humanitaires et philanthropiques à d’autres moment cependant pour lui les besoins sont de plus en plus urgents, et souhaite voir l’impact de son vivant, a t’il déclaré.
Il espère ainsi que cela inspirera d’autres personnes à faire quelque chose de similaire.
La vie est trop courte, alors faisons tout ce que nous pouvons aujourd’hui pour aider les gens maintenant
a déclaré Jack Dorsey
Le femme de Jack Dorsey a déclaré qu’après la fin de la pandémie, le fonds se concentrerait sur la santé et l’éducation des filles et sur les efforts de « revenu de base universel ».
C’est Mme Dorsey, directrice générale de Twitter et de Square, qui a créé une fondation ainsi que la « Start Small LLC ».
Le modèle est similaire à celui établi par le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, dans son initiative Chan-Zuckerberg, ce qui permet une certaine flexibilité dans le financement des start-ups et des efforts qu’une fondation peut ne pas être en mesure de financer.