La société Goodvest se concentre sur des solutions d’assurance-vie responsables et transparentes et accompagne de nombreux investisseurs en leur offrant la possibilité d’allier rentabilité et responsabilité écologique. La fintech Goodvest est une entreprise à mission qui fournit la première épargne sous forme d’assurance-vie en pleine conformité avec l’Accord de Paris. L’entreprise propose des solutions d’investissement transparentes et écoresponsables pour relever les défis du monde de demain. À noter que jusqu’à présent, l’épargne des Français est encore fortement investie dans les énergies fossiles ou d’autres filières nocives pour l’environnement. Ce qui est incompatible avec le scénario à deux degrés défini par la COP 21. L’épargne est même la première source d’émissions françaises de dioxyde de carbone ! Avec Goodvest, vous pouvez investir de manière totalement durable sans sacrifier la rentabilité.
L’économie au service de l’écologie
Ces dernières années, la montée en puissance de la finance dite « verte » a suscité l’intérêt des Français. L’Institut français de l’opinion publique (Ifop) a révélé qu’en 2021, six répondants sur dix déclarent accorder de l’importance à l’impact environnemental dans leurs décisions d’investissement. Pourtant, quand on regarde les acteurs de l’épargne française, il n’y a toujours pas d’autres options pour investir de manière responsable, et le plus important est de pouvoir investir facilement. C’est pourquoi Goodvest est né.
Cette startup française fondée par Antoine Beneteau et Joseph Choueifaty est née à Paris en 2020. Les deux jeunes fondateurs ont fondé Goodvest sur la base de constats : Le secteur de l’épargne se développe trop lentement, manque de transparence, et n’est pas conforme aux valeurs et croyances des Français.
« L’épargne moyenne des Français est investie dans la trajectoire de 4 degrés de réchauffement climatique », a-t-il ajouté. Afin de se conformer à l’Accord de Paris, GoodVest s’est associé à Carbon 4 Finance, une société de conseil spécialisée en stratégie carbone et l’un des principaux fournisseurs de données sur les émissions de dioxyde de carbone. La société a été cofondée par Jean-Marc Jancovici, l’un des porte-parole de l’investissement responsable et de l’environnement en France.
Les données Carbon 4 Finance leur permettent d’analyser les émissions directes et indirectes des entreprises sélectionnées. En étudiant l’empreinte carbone de ces derniers, Goodvest a exclu certains secteurs, comme l’armement, l’industrie du tabac, et les secteurs qui violent le Pacte Mondial des Nations Unies, notamment ceux directement ou indirectement liés aux énergies fossiles. C’est une vraie révolution, car s’il existe des labels qui permettent d’utiliser l’épargne pour des investissements socialement responsables, aucun d’entre eux ne prend en compte l’empreinte carbone ou l’impact sur la biodiversité, et seul un tiers des systèmes existants n’intègre pas les énergies fossiles.
Différents labels pour l’ISR
Ces labels s’appliquent aux sociétés d’investissement qui « réalisent » des investissements, et non aux sociétés qui gèrent des investissements d’entreprise. Il existe plusieurs labels ISR. Le label ISR, a été créé par le Ministère des Finances. Pour obtenir ce label, la société de gestion doit déterminer des objectifs de gestion responsable, revoir les modalités de son choix de société d’investissement et mesurer l’impact de son choix. Le label fonctionne sur des principes de premier ordre, ce qui signifie que l’entreprise choisira l’entreprise la plus éthique dans chaque domaine d’activité. Trois normes sont à retenir : la société, l’environnement et la gouvernance.
Le label Greenfin a été récemment créé par le ministère de la Transformation écologique pour utiliser l’épargne pour l’investissement vert. Par conséquent, le label met l’accent sur les normes environnementales et écologiques. En particulier, il n’inclut pas les entreprises de l’industrie des combustibles fossiles et de l’industrie de l’énergie nucléaire. Pour obtenir le label, la société de gestion doit allouer l’essentiel de ses actifs à des entreprises exerçant des activités écologiques dans huit secteurs, dont l’énergie, les transports propres ou l’agriculture.