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Quel est le meilleur investissement ?

Le marché de l’investissement est très vaste, les avantages d’un investissement réalisé en l’an 2000 ne sont pas comparables à ceux de 2020. Il y a vingt ans de cela, les épargnes étaient encore bénéfiques parce qu’on pouvait encore s’enrichir avec les intérêts. Alors que depuis presque 10 ans, on voit que les taux d’intérêt sur les livrets règlementés s’affaiblissent et à présent celui du livret A n’est que 0,5%. Rien de motivant, cette situation risque de faire fuir les épargnants soit de faire fructifier leur argent. Alors sur quel type de placement devrait-on se tourner en 2022 ? En effet, des placements de haute performance existent toujours sur le marché, mais il suffit de les détecter et de les adapter aux besoins.

Quels sont les meilleurs placements boursiers ?

En termes de placements boursiers, on distingue les actions et les obligations et le choix dépend de chaque investisseur. En effet, le choix porte toujours sur l’horizon de rentabilité du placement, mais aussi de la capacité financière de l’investisseur.
Les actions génèrent en moyenne un rendement de 10% sur un portefeuille d’actions bien diversifié. Bien que les actions constituent le type de placement financier le plus rentable sur le long terme, opter pour les actions nécessite une étude des performances historiques des marchés financiers. En effet, les marchés financiers peuvent subir des fluctuations à tout moment alors que la rentabilité des actions dépend essentiellement des indices sur le marché et il est envisageable de faire une moins-value sur le placement. De cette façon, pour que les actions soient rentables, il faut se projeter sur un placement de 15 ans au minimum puisque la performance d’un marché financier est très irrégulière. Cependant, les actions présentent deux avantages principaux, notamment la réduction fiscale, mais aussi les frais de gestion relativement faibles, mais ces avantages reposent en fait du support d’investissement choisi par l’investisseur. Dans ce type d’investissement, on peut citer par exemple l’assurance vie ou le PEA.
Contrairement aux actions, les obligations subissent moins les fluctuations indiciaires des marchés financiers, c’est pour cette raison qu’on dit qu’elles sont moins volatiles. Les obligations sont plus précisément des titres financiers cotés en bourse. Elles génèrent un rendement plus faible que les actions puisque la performance annuelle moyenne est estimée à 5% dépendant du type de support. Considérées comme un prêt octroyé à l’État ou aux entreprises pour financer divers projets de développement durable, les obligations ne sont rentables que si la durée du placement ne s’étale que sur le moyen ou le long terme. À titre d’exemple d’obligation, on peut distinguer les ETF dont les frais de gestion sont modérés et la disponibilité du capital est instantanée.

Quels sont les meilleurs placements immobiliers ?

Il est vrai que tout investissement comporte des risques et s’avère être contraignant puisqu’il s’agit d’un engagement conclu entre deux entités différentes. Mais heureusement, il existe différents types de placements immobiliers plus ou moins garantis, dont les foncières cotées comme la SIIC, mais aussi les SPCI. Mais qu’est-ce qui différencie ces placements immobiliers ?
La SIIC ou société d’investissement immobilier cotée n’est autre qu’une foncière cotée, il s’agit en fait d’une organisation cotée en bourse dont la principale activité repose sur la gestion de parc immobilier commercial ou résidentiel. La foncière cotée offre en effet plusieurs privilèges, notamment la disponibilité du capital à tout moment, mais aussi la possibilité de diversifier les supports de l’investissement avec des frais de gestion très raisonnables. Qui plus est, la foncière cotée permet de profiter d’une défiscalisation surtout si le type de support choisi concerne l’assurance vie. Toutefois, la SIIC est contrainte des fluctuations indiciaires du marché financier dans lequel elle évolue.
Ensuite, il y a la société civile d’investissement immobilier ou SPCI dont la finalité consiste à la conquête et la gestion de bien immobilier sous location afin d’en tirer une plus-value. Elle présente des caractéristiques disparates à celles des foncières cotées comme la SIIC puisque les revenus annuels dégagés par la SPCI sont assez faibles à raison de 4,35%. En revanche, la société civile d’investissement immobilier offre une rentabilité plutôt sédentaire que les placements volatils comme les actions. Et bien que les frais de gestion d’un contrat en SPCI soient assez onéreux, ce genre de placement offre généralement une prime d’ouverture pouvant aller jusqu’à 12% du capital placé. En outre, les revenus des SCPI à titre de revenus fonciers sont taxables.

Les organismes de placement collectif immobilier

Ils vous offrent la possibilité d’investir dans l’immobilier sur le long terme. Vous n’allez donc pas subir les contraintes de ce placement même au bout de plusieurs années. Pour ce faire, vous devez simplement acheter certaines parts dans l’organisme de placement collectif immobilier de votre choix. Il existe deux formes juridiques d’OPCI. La première est une société anonyme à capital variable et vous permet d’avoir des actions dont vous allez pouvoir vous servir sur les marchés financiers classiques. La seconde est en revanche ce que l’on nomme : un fond commun de placement. Lorsque vous achetez des parts d’une FPI, la société de gestion va administrer en votre nom toutes les parts que vous allez détenir. Souscrire à un OPCI comporte de nombreux avantages notables :

  • Un investissement immobilier simple : il n’est absolument pas difficile de réaliser cet investissement immobilier. En effet, sa gestion se fait par l’intermédiaire d’experts qui sont spécialisés dans l’immobilier ;
  • Un placement peu risqué : il permet de bénéficier de la stabilité du marché immobilier ;
  • Des revenus complémentaires : avoir une part dans une OPCI vous permet de bénéficier de revenus locatifs.

En quoi consiste l’investissement dans un immobilier locatif ?

Investir dans un bien locatif meublé consiste un investissement très lucratif dans la mesure où le choix de l’investisseur soit rationnel. Un investissement est rationnel lorsque l’emplacement choisi a été bien étudié, mais aussi que le bien acquis réponde aux besoins des locataires, mais surtout des normes de performance énergétique exigée pour trouver rapidement des locataires.
Lorsqu’on décide de se lancer dans ce type d’investissement, le choix peut porter sur l’acquisition d’un immobilier neuf ou bien ancien, les deux présentent presque les mêmes avantages fiscaux selon la durée d’engagement de la mise en location. Si le choix porte sur un immobilier neuf, il vaudrait mieux tacher à ce que le bien répond aux conditions éligibles au dispositif Pinel. De la même manière, il faut veiller à ce que les conditions d’éligibilité au dispositif Denormandie soient respectées si le choix du patrimoine à acquérir porte sur un bien ancien.

Quels sont les meilleurs placements sans risque ?

Précédemment, il a été dit que tout investissement présente des risques en général, mais il existe cependant des placements sans risque ne subissant d’aucune dépréciation indiciaire quelconque. À ce titre, on peut citer le livret A, mais aussi l’assurance vie dont le capital est placé sur les fonds en euros.
Le livret A est un type de livret d’épargne règlementé, c’est le type de livret destiné au grand public et demeure la référence pour les épargnants français. Cela est causé par son taux d’intérêt net exonéré d’impôts sur le revenu et de tous prélèvements sociaux. Le taux d’intérêt sur le livret A est resté stable à raison de 0,75% pendant 5 ans, depuis 2015. Le livret A est accessible à tous, mais il impossible de détenir plus d’un livret. L’ouverture d’un livret nécessite un premier versement de 10 euros minimum sans frais bancaires supplémentaires. Depuis le 1er janvier 2013, il a été établi que le plafond de versement sur livret A est de 22.950 euros sans limites de solde sur l’encours. Déjà en 2013, 60 millions d’épargnants français sur livret A et livret bleu sont recensés. À cette époque, le livret A a produit 258 milliards d’euros d’intérêts.
L’assurance vie est un type de produit d’épargne rémunéré puisqu’il procure des intérêts au souscripteur en fonction du montant du capital investi dans le contrat d’assurance vie. Il repose sur deux types de supports : les fonds en euros et les unités de compte ou UC, mais ce sont les premiers qui sont les plus sécurisés. Ce type de support offre en fait une garantie sur l’encours. De cette façon, le souscripteur ne court par le risque de perdre son argent. Le revenu des fonds en euros est composé d’un taux technique et d’un taux de participation aux rendements produits. Avec les fonds en euros, les revenus dégagés par le placement sont positionnés sur le compte de l’assuré tous les ans. Au terme du contrat, le souscripteur reste le bénéficiaire des fonds épargnés avec ses intérêts parce qu’il est libre de récupérer le capital constitué. Par contre, en cas de décès du souscripteur avant échéance, le contrat d’assurance est clôturé automatiquement et le capital ainsi constitué sera transmis aux bénéficiaires désignés par le souscripteur. Toutefois, de nos jours, beaucoup de gens associent la souscription d’une assurance vie à d’autres fins puisque ce genre de souscription permet également de bénéficier des avantages de réduction d’impôts si elle est cumulée avec la transmission du patrimoine. Dans ce cas, en plus de la préparation de la retraite, il est aussi possible de se constituer un capital à terme ou prévenir une acquisition immobilière.

Comment faire le meilleur investissement possible ?

Prétendre à effectuer un meilleur investissement, la définition de son profil d’épargnant est obligatoire pour éviter toutes sortes de déconvenues. Le meilleur investissement dépend en fait de chaque profil puisque les objectifs et les attentes sont différents. Par exemple, une jeune personne sera plus à même d’épargner sur le long terme contrairement à un investisseur plus âgé qui devra axer ses projets de placement sur le court terme.
Il en est de même en termes d’objectif, une personne peut envisager de mettre de l’argent de côté pour pouvoir assurer sa sécurité financière plus tard. Tandis qu’une autre personne décide d’économiser de l’argent pour se constituer un capital pendant une durée déterminée afin de financer un projet au terme de l’épargne. Il y en a également ceux qui décident d’investir dans l’immobilier pour voir son capital fructifier dans le temps, mais aussi pour pouvoir se constituer un revenu complémentaire tous les mois.