Les dirigeants des 46 pays les moins avancés du monde tiendront un sommet à Doha, au Qatar, ce dimanche 5 mars, dans le but d’attirer l’attention du monde sur l’impact de la situation actuelle dans leurs pays. Continuer de lire
Le Fonds monétaire international (FMI) a émis des recommandations à ses pays membres sur la politique à adopter concernant les crypto-monnaies. Selon l’institution, les avantages des crypto-actifs ne sont pas encore apparus tandis que l’on a vu l’étendu des inconvénients. Continuer de lire
Si le Fonds monétaire international (FMI) appelle toujours El Salvador à considérer les risques d’utiliser le Bitcoin comme monnaie légale, l’institution admet que les risques ne se sont pas encore concrétisés. Continuer de lire
L’institution de Washington estime que la croissance économique mondiale dépassera à peine 1,7 % cette année. Le sous-investissement et l’insécurité alimentaire continueront de fragiliser les pays les plus vulnérables. Continuer de lire
Pour Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international, l’année qui vient de commencer sera “plus dure” que celle qui se termine. “Les États-Unis peuvent éviter une récession”, mais “la moitié de l’Union européenne sera en récession”, a-t-elle déclaré. Alors que l’épidémie de coronavirus augmente en Chine, les deux prochains mois seront “difficiles”.
Un ralentissement général de l’économie
“La nouvelle année va être plus difficile que celle que nous avons laissée derrière nous”, a déclaré dimanche à CBS Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI).
Et pour cause, “les trois principales économies – les États-Unis, l’UE et la Chine – ralentissent toutes en même temps”, a-t-elle déclaré.
Le FMI a abaissé ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 en octobre pour tenir compte des tensions liées à la guerre en Ukraine, à l’inflation et à la hausse des taux d’intérêt, soulignant que les conditions pourraient se détériorer considérablement.
Dans ses dernières prévisions d’octobre, le FMI tablait sur une croissance mondiale de 2,7 % cette année. C’est le niveau le plus bas depuis 2001, hors crise financière de 2008 et pandémie de Covid de 2020.
Le FMI avait déjà averti que plus d’un tiers de l’économie mondiale se contracterait, avec 25 % de chances d’une croissance du PIB mondial inférieure à 2 % en 2023, ce qui répondrait à la définition du FMI d’une récession.
En plus de cette attente d’une croissance faible, voire négative, pour la nouvelle année, un certain nombre de facteurs ont déjà ralenti l’économie en 2022.
A savoir, les tensions liées à la guerre en Ukraine, la hausse de l’inflation et des taux d’intérêt. Mais le FMI a souligné que la situation mondiale en 2023 pourrait être considérablement aggravée par la situation en Chine.
Les Etats-Unis pourrait mieux résister
Kristalina Georgieva, qui s’est rendue en Chine au nom du Fonds monétaire international fin décembre, a déclaré que “pour la première fois en 40 ans, la croissance de la Chine en 2022 pourrait être égale ou inférieure à la croissance mondiale”.
La Chine a abandonné sa politique “zéro COVID” et s’est mise à rouvrir son économie, même si les consommateurs chinois restent méfiants face à une augmentation des cas de coronavirus.
“J’étais en Chine la semaine dernière, dans une bulle dans une ville où il n’y (avait) pas de Covid”, a-t-elle dit. “Mais cela ne va pas durer une fois que les gens commenceront à voyager”.
Le président Xi Jinping a appelé samedi à davantage d’efforts et d’unité dans son discours du Nouvel An alors que la Chine entrait dans une “nouvelle phase”.
De leur côté, “les États-Unis peuvent éviter une récession”, selon la directrice générale, notant que parce que le marché du travail reste dynamique, “l’économie américaine pourrait remarquablement résister. Si cette résilience se poursuit, les États-Unis aideront le monde à traverser une période très difficile cette année », dit-elle.
Le plus dur pour l’Europe ?
En Europe, en revanche, les perspectives sont moins brillantes. Alvaro Santos Pereira, économiste à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), a expliqué que l’inflation n’est pas due à une surchauffe de l’économie (comme c’est le cas outre-Atlantique) mais parce que « l’économie mondiale subit sa plus grave crise énergétique depuis les années 1970 », entraînant des hausses de prix.
Une crise de l’énergie qui touche tout le monde, mais plus encore l’Europe, où 40 % de la population dépendait du gaz russe avant la guerre.
Pour la France, l’OCDE table sur une croissance de 2,6% en 2022 et de 0,6% l’an prochain. Mais ces perspectives dépendent largement de l’évolution du conflit russo-ukrainien et du retour du gaz russe en Europe, qui ferait baisser l’inflation.
La déclaration pessimiste de la directrice du Fonds monétaire international est conforme aux prévisions des autres institutions économiques internationales. Banque mondiale, OCDE, ONU, OMC : Tous ont revu à la baisse leurs prévisions de croissance ces derniers mois.
La forte augmentation du risque financier pris par les grandes banques centrales depuis la crise financière de 2008 et les mesures prises pour faire face à la crise liée au Covid-19 peuvent conduire certains à exprimer des craintes que les banques centrales subissent des pertes et que leur capital devienne, en conséquence, négatif. Est-ce que cela pourrait remettre en cause leur efficacité et même les amener à fermer leurs portes ? Continuer de lire
Le ministre des Finances du Ghana a surpris les investisseurs en annonçant un moratoire sur certains remboursements de la dette du pays. Cela menace de compliquer la restructuration de la dette prévue dans un accord avec le Fonds monétaire international au début du mois. Continuer de lire
Annoncées il y a un an, les obligations d’État liées au Bitcoin (BTC) seront bientôt disponibles au Salvador. Dans le cadre du projet de loi de régulation des crypto-monnaies, la ministre de l’Economie Maria Luisa Hayem a expliqué en détail comment fonctionnera cette méthode d’investissement d’avenir unique au monde. Continuer de lire
Le Fonds monétaire international (FMI) a déclaré lundi que le gouvernement français devait travailler dur l’année prochaine pour rétablir les finances publiques et s’assurer que la dette publique ne continue pas à augmenter. Continuer de lire
Les principales institutions économiques ont revu à la baisse leurs prévisions concernant la croissance économique mondiale de l’année prochaine à cause de la guerre en Ukraine, la flambée de l’inflation et la crise énergétique. Continuer de lire
Alors que le prix du Bitcoin (BTC) approche à nouveau les 24 000 $, la communauté crypto s’est permise un peu d’optimisme. Mais ce n’est pas le cas du Fonds monétaire international (FMI), qui tire la sonnette d’alarme sur les prix des crypto-monnaies. Continuer de lire
Le président salvadorien Nayib Bukele a accueilli lundi 32 banques centrales et 12 autorités financières de 44 pays pour discuter du bitcoin et d’autres sujets liés à l’économie numérique, de l’inclusion financière et du bitcoin. La réunion devrait durer 3 jours. Continuer de lire
Les gestionnaires de fonds contraints de devenir des experts géopolitiques et militaires tentent désormais d’anticiper la suite des évènements afin de se positionner au mieux dans un marché à la fois baissier et extrêmement volatil. Continuer de lire
Le ministre des Finances participe aux assemblées annuelles du FMI et de la Banque Mondiale auxquelles il prouve l’expertise de Luxembourg pour le domaine de la finance durable. De cette manière, il a mis en place une nouvelle initiative qui est en faveur des pays les plus vulnérables.
Aux assemblées annuelles du FMI et de la Banque Mondiale
Ce week-end, Pierre Gramegna a assisté les assemblées annuelles du Fonds monétaire international FMI ainsi que de la Banque mondiale à Washington. De nombreux grands noms ont bien évidemment participé à celles-ci. Parmi ceux-là, il y a Kristalina Georgieva qui est la directrice générale du FMI. Tharman Shanmugaratnam, le ministre coordinateur des politiques sociales de Singapour, fait aussi partie des personnes qui ont contribué aux assemblées.
En principe, celles-ci doivent mettre en avant de bonnes stratégies pour amplifier l’impact de l’allocation historique de droits de tirage spéciaux. À savoir que cette dernière est à hauteur de 650 millions de dollars et son adoption a déjà débuté depuis le mois d’août. Pour soutenir efficacement la reprise économique mondiale, une discussion concernant un transfert d’une partie des DTS vers les pays vulnérables a été réalisée. Ce projet se fait via un fonds pour la résilience et la durabilité.
En ce qui concerne les DTS, ceux-ci font partie des réserves de change officielles de tous les pays membres du FMI. En ayant vu le jour en 1969, ils ont pour but de stabiliser le système monétaire international en offrant des liquidités additionnelles.
Pierre Gramegna défend la finance durable de son pays
Durant les assemblées, le ministre des Finances Pierre Gramegna mentionnait que Luxembourg est un pays qui se lance dans l’investissement de 1% de leur RNB. Celui-ci est dans le but d’aider le développement, surtout pour affronter le changement climatique ainsi que les crises futures. Il mentionnait que son pays reste particulièrement favorable en ce qui concerne la finance durable.
Le ministre met également en avant les principaux axes concernant un projet de budget 2022, avec le chef de mission Emil Stavrev. C’est une de ses stratégies pour relancer l’économie de Luxembourg afin de sortir facilement de la crise.
Il a également lancé un entretien avec Axel Van Trotsenburg à la Banque Mondiale pour éclaircir les idées concernant le rôle croissant de la finance climatique pour favoriser le développement durable.
L’inflation ne cesse de monter en flèche et touche le monde entier. Avec la grande montée des prix de l’énergie, celle-ci peut persister sur le long terme. Malgré cela, les responsables de l’économie et de la finance mondiale se montrent particulièrement confiants et prédisent que l’inflation ne sera pas hors de contrôle. Aucun emballement n’est encore envisagé pour les prochains mois.
Les prix du gaz et les carburants ne cessent d’augmenter
Les ménages français font actuellement face à une grosse montée des prix des énergies. Avec la situation actuelle, ces derniers ne risquent pas de diminuer pour un certain temps. C’est pourquoi l’inflation sera pour le long terme. Pourtant, les grands responsables de l’économie ainsi que la finance mondiale ne se préoccupent pas concernant cela. Ils pensent que celle-ci soit toujours contrôlée dans les pays avancés. Ce phénomène a été prouvé dimanche par la directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI).
L’inflation va être maîtrisée
Jusqu’à maintenant, c’est la reprise économique qui a nourri l’inflation suite à la récession de 2020. Aussi, ce fait a eu lieu après les différentes perturbations concernant les chaînes logistiques. De plus, selon Kristalina Georgieva, c’est le changement de la saison allant de l’été vers le grand froid qui a fait grimper le coût de l’énergie.
Pourtant, Kristalina Georgieva déclarait dans un séminaire virtuel que l’inflation ne faisait que passer. Les économies vont sûrement progresser. À savoir que des gouverneurs de Banque centrales participaient également au séminaire virtuel.
L’État dispose d’outils pour faire face à l’inflation
Si au cas où l’inflation devenait ingérable, il n’y aurait pas à s’inquiéter. Les décideurs disposent d’outils nécessaires pour limiter le phénomène. Le gouverneur de la Banque d’Angleterre Andrew Bailey affirmait pendant le séminaire virtuel que la banque centrale britannique va relever les taux d’intérêt malgré les risques d’augmentation de l’inflation.
En effet, ce phénomène reste une première depuis le commencement de la pandémie de Covid-19. Bailey croit que l’inflation est temporaire. Néanmoins, les prix de l’énergie, quant à ceux-ci, ne cessent de monter de manière considérable. À savoir que selon le FMI, l’inflation va être sur sa plus grande valeur au cours des derniers mois de l’année 2021.
Face à l’inflation, certaines banques centrales se sont mises à ajuster la valeur des taux directeurs.
Le groupe du Fonds Monétaire International (FMI) a identifié l’espace crypto comme étant fréquemment menacé par le piratage. Le manque de responsabilité concernant l’émission et la distribution des actifs ainsi que les problèmes fonctionnels et les pannes durant les périodes d’extrême volatilité, sont soulignés.
L’économie mondiale encourt-elle de réels risques en adoptant la cryptomonnaie ?
Le Conseil de Stabilité Financière (CSF) du Fonds Monétaire International (FMI) a déclaré que l’adoption de plus en plus importantes des cryptomonnaies par la population pourrait exposer l’économie mondiale à des risques.
Dans son rapport sur la stabilité financière mondiale publié le 12 octobre, le Fonds Monétaire International déclare que l’adoption d’actifs et de Stablecoins au sein des marchés émergents et des divers développements économiques pourrait constituer un défi pour la stabilité macroéconomique et financière des pays proposant ce type de services.
Le groupe a déclaré que les risques étaient maîtrisés pour l’instant, mais a exhorté les législateurs à surveiller les cryptomonnaies de plus près.
Le FMI ajoute qu’à mesure que l’espace crypto s’étendait et évoluait, de « nouvelles sources de risques » pourraient faire leur apparition comme les menaces représentées par les Stablecoins et la finance décentralisée, aussi appelée DeFi.
Plus précisément, le groupe a identifié l’espace comme étant trop fréquemment menacé par le piratage, ceci prouvant un manque de responsabilité en ce qui concerne l’émission et la distribution des actifs. Les risques opérationnels et notamment les pannes durant les périodes d’extrême volatilité sont la preuve d’un danger dont les investisseurs n’ont pas toujours conscience.
Les cryptoactifs font-ils réellement partie d’un domaine économique décentralisé ?
Le FMI a également jugé de façon négative l’émergence des jetons mèmes et la centralisation des actifs au sein des plateformes comme des facteurs à prendre sérieusement en compte dans le processus de développement du secteur.
En effet, une bourse majeure comme Binance gérant une grande quantité de volume de transactions peut être jugé comme étant un système qui centralise le secteur, tandis que Tether est responsable de la majorité de l’offre de Stablecoins, un point intriguant sur la qualité principale du trafic qui est censé être la décentralisation.
Les pays en développement prendraient des risques dans leur chemin d’adoption de la crypto
Jusqu’à présent, les pertes résultant de tels risques n’ont pas eu d’impact significatif sur la stabilité financière, à l’échelle mondiale ou nationale
exprime le FMI.
Cependant, au fur et à mesure que les actifs cryptographiques prennent de l’ampleur, les actions critiques sur le plan macro sont susceptibles d’augmenter.
Mettre en évidence les risques que les pays en développement prennent en adoptant les actifs numériques est le devoir du FMI, le groupe ayant déjà prévenu des risques encourus dans le schéma de normalisation de la monnaie numérique et des Stablecoins de la part des banques centrales. Quelques mois auparavant, le FMI a averti les Îles Marshall et le Salvador en précisant que la reconnaissance d’une monnaie numérique comme monnaie légale courante pourrait “augmenter les risques pour la stabilité macroéconomique et financière ainsi que pour l’intégrité financière au sein du pays.”
Au début du mois d’octobre, le FMI a publié un ensemble de politiques visant à réguler les marchés émergents et les économies en développement afin d’assurer une certaine stabilité financière dans le cadre de l’adoption mondiale de l’industrie de la cryptomonnaie. Compte tenu de l’affirmation de la directrice générale Kristalina Georgieva selon laquelle plus de la moitié de toutes les banques centrales du monde exploraient les différentes façons de lancer des devises numériques.
Les recommandations du FMI incluent le fait que les gouvernements mettent en place des normes concernant l’utilisation des cryptoactifs et améliorent leur capacité à surveiller les différents écosystèmes en comblant les lacunes au sein des données, afin de redresser les fonctionnements du marché financier.
Après la crise sanitaire, on a constaté une importante inégalité dans la reprise économique mondiale. Et cela est loin d’être un hasard. En effet, cette inégalité est causée par l’accès inégal aux vaccins contre le Covid-19. Cette alerte a été annoncée par le Fonds monétaire international mardi dernier. Le FMI maintient sa prévision de croissance mondiale de 6 % en 2021.
Une grande ligne de rupture économique
Le Fonds monétaire international a constaté une énorme inégalité en ce qui concerne la reprise de l’économie mondiale. En effet, les économies avancent plus rapidement dans les pays où l’accès aux vaccins contre le coronavirus est tout à fait facile. Ainsi, pour ces pays qui ont une économie développée, ils peuvent s’attendre à une normalisation de l’activité cette année. Pour les autres pays qui n’ont pas encore eu accès aux vaccins, ils resteront confrontés à d’autres problèmes tels que l’augmentation du nombre de décès liés au Covid-19.
Dans les pays qui ont facilement accès à la vaccination, le produit intérieur brut (PIB) peut atteindre les 5,6 % en 2021. Pour ce qui est des autres pays avec des économies en développement, ils devront connaître une excellente reprise, mais assez lentement. Le PIB devrait donc progresser de 6,3 %.
L’Inde rencontre un véritable ralentissement
Comme on le sait tous, l’Inde est considérée comme le pays le plus impacté par ce virus à cause du variant delta. C’est ce pays qui connait le plus fort ralentissement en ce qui concerne la reprise économique. Selon le FMI, le PBI de l’Inde devrait avancer avec une croissance de 9,5 %. La Chine fait également partie de cette catégorie. En effet, ce pays doit également s’attendre à une croissance économique de 8,1 %. Sachez que ce variant peut coûter plus de 4 500 milliards de dollars à l’économie mondiale d’ici 2025, selon les dire de l’économiste en chef du FMI.