Les banques centrales des États-Unis, de Suisse, d’Europe et d’autres parties du monde vont se coordonner pour améliorer l’accès à la liquidité, rassurant les marchés dans un contexte de crise de confiance dans le système bancaire. Partout dans le monde, les institutions financières tentent de calmer la situation.
Le marché immobilier est actuellement en pleine turbulence, avec des banques de plus en plus réticentes à prêter. Cette situation est en partie due à l’inflation et à la remontée des taux d’intérêt. Face à ce contexte, la Banque centrale française a prévu de réviser le taux d’usure mensuellement.
Une autre hausse des taux est en vue. Jeudi, le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne a annoncé avoir décidé de soutenir “la hausse des trois taux directeurs de la Banque centrale européenne de 50 points de base”, soit 0,5 point de pourcentage. Lutter contre l’inflation persistante reste donc l’objectif principal.
La production de crédits immobiliers a augmenté en février 2023 par rapport à janvier 2023. Cependant, les taux d’intérêt continuent d’augmenter. Afin de dynamiser le marché, la Banque de France a décidé de déterminer le taux d’usure sur une base mensuelle plutôt que trimestrielle.
La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé jeudi qu’elle ne réaliserait pas de bénéfices en 2022, une reprise de ses provisions pour risques financiers compensant la hausse des paiements d’intérêts aux banques centrales nationales et les pertes latentes sur les titres de son portefeuille.
La Bourse de Paris a encore chuté mercredi, malgré une forte réaction aux publications annuelles de Danone et Stellantis, l’indice phare gagnant le plus. La politique monétaire est toujours dans toutes les têtes et, de plus, le compte rendu de la dernière réunion de la Fed est encore à quelques heures.
Les commentaires très bellicistes de l’Allemande Isabelle Schnabel vendredi ont fait revoir à la hausse les prévisions concernant les taux maximums que la Banque centrale européenne pourrait atteindre. Les marchés parient maintenant que le taux de dépôt atteindra 3,75 % d’ici l’automne, contre 3,4 % il y a quelques jours.
Dans un rapport de recherche sur l’avenir du livre numérique, le Trésor britannique et la Banque d’Angleterre ont exploré les restrictions sur les avoirs personnels en MNBC. Cette mesure éventuelle, bien que justifiée par une nécessité technique, pose la question de la véritable propriété de son argent.
Les faucons, partisans d’une politique stricte pour contrôler l’inflation ont une position largement dominante au sein de la BCE. Les membres plus prudents du Conseil des gouverneurs, qui souhaitent des hausses de taux plus accommodantes, peinent à faire entendre leur voix.
En 2022, les instituts émetteurs de monnaie ont acheté 1 136 tonnes d’or, le niveau le plus élevé depuis 1967. Les banques centrales des pays émergents souhaitent “dé-dollariser” leurs réserves. Par rapport à 2021, la demande mondiale d’or a augmenté de 18 %, atteignant son plus haut niveau en 11 ans.
La Banque centrale européenne devrait de nouveau relever ses taux d’intérêt jeudi pour faire face à une inflation toujours excessive dans la zone euro. D’autant plus que l’amélioration des conditions économiques a apaisé ses inquiétudes quant au resserrement de la politique monétaire.
Les 350 millions d’habitants de la zone euro adopteront-ils une nouvelle version numérique de l’euro dans les prochaines années ? Cela semble être l’objectif de la Banque centrale européenne, qui a concrétisé sa vision d’une monnaie numérique de banque centrale dans laquelle de tels « intermédiaires réglementés » pourraient opérer. L’agence évoque des applications grand public qui “fournissent des paiements sans contact ou des codes QR”.
Le coût des emprunts d’Etat à 10 ans a bondi au-dessus de 3% mardi. Les investisseurs craignent que la réouverture de l’économie chinoise n’entraîne une nouvelle hausse de l’inflation, la réponse des banques centrales risque d’être brutale.
Le chef de la banque centrale néerlandaise, Klaas Knot, s’attend à ce que la BCE continue de resserrer sa politique monétaire jusqu’à l’été prochain au moins. Isabel Schnabel, membre du conseil d’administration de la Banque centrale européenne, a averti que les taux d’intérêt pourraient augmenter plus haut que les attentes du marché si nécessaire.
La forte augmentation du risque financier pris par les grandes banques centrales depuis la crise financière de 2008 et les mesures prises pour faire face à la crise liée au Covid-19 peuvent conduire certains à exprimer des craintes que les banques centrales subissent des pertes et que leur capital devienne, en conséquence, négatif. Est-ce que cela pourrait remettre en cause leur efficacité et même les amener à fermer leurs portes ?
Le ministre des Finances du Ghana a surpris les investisseurs en annonçant un moratoire sur certains remboursements de la dette du pays. Cela menace de compliquer la restructuration de la dette prévue dans un accord avec le Fonds monétaire international au début du mois.
La décision de la BCE a conduit aux pires performances du CAC 40 à Paris et du DAX à Francfort en neuf et six mois. Outre-Atlantique, Wall Street a également perdu du terrain. La correction a été d’autant plus forte que le marché s’est bien repris en octobre et novembre.
Un resserrement monétaire plus modeste qu’au cours des derniers mois. La Banque centrale européenne (BCE) a relevé son taux directeur de 0,50 point de pourcentage jeudi 15 décembre. L’institution se dit décidée de continuer à lutter contre l’inflation.
La banque centrale américaine a annoncé mercredi soir qu’elle augmenterait les taux d’intérêt d’un demi-point de base, il se situe désormais entre 4,25% et 4,5%. Jerome Powell a prévenu qu’il s’agit d’un ralentissement du rythme, mais qu’il s’attend à de nouvelles hausses de taux.
Le CAC 40 a chuté de 0,41% lundi après une séance plutôt terne. Les opérateurs des marchés financiers mondiaux se préparent aux grands rendez-vous des prochains jours.
Les régulateurs ont salué les banques françaises pour leur solidité financière dans un environnement économique devenu très incertain. Si la politique de plafonnement des dividendes n’est pas à l’ordre du jour, d’un autre côté les programmes de rachat d’actions seront scrutés à la loupe.
Les prix à la consommation de la zone euro ont baissé en novembre pour la première fois depuis juin 2021. Mais avec une inflation à 10% en un an, l’inflation reste préoccupante et un retournement de tendance est incertain. Les économistes ont semblé prudents et n’ont pas affirmé que le pic était passé. Néanmoins, le ralentissement pourrait inciter la BCE à être plus flexible dans sa politique de resserrement monétaire.
Suite au crash de la plateforme FTX, la Banque centrale européenne a publié un communiqué de presse faisant le point sur la situation du Bitcoin (BTC) et des autres crypto-monnaies. Intitulé “Le dernier baroud de Bitcoin”, cet article de blog de la BCE a détruit le Bitcoin.
La BCE veut promouvoir l’utilisation des taux variables pour financer les crédits immobiliers. Cette politique va à l’encontre des traditions de l’industrie bancaire française et suscite de nombreuses réticences chez les professionnels français de la finance.
Désormais c’est devenu un véritable problème pour certains emprunteurs : les taux d’intérêts augmentent inexorablement depuis le mois de juillet cette année. Mais cette envolée des taux va-t-elle s’arrêter ou faut-il acheter dès maintenant pour profiter de taux encore relativement bas ? Éléments de réponse dans cet article. Les taux dépassent déjà les 2% Après avoir passé près d’une décennie à un taux d’intérêts moyen inférieur à 2%, cette barre à de nouveau été franchie en octobre 2022 avec un taux d’intérêt moyen de 2,05%, c’est la première fois depuis l’année 2016. Dans le détails, les taux d’intérêts au mois
Les taux des crédits immobiliers en France se sont établis en moyenne à 2,05% en octobre, le plus haut niveau depuis près de sept ans, selon un tableau de bord de l’Observatoire Crédit Logement/CSA publié jeudi. En décembre l’an dernier, le taux moyen était presque deux fois plus bas à 1,06 %.
La banque centrale a de nouveau été durement touchée. Elle a relevé son taux directeur de 75 points de base à son plus haut niveau depuis 2009. Elle a également décidé de durcir les conditions de prêt accordés aux banques pendant la crise. Elle présentera un plan de réduction de son bilan en décembre.
Les principales institutions économiques ont revu à la baisse leurs prévisions concernant la croissance économique mondiale de l’année prochaine à cause de la guerre en Ukraine, la flambée de l’inflation et la crise énergétique.
Le Credit Suisse a fait les frais de la nervosité du marché obligataire. La banque suisse va dévoiler un plan de restructuration qui devrait durer plusieurs mois lors de la publication de ses prochains résultats trimestriels.
La Banque de France a organisé hier une conférence sur la “tokénisation financière” pour examiner les crypto-monnaies, le statut de la finance décentralisée (DeFi) et les éventuelles réglementations. Le président de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell, et la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, étaient tous deux invités à y assister.
Lors d’une conférence organisée à Paris, le président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a dévoilé une date approximative pour le lancement de l’euro numérique. Il a également précisé le rôle de cette monnaie numérique de banque centrale (MNBC).
Comme prévu, le nouveau taux d’usure entrera en vigueur le 1er octobre. Mais le président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, vient d’annoncer que la formule de calcul ne sera pas révisée.
Le chef de la surveillance de la Banque centrale européenne (BCE) a demandé aux banques d’être prudentes face à un hiver qui s’annonce difficile. En France, le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) prévoit de relever le taux de réserves obligatoires pour un “coussin contracyclique” à 1%, à moins que les banques françaises ne ralentissent la production de crédit en cas de récession.
Même si les bourses européennes ont clôturé sur une note positive la semaine dernière, les investisseurs professionnels restent prudents. La crise de l’énergie et le resserrement des politiques monétaires ont commencé à avoir un impact négatif à la fois sur les bénéfices des entreprises et sur l’activité économique globale.
Le 8 septembre, la BCE a envoyé un message fort en accélérant le resserrement de sa politique monétaire. Le conseil des gouverneurs de l’institut monétaire a décidé de relever les taux directeurs de 75 points pour la première fois depuis l’existence de la BCE. Cela est dû aux records d’inflation.
La BCE a augmenté ses taux d’intérêt en juillet pour la première fois en 10 ans. Il s’agissait d’une augmentation de 50 points de base qui a été mise en œuvre pour lutter contre l’inflation qui continue d’augmenter. Les marchés prévoient une augmentation encore plus importante ce jeudi 7 septembre. Si le pire scénario se matérialise, il s’agirait d’une augmentation de 75 points de base.
Mercredi soir, la Bourse de Paris a perdu 1,4% de sa valeur. Cette baisse fait partie de la tendance baissière plus large du mois d’août où les actions ne se sont pas bien comportées. Les investisseurs ont imputé cela à leur peur de l’inflation et au désir des banques centrales de relever les taux d’intérêt pour freiner la hausse des prix. En conséquence, la Bourse de Paris a perdu 5 % de valeur sur un mois par rapport au début du mois d’août.
Bien que certains membres de la BCE préfèrent un rythme plus agressif de hausse des taux d’intérêt, certains craignent que cela ne conduise à une récession. Certains administrateurs ont récemment suggéré d’augmenter les taux d’intérêt directeurs de 50 points de base.
Les mots forts de Jerome Powell vendredi ont fait chuter les marchés boursiers européens. Le président de la Réserve fédérale a averti que la Fed utiliserait ses outils pour augmenter « vigoureusement » les taux d’intérêt. Même si cela pourrait nuire aux entreprises et aux ménages, Powell a déclaré que la Fed continuerait à augmenter les taux d’intérêt. Cela a refroidi les investisseurs quant à un éventuel ralentissement du resserrement monétaire aux États-Unis.
La Banque centrale européenne a publié un nouveau rapport de recherche via CNBC qui traite des monnaies numériques de la Banque centrale. Le rapport indique que seules les institutions peuvent préserver la stabilité monétaire et s’oppose aux monnaies numériques créées par les banques centrales.
Mercredi, le bureau officiel des statistiques aux États-Unis a annoncé que l’inflation à la consommation avait ralenti plus que prévu en juillet en raison d’une chute spectaculaire du coût de l’essence. Ces chiffres pourraient amener la Fed à ralentir son resserrement monétaire prévu, comme l’espèrent les marchés.
Depuis plusieurs semaines, les plus grandes banques françaises voient le cours de leurs actions grimper en bourse en raison de bons résultats, et parce que les banques centrales relèvent leur taux. Cependant, l’avenir incertain de la croissance mondiale pourrait stopper cette tendance.
La Banque d’Angleterre (BoE) a relevé jeudi son taux directeur à 1,75 %. Elle souhaite contenir l’inflation, qui pourrait bientôt dépasser 13 %. Elle prédit que le Royaume-Uni est sur le point de tomber en récession.
La Banque centrale européenne a relevé de manière inattendue son taux directeur de 50 points de base dans le cadre de son premier resserrement politique en 11 ans. Un mouvement qui intervient alors que la démission du Premier ministre Mario Draghi a ébranlé la dette italienne. Une pression supplémentaire s’exerce sur la BCE, qui a finalisé son bouclier anti-fragmentation.
Le nouveau ministre britannique des Finances, Nadhim Zahawi, veut “adopter une approche flexible et cohérente de la régulation financière” après le Brexit. Cette vision se reflète dans les vastes réformes des services financiers présentées au Parlement mercredi.
La Bourse de Paris devrait augmenter légèrement ce matin après Wall Street. L’EUR/USD reste au-dessus du pair. Mais l’inflation reste une préoccupation majeure après la flambée des prix de l’autre côté de l’Atlantique.
Les monnaies numériques des banques centrales (MNBC) émergent sur la base des monnaies numériques émises par les banques centrales et du système réglementaire qu’elles régissent, car elles offrent des méthodes de paiement innovantes. Plusieurs banques centrales envisagent des projets, par exemple la Banque centrale européenne travaille sur un projet d’euro numérique.
Jeudi soir, la Bourse de Paris progressait de 1,6%, confirmant un rebond au-dessus des 6 000 points. Les investisseurs ont pris connaissance du compte rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale et de la Banque centrale européenne, qui a montré leur détermination à lutter contre l’inflation.
L’euro est tombé à 1,0173 dollar mercredi, son plus bas niveau depuis 2002, pénalisé par la détérioration de l’environnement économique et la forte inflation en Europe. La monnaie européenne s’est stabilisée sous le franc suisse.
Des apports individuels toujours plus élevés, un taux d’usure trop faible empêchent de plus en plus de ménages d’accéder au crédit, obtenir un crédit immobilier devient plus compliqué. Les données récentes fournies par le courtier Finance Conseil le montrent.
La Banque centrale européenne tiendra compte des enjeux climatiques dans la gestion de son portefeuille obligataire et des titres qu’elle accepte en garantie. L’objectif est d’encourager les entreprises à redoubler d’efforts en matière d’engagement écologique.
La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a déclaré mardi que le futur programme d’achat d’obligations de la BCE contribuerait à empêcher un élargissement excessif des écarts de rendement de la zone euro tout en maintenant la pression sur les gouvernements pour qu’ils assainissent les finances publiques.
La Banque de France table désormais sur une croissance du PIB de 2,3 % en 2022, contre 2,7 % en mars dernier. La flambée des prix a contraint les Français à se serrer la ceinture, avec un pouvoir d’achat en baisse de -1% cette année. Ce sera la première fois depuis la crise de la dette souveraine européenne en 2013.
De nombreuses banques centrales choisissent de resserrer leur politique monétaire, notamment en relevant les taux d’intérêt directeurs, pour tenter d’endiguer la hausse des prix. Mais ce n’est pas sans impact sur le marché. Les marchés boursiers mondiaux ont chuté jeudi au milieu des craintes que la lutte contre l’inflation ne conduise à une récession.
La hausse des taux de 75 points de base a été bien accueillie par les marchés financiers. Après des mois à l’avoir sous-estimée, la Fed est déterminée à contenir l’inflation, qui a augmenté de façon surprenante en mai. Selon les nouvelles prévisions de la Fed, en 2022 et 2023 elle devrait atteindre respectivement 5,2 % et 2,6 %, contre des estimations de mars de 4,3 % et 2,7 %. Le cycle de hausse des taux devrait atteindre entre 3,25 % et 3,50 % d’ici la fin de l’année.
Les conditions d’octroi des prêts sont devenues si strictes, et les profits des banques si bas, que certaines banques sont désormais plus disposées à limiter le nombre d’emprunteurs. Selon nos informations, Société Générale et Crédit du Nord ont donc temporairement cessé d’accorder du crédit aux dossiers déposés par les courtiers qui apportent près de 40% des dossiers d’emprunts en France.
Les différentes banques européennes ont fait preuve d’optimisme face à la normalisation annoncée de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne. Ils s’attendent à un rebond de leurs revenus, mais la hausse des taux n’est pas sans risque dans un contexte de ralentissement économique.
La Bourse de Paris a clôturé en baisse de 0,80% hier, faisant preuve de prudence avant la réunion de la Banque centrale européenne d’aujourd’hui et s’inquiétant après la révision à la baisse des prévisions économiques. L’indice star, le CAC 40 perd 51,72 points à 6448,63. Mardi, la côte parisienne avait perdu (-0,74%) la majeure partie de ses gains du lundi de Pentecôte.
Le Cac 40 progresse d’environ 1% en début de semaine à la Bourse de Paris. Wall Street a tenté de rebondir après les pertes de vendredi, mais la séance a été volatile. Société Générale a profité d’une recommandation d’achat.
La présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, a affirmé que les crypto-monnaies étaient “sans valeur” à son avis, mais cela ne l’empêche pas de prendre la question au sérieux. En fait, dans les coulisses, nous avons appris que la BCE avait financé une enquête sur l’adoption de la crypto-monnaie.
La Banque centrale européenne a averti que le marché du logement pourrait être pénalisé par une nouvelle série de hausses des taux d’intérêt après des années de hausse des prix, alimentée par des coûts de crédit extrêmement bas.
L’euro a rebondi de plus de 1% face au dollar. Dans un article de blog, le président de la Banque centrale européenne a fait valoir que les taux de dépôt pourraient ne plus être négatifs d’ici la fin du troisième trimestre. Cela signifie que la banque centrale procédera à deux modifications en juillet et en septembre.
Pendant l’une des périodes les plus complexes pour le marché de la crypto-monnaie, les signaux des régulateurs et des institutions financières ne se sont pas arrêtés. Dans ce cas, Christine Lagarde a assuré que les crypto-monnaies n’ont aucune valeur ni fondement et doivent donc être clairement réglementées.
La présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, espérait préparer les acteurs économiques en annonçant ce mercredi 11 mai qu’elle relèverait les taux directeurs en juillet prochain pour juguler l’inflation. Cette décision marquerait la fin du financement “facile”.
La présidente de la Banque Centrale Européenne, Christine Lagarde, voit une “forte probabilité” que l’institution relève son taux directeur d’ici la fin de l’année si l’inflation reste élevée.
Les virements instantanés sont de plus en plus utilisés mais restent encore marginaux par rapport au standard du marché. Ils peuvent être utilisés par les professionnels et les particuliers dans presque toutes les banques avec un certain nombre d’avantages à la clé.
En raison du week-end de Pâques, le système de paiement via lequel les virements SEPA sont effectués sera fermé à partir de ce vendredi matin jusqu’à lundi. Donc même un transfert qui a eu lieu jeudi devra attendre jusqu’à mardi voire mercredi.
Depuis que l’Union Européenne a imposé des sanctions à la Russie à la suite de l’offensive ukrainienne, les pays occidentaux s’inquiètent de l’utilisation possible des crypto-monnaies pour les contourner. La présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a de nouveau exprimé sa crainte de les voir comme une “menace” dans le contexte de la guerre.
La Fed doit annoncer sa décision de politique monétaire à 19 h aujourd’hui. Une hausse de 25 points de base des taux d’intérêt est le scénario le plus largement accepté par les opérateurs.
Les prix de l’immobilier augmentent plus vite que prévu. Pour certains profils, les banques régionales sont en hausse de près de +50% d’un mois sur l’autre, selon Vousfinancer.
Le Parlement européen semble déterminé à intensifier ses efforts dans le domaine de la régulation des crypto-monnaies. Même si le vote sur le projet MiCA, initialement prévu la semaine dernière, a finalement été retardé. Un texte controversé laisse entendre qu’une interdiction complète de la preuve de travail (PoW) de Bitcoin pourrait être de la partie. La cryptosphère a réagi contre cette mesure. Et une réécriture partielle de ce cadre légal dépend d’un nouveau vote le 14 mars.
La Banque suit de près la situation de sa filiale Rosbank. Au fur et à mesure que les sanctions financières contre la Russie se précisent, il devient plus probable que l’entité soit totalement dépréciée, ce qui coûterait au groupe français 2,7 milliards d’euros.
La Bourse de Paris devrait augmenter alors que le S&P 500 et le Nasdaq étaient en hausse vendredi. Les attentes de hausses de taux aux États-Unis et en Europe continuent d’inquiéter les opérateurs, tout comme les tensions géopolitiques.
De petites pertes à la mi-journée, qui se sont intensifiées dans l’après-midi suite au discours plus ferme que prévu de Christine Lagarde sur l’inflation, la Bourse de Paris a fini dans le rouge hier soir après trois séances de hausse consécutives. La Banque Centrale Européenne ne ferme plus la porte à une hausse des taux en 2022.
La Bourse de Paris a clôturé en hausse, pour la troisième fois consécutive, de 0,22% mercredi, dopée par les résultats des entreprises outre-Atlantique et pas effrayée par des données d’inflation plus fortes que prévu dans la zone euro. Aujourd’hui le CAC 40 devrait baisser. Facebook a beaucoup déçu et la BCE est très attendue sur fond d’accélération de l’inflation en zone euro et d’un marché de l’emploi solide.
L’inflation est une augmentation générale des prix. La flambée de l’inflation, alimentée par la crise sanitaire, notamment la hausse des prix de l’énergie, inquiète les banques centrales. Ses ratios sont encore sous contrôle pour l’instant, mais ce ne sera peut-être pas toujours le cas. Comment les investisseurs doivent-ils se protéger de l’inflation ? Une idée intéressante qui vient à l’esprit serait d’acheter des actions dans une société civile de placement immobilier ou SCPI.
La zone euro connaît une inflation de 5%, mais contrairement à la Fed, la BCE devrait opter jeudi pour l’attentisme. A défaut de nouvelles annonces, le changement de ton de décembre devra proposer un service après-vente. Attention également à ne pas alimenter les anticipations de hausses de taux cette année.
Ces derniers jours sont particulièrement marqués par l’augmentation considérable de l’inflation. Inquiète, la Banque centrale européenne a pris la décision de discuter de cela jeudi pendant une réunion. Son inquiétude s’est accrue par l’échéance du programme d’achats massifs de dettes qui aura lieu vers la fin mars 2022. Baisse de la croissance économique Ce mois d’octobre a fait considérablement grimper l’inflation qui a permis de retarder la croissance économique de nombreux pays. C’est pour discuter de cela que la Banque Centrale Européenne a décidé de favoriser la réunion du jeudi 28 octobre. Celle-ci permet également de mettre en avant la
Une 4ème vague de Covid-19 menace avec le variant Delta qui ne cesse de se propager. De nombreux pays sont actuellement touchés. Et dans le même temps, la bourse grappille. D’après le président du cabinet ACDEFI, Marc Touati, les banques centrales maintiennent des stratégies pour assurer l’alimentation des marchés actions. Une situation bénéfique pour les investisseurs Le variant Delta progresse de manière rapide et peut-être une source de rechute de l’activité économique mondiale. La fin 2021 et l’année 2022 pourraient ainsi être difficiles pour de nombreux secteurs. Malgré cela, les marchés boursiers ne cessent de croître. En effet, avec la
Il y a quelques semaines, la Bourse de Paris a rebondi en profitant d’une montée en valeur. Pourtant, cette tendance haussière est stable. Le marché parisien doit tout de même être en augmentation avant la publication des derniers chiffres de l’inflation aux États-Unis. Celle-ci peut affecter grandement la tendance de la Bourse de Paris. Une montée de la valeur de la Bourse de Paris doit avoir lieu Selon les données du Courtier IG, le contrat à terme sur le CAC 40 a grimpé de 5,5 points. Ceci correspond à une montée de 0,1%. Ce chiffre a été publié ce mercredi