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Assurance vie

CACMDS : un acteur économique majeur de cette région française

Implanté sur le territoire de la Charente-Maritime et des Deux-Sèvres, le Crédit Agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres (CACMDS) est un acteur économique majeur dans la région Poitou-Charentes. La mission de cet établissement n’est pas seulement de proposer des solutions fidèles aux besoins financiers de ses clients mais également de contribuer activement au développement local.

Une offre en compte bancaire complète pour tous les profils

Au Crédit Agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres, chaque client peut trouver le compte bancaire adapté à ses besoins et à sa situation, qu’il soit particulier, professionnel ou entrepreneur.

Comptes bancaires pour les particuliers

Pour les particuliers, il existe plusieurs types de comptes :

  • Le compte Eko : un compte simple et accessible avec carte bancaire, application mobile et découvert autorisé pour une cotisation mensuelle raisonnable.
  • Le compte courant classique : un compte flexible avec une offre variée de cartes bancaires et de services associés (chèquier, virements, prélèvements, etc.).
  • Le compte spécifique pour les jeunes : un compte conçu pour accompagner les moins de 30 ans dans la gestion de leur budget et leur épargne.
  • Le compte joint : pour gérer à deux les dépenses communes en toute simplicité.

Comptes bancaires pour les professionnels et entrepreneurs

Pour les professionnels et entrepreneurs, le CACMDS propose :

  • Le compte professionnel : dédié aux entreprises individuelles, artisans, commerçants, professions libérales et agriculteurs. Ce compte permet de faciliter la gestion des flux financiers et offre des services spécifiques à l’activité professionnelle.
  • Le compte société : adapté aux sociétés commerciales et associations, il permet de bénéficier d’une gamme plus étendue de services pour optimiser la gestion financière de l’entreprise ou de l’association.

Des solutions d’épargne et d’assurance-vie sur mesure

Le Crédit Agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres se distingue par son large choix de produits d’épargne et d’assurance-vie, cette banque régionale offre à ses clients plusieurs possibilités pour constituer un capital, préparer leur retraite ou protéger leur famille.

L’offre en épargne bancaire

Le CACMDS propose différents types de livrets :

  • Le Livret A, le LDDS et le Livret Jeune : des comptes sur livrets réglementés, exonérés d’impôts et de prélèvements sociaux.
  • Le Livret Sociétaire : un compte sur livret exclusif pour les sociétaires.
  • Le Compte à terme : permettant de placer son argent à taux fixe pendant une durée déterminée.
  • Le Plan Épargne Logement (PEL) et le Compte Épargne Logement (CEL) : des produits favorisant la constitution d’un apport personnel pour l’achat d’un logement ou pour financer des travaux.

L’offre en assurance-vie

L’assurance-vie est une solution privilégiée pour se constituer un capital à moyen ou long terme tout en bénéficiant d’une fiscalité avantageuse. Le Crédit Agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres dispose d’une offre variée et modulable en matière d’assurance-vie :

  • Les fonds en euros : avec une garantie en capital et un rendement annuel exprimé en pourcentage.
  • Les unités de compte : offrant des supports d’investissement diversifiés, couvrant plusieurs classes d’actifs (actions, obligations, immobilier) et permettant de bénéficier d’un potentiel de performance supérieur en contrepartie d’un risque de perte en capital.
  • Des contrats multisupports : combinant fonds en euros et unités de compte pour une gestion flexible et optimisée de son épargne.

S’engager activement dans le développement local

Au-delà de ses offres et services financiers, le CACMDS s’engage résolument dans de nombreuses actions locales, afin de contribuer à l’amélioration du cadre de vie des habitants et au développement économique de la région Poitou-Charentes. Parmi ces initiatives, on retrouve :

  • Le soutien aux entreprises innovantes.
  • La participation à des projets de solidarité, tels que l’aide aux personnes en difficulté ou la préservation de l’environnement.
  • L’accompagnement des jeunes talents sportifs régionaux.
  • La promotion de la culture locale et du patrimoine régional.

Grâce à ses offres complètes en compte bancaire, épargne et assurance-vie, ainsi qu’à son engagement au service du développement local, le Crédit Agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres se positionne comme un partenaire solide et durable pour tous les habitants de la région Poitou-Charentes.

N’attendez pas la dernière minute, sinon ce sont vos enfants qui en paieront le prix

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Le coût des études supérieures peut vraiment faire peur. Pour certains parents, il peut représenter un investissement énorme, voire impossible s’il n’a pas été prévu à l’avance. Pour certaines familles, il est essentiel d’anticiper en commençant à épargner tôt pour pouvoir offrir à vos enfants la meilleure éducation possible.

Les 3 postes de dépenses majeures pour les études supérieures

Il existe quatre catégories de dépenses principales à prendre en compte lorsqu’il s’agit de financer les études supérieures de vos enfants :

Logement

Si votre enfant quitte le nid familial pour poursuivre ses études, les frais de logement peuvent rapidement s’accumuler. Par exemple, le prix moyen d’un studio varie entre 350 € et 400 € par mois en province, tandis qu’à Paris, Lyon, Bordeaux ou encore Annecy, il se situe entre 700 € et 1 100 €. Nous avons d’ailleurs rédigé un article présentant des astuces pour savoir comment loger votre enfant étudiant.

Frais de scolarité

Les établissements d’enseignement supérieur peuvent demander des droits de scolarité pour permettre aux étudiants de suivre leur programme d’études. Voici quelques exemples de frais de scolarité en fonction des parcours éducatifs :

  • Un étudiant dans un établissement public dépense en moyenne 170 €/an pour un cursus de Licence, 243 €/an pour un cursus de Master et 380 €/an pour un programme de Doctorat.
  • Les frais de scolarité dans les universités privées françaises varient entre 2 200 € et 4 200 € par an, selon le domaine d’étude.
  • Les écoles d’ingénieurs sous la tutelle des ministères de la défense, de l’économie et de l’agriculture ont des structures de prix différentes.

Alimentation et autres dépenses

Cet élément du budget est souvent négligé dans les calculs, mais il reste significatif, surtout si vous souhaitez que votre enfant mange équilibré. En raison de l’inflation, les dépenses alimentaires ont augmenté de 15,34 % en comparaison avec l’inscription en 2022.

De façon plus globale, il faut savoir qu’en moyenne, une année d’études supérieures coûte 10 000 €. Des coûts supplémentaires peuvent s’ajouter en cas d’année sabbatique, de semestre à l’étranger ou pour l’achat d’équipements spécifiques pour les études.

Afin d’éviter les mauvaises surprises, il est important d’anticiper ces dépenses.

Comment anticiper le financement des études supérieures ?

Plusieurs solutions existent (fort heureusement) pour préparer le financement des études supérieures de vos enfants. Par contre, il ne faut pas s’y prendre à la dernière minute.

Assurance vie

Vous pouvez ouvrir une assurance vie au nom de votre enfant dès son plus jeune âge. En effectuant des versements programmés, vous constituez un capital progressivement, auquel ils auront accès lorsqu’ils atteindront leur majorité.

Comptes d’épargne

Le Livret A, le Livret Jeune ou le PEL (Plan Épargne Logement) vous permettront de préparer l’avenir de vos enfants en toute tranquillité.

Investissement immobilier

Si vous en avez la possibilité, investir dans une ville étudiante est également un excellent moyen d’anticiper les études de vos enfants. Ils pourront occuper le logement et vous constituerez un patrimoine intéressant pour vous-même.

Aides financières et bourses pour les étudiants

En fonction de votre situation et des ressources disponibles, il existe de nombreuses aides pour financer les études de vos enfants :

  • Les bourses sur critères sociaux accordées aux étudiants de moins de 28 ans.
  • Pour soutenir financièrement les étudiants qui souhaitent étudier à l’étranger, il existe des bourses accessibles, comme l’aide à la mobilité internationale pour des séjours compris entre 2 et 9 mois, avec un montant de 400 € par mois.

Anticiper le financement des études supérieures de vos enfants est essentiel si vous voulez pouvoir leur offrir la meilleure éducation possible. N’hésitez pas à commencer dès maintenant à mettre en place un plan financier adapté à leurs besoins futurs.

Capital ou rente viagère ? Quel est le meilleur moyen de profiter de votre retraite ?

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L’assurance-vie vous offre la possibilité de vous constituer une épargne au fil des années que vous pourrez récupérer lorsque viendra le temps de la retraite. À ce moment-là, deux options s’offrent à vous pour profiter de vos économies : le versement en capital ou la rente viagère.

Le versement en capital pour récupérer les fonds de votre assurance-vie

Le versement en capital signifie que le souscripteur perçoit les montants investis dans son contrat d’assurance-vie par le biais de rachats, partiels ou totale. Il existe deux formes de versement en capital :

  • Le rachat direct en capital : le souscripteur reçoit en une seule fois le solde du capital investi dans son contrat.
  • Les rachats programmés : le souscripteur ne récupère pas tout son capital d’un coup, mais réalise des rachats partiels programmés.

Bon à savoir : en cas de décès de l’assuré, les montants restant sur le contrat seront transmis aux bénéficiaires désignés.

Avantages ✅Inconvénients ❌
Plus de liberté dans la gestion de son épargneRisque de dilapider rapidement son épargne
Possibilité de transmettre un capital à ses héritiersAucune garantie d’un revenu stable sur le long terme
Opportunité d’investir ou dépenser librement le montant économisé

La rente viagère pour obtenir un revenu régulier

Si vous optez pour la rente viagère, votre assureur s’engage à vous verser une somme d’argent égale et régulière jusqu’à votre décès. Le montant de la rente dépend de deux éléments :

  • Le capital investi dans le contrat
  • L’âge de l’assuré lors de la conversion du capital en rente viagère.
Avantages ✅Inconvénients ❌
Revenu garanti à vie, quelle que soit la durée de vie de l’assuréDécision irréversible qui privilégie l’assureur en cas de décès prématuré
Sécurité et stabilité financière tout au long de la retraiteMoins de souplesse dans la gestion de ses finances
Traitement fiscal plus favorable pour les seniorsPossible perte de valeur de la rente avec l’inflation

Quelle fiscalité pour la rente viagère ?

En ce qui concerne la fiscalité, seule une fraction de la rente viagère est soumise à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux, selon L’âge du bénéficiaire :

  • 70% si l’assuré a moins de 50 ans
  • 50% entre 50 et 59 ans
  • 40% entre 60 et 69 ans
  • 30% pour les assurés âgés de 70 ans et plus

Opter pour une rente viagère signifie choisir la sécurité : la rente garantit un revenu stable jusqu’à votre décès, quel que soit le montant de votre épargne. Mais avant d’opter pour une rente viagère, soyez conscient que cette décision est irréversible : votre épargne sera transférée à l’assureur qui vous reversera les fonds jusqu’à votre décès. S’il reste de l’argent au moment de votre décès, il ne sera pas entièrement reversé aux héritiers à moins d’avoir souscrit une assurance spécifique.

Le choix entre le versement en capital et la rente viagère dépend de nombreux critères. Pour faire votre choix, vous allez devoir analyser vos besoins de revenus, vos objectifs en fonction du montant total de votre épargne, ainsi que votre âge et bien entendu, votre situation familiale. Prenez soin d’étudier chacune des options en détail pour trouver celle qui vous correspond le mieux.

Assurez l’avenir financier de vos enfants dès leur plus jeune âge grâce à ces 5 solutions

Il est naturel pour les parents de vouloir offrir un avenir sécurisé et serein à leurs enfants. La planification financière joue un rôle essentiel dans cette démarche. Dans cet article, nous allons discuter des différentes options d’épargne et d’investissement qui permettront aux jeunes parents d’assurer l’avenir financier de leurs enfants.

Les solutions d’épargne classiques

Dans la jungle des produits financiers, il est parfois difficile de trouver le bon outil pour épargner au profit de ses enfants. Voici quelques solutions d’épargne classiques et accessibles.

Ouverture d’un livret A pour votre enfant

Comme mentionné précédemment, ouvrir un livret A au nom de votre enfant est une solution simple et efficace pour constituer une épargne dès sa naissance. L’avantage d’un livret A est qu’il est défiscalisé, c’est-à-dire exonéré d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux. De plus, son plafond de dépôts (22 950 euros) en fait une solution adaptée pour une épargne à long terme.

Souscrire à un Plan d’Épargne Logement (PEL)

Le PEL est également une option intéressante pour les parents souhaitant épargner pour leurs enfants. Ce produit d’épargne, dont le taux d’intérêt est fixé lors de la souscription, est accessible à partir de 18 ans et permet d’obtenir un prêt immobilier à un taux préférentiel pour l’acquisition ou la construction d’un bien.

  • Avantage : permet de créer une épargne solide en vue d’un achat immobilier.
  • Inconvénient : nécessite une immobilisation des fonds pendant plusieurs années.
maman ouvre livret epargne enfant
Assurez l'avenir financier de vos enfants dès leur plus jeune âge grâce à ces 5 solutions

Les solutions d’épargne spécifiques pour les enfants

Au-delà des produits classiques, il existe également des solutions d’épargne adaptées aux besoins des jeunes parents :

Le Plan d’Épargne Retraite (PER)

Certaines familles utilisent le PER pour économiser de l’argent en faveur de leurs enfants et réduire leur impôt sur le revenu. Toutefois, il est à noter que le projet de loi de finances prévoit de supprimer cet avantage à partir de 2024. Les fonds investis dans un PER sont généralement bloqués jusqu’à la retraite, sauf exceptions.

Les contrats d’assurance-vie

L’assurance-vie est souvent présentée comme une solution idéale pour transmettre un patrimoine à ses enfants. Ce produit d’épargne offre de nombreux avantages, notamment fiscaux, et permet d’investir soit sur des supports sécurisés (fonds en euros), soit sur des supports plus risqués mais potentiellement plus rentables (unités de compte).

  • Avantage : possibilité de diversifier son épargne et de bénéficier d’une fiscalité avantageuse.
  • Inconvénient : choix complexe du contrat d’assurance-vie et de la répartition des supports d’investissement.

Favoriser l’éducation financière de ses enfants

Plus que de constituer une épargne pour ses enfants, il est également crucial de les éduquer sur la gestion de leur argent. Pour ce faire, voici quelques conseils à mettre en pratique :

  • Initier les enfants dès le plus jeune âge à la notion d’épargne (par exemple, en leur offrant une tirelire ou en les incitant à économiser pour un objectif précis).
  • Discuter régulièrement des finances familiales avec vos enfants et expliquer les différents produits d’épargne et d’investissement.
  • Encourager l’autonomie financière en enseignant à vos enfants à gérer leur argent de poche et à budgétiser leurs dépenses.

Assurer l’avenir financier de vos enfants passe par la mise en place de solutions d’épargne adaptées et par l’éducation financière. Chaque parent doit ainsi choisir les produits qui correspondent le mieux à sa situation et aux besoins spécifiques de ses enfants. Néanmoins, n’oubliez pas que les décisions prises aujourd’hui auront des conséquences directes sur la sécurité financière de vos enfants demain. Prenez donc le temps de vous informer et de préparer au mieux leur avenir financier.

Combien rapporte une assurance-vie sur 8 ans ?

L’assurance-vie est le placement privilégié par de nombreux Français pour sécuriser leur argent. Mais quel rendement pouvez-vous réellement espérer de ce produit financier populaire ? Dans cet article, nous détaillerons les performances d’une assurance-vie sur 8 ans.

Les performances des assurances-vie au fil des années

Pour savoir combien peut rapporter une assurance-vie sur 8 ans, il faut étudier son historique et ses évolutions tant en ce qui concerne les fonds en euros que les unités de compte. Il serait trop simple de se focaliser sur la performance d’une seule année pour déterminer le rendement global à huit ans.

Voici quelques données clés pour mieux comprendre :

Fonds en euros : des taux en baisse régulière

Au cours des dernières années, les rendements des fonds en euros ont connu une diminution régulière de leur rendement. De plus de 4% dans les années 90, ils sont passés sous la barre des 2% depuis 2016 et continuent de s’éroder légèrement chaque année. Ceci s’explique notamment par la baisse des taux d’intérêt directeurs fixés par les banques centrales durant cette période.

Le taux de rendement moyen des fonds en euros de l’assurance pour l’année 2022 était de 2,00 % selon l’ACPR. Pour rappel, la performance moyenne des taux de l’assurance-vie 2021 était de 1,30% (source : France Assureurs).

Pour estimer les revenus que vous percevrez après 8 ans, il convient donc de prendre en compte l’évolution des taux directeurs (qui ont bien remonté ces derniers mois). Les contrats d’assurance-vie les plus performants du marché se situent généralement entre 1 et 2% nets de frais de gestion pour les fonds en euros.

Unités de compte : une volatilité accrue, mais davantage de gains potentiels

Dans l’univers des unités de compte (UC), les performances peuvent être beaucoup plus variables d’une année à l’autre. En effet, les UC dépendent des fluctuations des marchés financiers et peuvent également être affectées par d’autres facteurs comme la qualité de la gestion du contrat ou la stratégie d’investissement choisie.

Cependant, malgré cette volatilité, il est possible d’envisager des rendements nettement supérieurs à ceux des fonds en euros sur une période de 8 ans. Certains contrats d’assurance-vie proposant des unités de compte affichent ainsi des performances annuelles moyennes situées entre 3 et 6 % selon les années et la composition des portefeuilles.

Pourquoi miser sur une assurance-vie plutôt qu’autres épargnes traditionnelles ?

L’assurance-vie offre plusieurs atouts par rapport aux autres produits d’épargne classiques comme le livret A ou les plans d’épargne logement (PEL), notamment :

  1. Un rendement supérieur : même si les taux des fonds en euros baissent, ils restent attractifs comparativement au taux du livret A qui plafonne à moins de 1%. Les unités de compte peuvent en outre aller encore plus loin en termes de performance.
  2. Une fiscalité avantageuse : grâce aux abattements et exonérations accordés pour les contrats de plus de 8 ans, vous pourrez bénéficier d’une fiscalité allégée sur vos gains accumulés.
  3. Des possibilités d’investissement variées : possibilité de choisir entre fonds en euros et unités de compte, mais aussi de diversifier son épargne entre plusieurs supports pour mieux répartir les risques.
  4. Une disponibilité de l’épargne : vous pouvez retirer tout ou partie de votre épargne à tout moment sans pénalités après 8 ans (voire avant sous certaines conditions).

Faire fructifier son assurance-vie sur 8 ans : les clés du succès

Pour maximiser le rendement d’une assurance vie sur 8 ans et tirer le meilleur parti de ce placement, voici quelques conseils à suivre :

  • Diversifier ses investissements en allouant une partie de son épargne aux fonds en euros pour la sécurité et une autre partie aux unités de compte pour le potentiel de gains plus élevé.
  • Optimiser la fiscalité en profitant des avantages offerts par cette solution d’épargner une fois passée la période des 8 ans. Les abattements dont vous pouvez bénéficier augmentent au fil du temps, participant ainsi à améliorer la performance totale de votre contrat.
  • Bien choisir son assureur et son contrat en étudiant attentivement les performances antérieures, les frais de gestion et les différentes options proposées. Comparez plusieurs offres pour trouver celle qui correspond le mieux à vos attentes et à votre profil d’investisseur.
  • Réaliser des versements programmés afin d’alimenter régulièrement votre assurance-vie et profiter ainsi de l’effet du capitalisation des intérêts.

Combien rapporte une assurance-vie sur 8 ans dépendra du type de contrat souscrit, des conditions de marché et des choix d’investissement réalisés. En diversifiant les supports, en optimisant la fiscalité et en étudiant sérieusement les offres proposées par les assureurs, vous maximiserez vos chances de tirer profit de ce placement.

À quel âge faut-il souscrire une assurance vie ?

L’assurance-vie est un produit d’épargne et de prévoyance incontournable. Cependant, il n’est pas toujours évident de savoir à quel moment il est judicieux de souscrire ce type de contrat. L’âge idéal pour cette démarche dépendra en grande partie des objectifs recherchés par chaque individu. Quoi qu’il en soit, mieux vaut ne pas trop tarder pour profiter pleinement des avantages offerts par l’assurance-vie.

Souscrire une assurance-vie le plus jeune possible, vraiment ?

Pourquoi envisager de souscrire une assurance-vie dès le plus jeune âge ? Pour connaître plus d’avantages que ceux que nous vous proposons ci-dessous, je vous propose de retrouver d’autres informations sur ce site.

Épargner sur la durée

Commencer tôt permet de constituer progressivement un capital en faisant fructifier son épargne sur du long terme. En effet, moins l’on attend pour investir dans une assurance-vie, plus le montant accumulé sera conséquent.

Optimiser la fiscalité

L’assurance-vie offre un cadre fiscal particulièrement avantageux, qui s’améliore avec le temps. La plupart des contrats d’assurances-vie exonèrent par exemple les intérêts après 8 années de détention. Plus tôt la souscription a lieu, plus vite ces avantages fiscaux seront acquis.

Bénéficier de meilleures garanties

Les assureurs ont tendance à proposer des garanties (décès, invalidité) plus importantes lorsque le souscripteur est jeune et en bonne santé. Les conditions de souscription sont alors généralement moins restrictives et les tarifs plus avantageux.

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À quel âge faut-il souscrire une assurance vie ?

Quels sont toutefois les inconvénients liés à la souscription précoce d’une assurance vie ?

Manque de visibilité sur ses objectifs futurs

Souscrire une assurance vie implique d’avoir une réflexion sur ses besoins et objectifs à moyen et long terme. Il est possible qu’un jeune adulte n’ait pas encore une vision claire de son avenir professionnel et personnel, ce qui peut rendre difficile la définition des paramètres du contrat (capital garanti, durée).

L’incompatibilité avec d’autres priorités financières

Les jeunes adultes ont souvent d’autres projets à financer tels que les études supérieures, l’achat d’une voiture ou d’un logement etc. Ils pourraient être tentés de puiser dans leur capital d’assurance vie pour répondre à ces besoins, alors qu’il serait souhaitable de préserver cette épargne pour l’avenir.

Souscrire à partir de la trentaine : un bon compromis ?

Pour certains, entamer la démarche dès la trentaine peut représenter un équilibre idéal entre sécurité financière, avantages fiscaux et opportunités d’épargne.

Un contexte professionnel stabilisé

La trentaine coïncide souvent avec une stabilité professionnelle accrue, notamment grâce au CDI ou à un emploi stable dans une entreprise qui offre de bonnes perspectives. Plus de visibilité sur ses revenus et sa carrière permet de mieux évaluer le montant et la durée souhaités pour son contrat d’assurance vie.

Des projets familiaux bien définis

C’est aussi à cette période que les individus ont généralement une idée plus précise de leur projet familial (mariage, enfants…), ce qui conforte dans l’idée de souscrire un contrat d’assurance vie.

Une approche équilibrée de l’épargne

Souscrire une assurance vie dans la trentaine laisse suffisamment de temps pour constituer un capital conséquent sans pour autant trop impacter les dépenses courantes et autres investissements locatifs ou épargner pour la retraite.

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À quel âge faut-il souscrire une assurance vie ?

Peut-on encore souscrire lorsque l’on est proche de la retraite ?

Si souscrire une assurance vie tardivement peut sembler moins intéressant, il reste tout de même certaines raisons de se tourner vers ce produit d’épargne après 50 ans :

Transmission du patrimoine

L’assurance vie peut être utilisée comme un outil de transmission de son patrimoine à ses héritiers dans des conditions fiscales avantageuses.

Diversification de son épargne

Il n’est jamais trop tard pour diversifier son épargne, notamment si l’on craint un impact négatif sur le niveau de pension de retraite en vue.

Néanmoins, il faut garder en tête que :

Les avantages fiscaux seront moindres

En souscrivant tardivement, les délais pour profiter pleinement des exonérations fiscales seront écourtés. De plus, certaines garanties de prévoyance ne pourront pas être proposées (ou avec des tarifs moins attractifs) en raison de l’âge avancé du souscripteur.

Le capital constitué sera moins conséquent

Souscrire une assurance vie à un âge avancé signifie également que le temps impartit pour constituer son épargne est limité, ce qui implique un effort d’économie plus important et des sommes investies potentiellement moins importantes.

Les 10 points clés pour choisir son contrat d’assurance vie

Pour sélectionner le contrat d’assurance-vie idéal, prêtez attention aux points clés suivants :

  1. Définir vos objectifs financiers à court, moyen et long terme.
  2. Évaluer votre tolérance au risque pour choisir des investissements adaptés.
  3. Examiner les rendements potentiels des différents supports d’investissement.
  4. Comprendre la fiscalité du contrat pour optimiser les avantages fiscaux.
  5. Vérifier la flexibilité du contrat (versements, retraits, options de gestion).
  6. Analyser les garanties incluses dans le contrat (garantie décès, garantie plancher).
  7. Étudier les frais associés au contrat (frais de gestion, frais d’entrée).
  8. Considérer les options de diversification d’investissement disponibles.
  9. Établir votre profil d’investisseur (prudent, équilibré, dynamique).
  10. Solliciter les conseils d’un expert en assurance vie pour vous guider dans vos choix.

Choisir des options de placement qui vous ressemblent

L’assurance vie est bien plus qu’un simple produit d’épargne ; c’est une véritable boîte à outils financière qui s’adapte à vos besoins et à votre style de vie. En effet, elle vous offre une palette de choix pour faire fructifier votre argent, des plus prudents aux plus audacieux.

Plus de risques, plus de gains

Par exemple, si vous êtes au début de votre vie active, dans la vingtaine ou la trentaine, vous pourriez être tenté de prendre des risques calculés pour maximiser vos gains potentiels. Dans ce cas, vous pourriez opter pour des unités de compte, qui investissent dans des actions ou des fonds immobiliers. Imaginez cela comme planter des graines exotiques dans votre jardin, qui, avec le temps et les bonnes conditions, peuvent croître de manière significative.

Moins de gains, plus de sécurité

À l’inverse, si vous approchez de l’âge de la retraite, vous pourriez préférer la sécurité et la stabilité, en choisissant des fonds en euros, qui sont comme des plantes robustes et fiables, offrant une croissance régulière et stable, bien que plus modeste.

Mais l’important est de savoir que votre stratégie n’est pas gravée dans le marbre. Comme un jardinier attentif, vous pouvez ajuster votre approche au fil du temps, en fonction de l’évolution de vos besoins et de vos objectifs. Ainsi, n’hésitez pas à consulter régulièrement un conseiller financier, qui pourra vous aider à faire le point sur votre contrat et à ajuster vos choix de placements, pour que votre assurance vie reste toujours en phase avec votre projet de vie.

L’âge idéal pour souscrire une assurance vie dépend principalement des objectifs visés par chaque individu. Si souscrire jeune présente des avantages indéniables, prendre le temps d’y réfléchir dans la trentaine peut également constituer un compromis judicieux. Enfin, même à un âge plus avancé, il n’est jamais trop tard pour se tourner vers une telle solution d’épargne.

Quel est le montant minimum d’une assurance vie ?

Dans un contrat d’assurance vie, le plafond correspond à la somme maximale que le souscripteur peut retirer en termes d’exonération fiscale, mais aussi du montant du capital transmissible aux bénéficiaires au moment du décès. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il convient tout d’abord de comprendre le fonctionnement d’un contrat d’assurance vie.

Versement initial minimumPas de minimum. À la diligence de l’assureur
Versement annuel ou mensuel minimumPas de minimum. À la diligence de l’assureur
Plafond maximumAucun plafond pour les contrats d’ssurance-vie
Retrait maximumPas de retrait max. Éxonéré d’impôt jusqu’à 152 500€

Quel est le plafond de versement dans un contrat d’assurance-vie ?

En ce qui concerne l’assurance-vie, le montant du versement initial n’est pas défini par la loi, les assureurs ou banquiers fixent leurs propres règles. De façon générale, le minimum de dépôt s’élève en moyenne à 100 euros auprès des organismes assureurs.

Tout au long du contrat, le souscripteur est libre de faire augmenter son capital sans plafond de versement annuel prédéfini par l’assureur, il peut par conséquent opter pour des versements périodiques ou des versements libres.

La souscription d’un contrat d’assurance-vie permet de se constituer une épargne sur le moyen ou long terme tout en bénéficiant d’un régime d’imposition privilégié. Cependant, la fiscalité privilégiée est applicable sur les plus-values en cas de rachat ou au moment de la transmission du capital aux bénéficiaires désignés par le souscripteur.

Existe-t-il des plafonds pour les intérêts d’une assurance vie ?

Un contrat d’assurance vie est rémunéré annuellement si le capital est placé sur un fonds en euros puisque cela signifie que l’établissement assureur s’engage à sécuriser et garantir le placement.

Théoriquement, le revenu d’un contrat n’est pas plafonné, bien qu’il varie en fonction de la performance du fonds en euros, dont le taux est généralement compris entre 2,5% à 3%. Toutefois, si le capital est investi partiellement en unités de comptes, les gains générés par le placement seront dénommés rendement ou plus-values. Lorsque l’assurance vie est placée sur les UC, aucun plafond n’est envisageable puisque le rendement dépend entièrement de la performance des supports : les fonds communs de placement, les actions, les parts de SCPI, etc.

Quel est le plafond de rachat non imposable pour les primes versées avant le 27 septembre 2017 ?

Le régime fiscal appliqué pour le rachat de capital dans un contrat d’assurance vie diffèrera pour les versements réalisés avant le 27 septembre 2017 ou après selon la réforme Macron.

Dans un contrat d’assurance vie, seuls les intérêts sont taxables, le capital est exonéré d’impôt et le retrait n’est pas non plus plafonné. Les contrats de plus de 8 ans bénéficient également d’un abattement fiscal à hauteur de 4.600 euros par an et pour un couple l’abattement fiscal atteint les 9.200 euros.

Si le contrat d’assurance vie est âgé de moins de 8 ans, les rachats sont imposés bien qu’il s’agisse d’un rachat partiel ou total et aucun abattement fiscal n’existe. Cependant, le souscripteur est libre de choisir entre la taxation à l’impôt sur le revenu ou pour un prélèvement forfaitaire libératoire, mais, quelle que soit la base de taxation choisie, un prélèvement de cotisations sociales de 17,20 % s’applique toujours dans les deux cas.

Quel est le plafond de rachat non imposable pour les primes versées après le 27 septembre 2017 ?

Le souscripteur peut choisir entre l’impôt sur le revenu ou le plafond forfaitaire unique comme base taxable sur les intérêts d’une assurance vie dont les primes versées avant le 27 septembre 2017. Le taux d’imposition le même pour les deux bases taxables qui est de 12,8% ajouté d’un prélèvement social de 17,2%. Comme dans les cas des primes versées avant le 27 septembre 2017, lorsque le contrat a plus de 8 ans, le souscripteur bénéfice d’un abattement fiscal de 4.800 euros chaque année. Mais la loi de finances de 2018 a aussi prévu que la partie excédentaire de 150.000 euros est imposable raison de 12,8% comme le PFU et le taux d’imposition des premiers 150.000 euros est de 7,5%. Le plafond de versements est de 300.000 euros pour un couple marié légitimement.

agenda 2017
Quel est le plafond de rachat non imposable pour les primes versées après le 27 septembre 2017 ? – ©Gerd Altmann, CC0 Creative Commons

Quel est le plafond de la transmission de capital non imposable pour les primes versées avant 70 ans ?

L’assurance vie n’est pas intégrée à l’actif de la succession en cas de décès du souscripteur. Cela est aussi valable en matière de fiscalité, seulement si les primes ont été versées avant le 70ème anniversaire de l’assuré.

Au moment du décès du souscripteur, si la totalité des primes versées ne dépasse pas les 152.500 euros, la transmission de capital aux bénéficiaires est entièrement exonérée d’impôts. Si de son vivant, le souscripteur a désigné trois bénéficiaires disposants des parts égales et que la valeur du contrat s’élève à 457.500 euros, la transmission est non taxable puisqu’ils bénéficieront 152.500 euros chacun. Dans le cas où la valeur du contrat dépasse les 152.500 euros, seulement le dépassement sera taxé sur la base d’un forfaitaire dépendant du barème des droits successoraux.

Quel est le plafond de la transmission de capital non imposable pour les primes versées après 70 ans ?

Dans un contrat d’assurance vie, le régime fiscal appliqué à la transmission de capital aux bénéficiaires est moins privilégié si les versements des primes ont été réalisés après le 70ème anniversaire du souscripteur. Cela s’explique par le fait que si les versements de primes ont été effectués après les 70 ans, elles seront intégrées à l’actif successoral du souscripteur à son décès après un abattement fiscal de 30.500 euros.

L’abattement fiscal s’applique sur les primes investies durant la durée du contrat d’assurance vie. Toutefois, les intérêts gagnés sont totalement exonérés d’impôts. Dans le cas où le capital constitué au terme de contrat d’assurance vie n’excède pas les 30.500 euros, la transmission de capital aux bénéficiaires sera entièrement non taxable.

Quels sont les contrats d’assurance vie entièrement exonérés d’impôts ?

Certains contrats d’assurance vie sont totalement exemptés d’impôts, autrement dit, aucun plafond n’est fixé en termes de fiscalité tant pour la transmission du capital, mais aussi concernant les rachats. Un rachat partiel ou total est exempté d’impôt si le contrat d’assurance vie a été conclu avant le 1er janvier 1983 ou si les versements de primes ont été réalisés avant le 25 septembre 1997. Si la souscription de l’assurance vie a été effectuée avant le 20 novembre 1991 et les versements de primes réalisés avant le 13 octobre 1998, le capital à transmettre aux bénéficiaires est complètement non taxable quel que soit le montant. Il en est de même pour toutes les souscriptions effectuées après le 20 novembre 1991, mais que les primes ont été versées avant le 12 octobre 1998 à condition avant le 70ème anniversaire de l’assuré. Quant aux rachats, il importe de préciser qu’ils sont totalement défiscalisés s’ils avaient lieu avant septembre 1997.

Assurance-Vie : fonctionnement, fiscalité, supports, bénéficiaire…

L’assurance-vie est un produit financier très prisé en France, qui permet à la fois de se constituer une épargne et de protéger ses proches en cas de décès. Bien qu’elle soit faiblement rémunérée, l’assurance-vie présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, le droit de succession exonérée d’impôt, la sécurisation du capital, etc. Mais comment fonctionne une assurance-vie ?

Assurance-vie : Pourquoi souscrire un contrat ?

L’assurance-vie est le moyen d’épargne le plus populaire en France. D’après les chiffres de France Assureurs, à la fin de décembre 2022, les montants investis dans les contrats d’assurance-vie s’élevaient à 1 842 milliards d’euros. Cela montre à quel point les Français font confiance à ce moyen pour épargner et sécuriser leur avenir financier.

La souscription d’un contrat d’assurance-vie permet à l’intéressé de poursuivre divers objectifs. Il s’avère que l’assurance-vie permet de produire des revenus complémentaires en vue de la retraite ou d’une transmission de fonds en cas de décès. De ce fait, l’assurance-vie est un moyen qui assure la constitution d’un patrimoine sur le moyen ou long terme.

Les différents contrats

Pour commencer, vous devrez souscrire un contrat d’assurance-vie auprès d’un assureur ou d’une banque. Ce contrat peut être individuel ou collectif (souscrit par plusieurs personnes). Il existe deux grands types de contrats d’assurance-vie :

  • Les contrats en cas de vie : ces contrats prévoient le versement d’un capital ou d’une rente au souscripteur à l’échéance du contrat, s’il est toujours en vie. Ils sont surtout utilisés pour se constituer une épargne à long terme.
  • Les contrats en cas de décès : ces contrats prévoient le versement d’un capital ou d’une rente aux bénéficiaires désignés par le souscripteur en cas de décès de celui-ci avant l’échéance du contrat. Ils ont pour objectif principal de protéger les proches du souscripteur.

Il est également possible de combiner ces deux types de contrats, ce qui est souvent le cas dans la pratique. On parle alors de contrats mixtes.

Les différentes garanties proposées

Selon les contrats, différentes garanties peuvent être proposées pour accompagner le versement du capital en cas de décès :

  • La garantie plancher : elle garantit que le montant versé aux bénéficiaires ne sera pas inférieur à un certain seuil (généralement, le montant des primes versées).
  • La garantie revalorisation : cette garantie permet d’ajuster le montant du capital en fonction de l’évolution des prix, afin de préserver son pouvoir d’achat.
  • La garantie décès accidentel : elle prévoit un versement supplémentaire aux bénéficiaires en cas de décès par accident.
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Assurance-Vie : fonctionnement, fiscalité, supports, bénéficiaire...

Le choix des supports d’investissement

Lorsqu’on souscrit une assurance-vie, on choisit aussi la façon dont seront investis nos fonds. On peut distinguer deux grandes catégories de supports :

  • Le fonds en euros : ce support garanti offre une rémunération annuelle minimum et une sécurité du capital investi. Néanmoins, son rendement est habituellement plus faible que celui des autres supports.
  • Les unités de compte (UC) : ces supports non garantis incluent des actions ou obligations de sociétés, des parts de fonds d’investissement, etc. Leur performance dépend de l’évolution des marchés financiers, et ils présentent donc un risque de perte en capital.

Il est possible de réaliser des arbitrages entre ces différents types de support en cours de vie du contrat, afin d’adapter son investissement à l’évolution de ses projets et de ses besoins.

La gestion des contrats d’assurance-vie

Plusieurs modes de gestion peuvent être proposés pour gérer les placements effectués dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie :

  • La gestion libre : le souscripteur décide lui-même des montants et des supports sur lesquels il souhaite investir.
  • La gestion pilotée : un conseiller financier oriente les choix du souscripteur et met en place une stratégie d’investissement adaptée à son profil.
  • La gestion sous mandat : le souscripteur confie la gestion de son contrat à un professionnel (banque ou assureur), qui prend en charge les décisions d’investissement.
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Assurance-Vie : fonctionnement, fiscalité, supports, bénéficiaire...

Comment récupérer l’argent sur un contrat d’assurance vie ?

Le capital investi sur un contrat d’assurance vie n’est pas totalement bloqué puisqu’il est possible de le retirer en cas d’extrême urgence par exemple ou bien si un changement de projet apparaît. Toutefois, les causes des retraits varient en fonction des besoins du souscripteur. À cet effet, il peut retirer son capital en faisant un rachat partiel libre, un rachat partiel planifié ou une avance.

Rachat partiel libre

Le rachat partiel libre correspond à un retrait partiel du capital constitué. Il n’est possible que suivant accord de l’assuré. Pour cela, le versement devra s’effectuer par la compagnie d’assurance vie deux mois après la réception de la demande de retrait ou de rachat. Passé ce délai, la compagnie d’assurance vie doit verser des intérêts moratoires à l’assuré. De plus, un rachat partiel doit être stipulé un prélèvement forfaitaire libératoire ou d’impôt sur le revenu et il faut noter que ce type de rachat est faisable en ligne.

Rachat partiel programmé

Le rachat partiel programmé permet au souscripteur de prévoir le retrait ou le rachat d’une partie de son investissement. Ce type de rachat concerne surtout les épargnants souhaitant se constituer des revenus supplémentaires réguliers pendant la retraite. Un montant minimum est figuré dans le contrat d’assurance vie.

Enfin, il y a ce qu’on appelle l’avance ; similaire aux emprunts bancaires, c’est un service proposé aux épargnants par la compagnie d’assurance et est assorti d’un intérêt. Elle n’a aucune incidence sur la valeur du contrat d’assurance-vie. L’avance est accordée aux épargnants selon un besoin de fonds ponctuel.

La désignation des bénéficiaires

Lorsqu’on souscrit une assurance-vie, on désigne également les bénéficiaires de son contrat d’assurance-vie. Il peut choisir une ou plusieurs personnes de son choix, qu’il souhaite gratifier en cas de décès. Les bénéficiaires peuvent être des membres de la famille, des proches, des amis ou même des associations caritatives.

Il est essentiel de désigner clairement les bénéficiaires dans le contrat afin d’éviter tout litige ultérieur. En cas de décès du souscripteur, l’assureur versera alors le capital ou la rente au(x) bénéficiaire(s) désigné(s).

L’assurance-vie est donc un moyen efficace pour protéger ses proches et leur assurer un avenir financier sécurisé.

La fiscalité (impôt) de l’assurance-vie

L’assurance-vie bénéficie d’un cadre fiscal avantageux, tant pour le souscripteur que pour les bénéficiaires :

  • Les intérêts générés par le contrat sont exonérés d’impôt sur le revenu après 8 ans, dans la limite d’un certain montant (4 600 euros pour une personne seule et 9 200 euros pour un couple).
  • En cas de décès, les capitaux transmis aux bénéficiaires sont également exonérés de droits de succession, jusqu’à un certain plafond (152 500 euros par bénéficiaire).

Les retraits et rachats sur un contrat d’assurance-vie

En cours de vie du contrat, il est possible d’effectuer des retraits (ou rachats) partiels ou totaux sur son assurance-vie. Ces retraits peuvent être soumis à imposition selon la durée de détention du contrat :

  • Pour un contrat de moins de 4 ans : les intérêts générés par le contrat sont imposables au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 %.
  • Pour un contrat entre 4 et 8 ans : les intérêts sont imposables au PFU de 7,5 %.
  • Pour un contrat de plus de 8 ans : comme indiqué précédemment, les intérêts peuvent être exonérés d’impôt sur le revenu dans la limite des plafonds mentionnés.

Les retraits effectués avant 8 ans d’épargne peuvent donc avoir un impact fiscal non négligeable. Il est donc important de bien anticiper ses besoins financiers pour optimiser la gestion de son assurance-vie.

La clôture du contrat d’assurance-vie

La clôture d’un contrat d’assurance-vie peut intervenir à l’échéance prévue (en cas de contrat à durée déterminée), ou lors du décès du souscripteur (pour les contrats en cas de décès). Dans ce dernier cas, il est important que les bénéficiaires désignés récupèrent rapidement les documents nécessaires pour obtenir le versement du capital auprès de l’assureur.

Capital garanti : Que cache ce terme utilisé par les banques et assurances ?

Il est possible de conserver de l’argent liquide chez soi, mais l’endroit le plus sûr pour mettre ses sous à l’abri reste auprès des institutions financières et bancaires. Dans le monde des investissements et des assurances, le terme capital garanti est souvent utilisé. Il peut parfois être difficile de saisir son fonctionnement et ses avantages pour l’investisseur ou l’assuré. 

Qu’est-ce qu’un capital garanti ?

Le capital garanti correspond au montant minimum qui sera reversé à l’investisseur ou l’assuré à l’échéance d’un placement ou d’un contrat d’assurance. Cela signifie que peu importe les fluctuations des marchés financiers ou la situation économique, une somme préalablement déterminée sera versée à l’investisseur ou à l’assuré. Dans la pratique, les sommes déposées à titre de capital garanti ont une durée de vie variable comprise entre 3 et 6 ans, selon chaque assureur.

Exemple : Un investisseur place 10 000€ sur un produit financier avec un capital garanti de 100%. À l’échéance du placement, si les marchés ont été défavorables et que les gains espérés n’ont pas été atteints, l’investisseur récupérera tout de même la totalité de la somme initiale (10 000€).

Les différents types de capital garanti

Il existe plusieurs sortes de capital garanti, chacun offrant une certaine garantie concernant le montant qui sera reversé à l’échéance. On distingue principalement deux types de capital garanti :

  1. Le capital garanti à 100% : Dans ce cas, la totalité du montant investi est garantie à l’échéance du contrat.
  2. Le capital garanti partiel : Seule une partie du montant investi est garantie. Par exemple, un capital garanti à 80% signifie que 80% de la somme investie sera récupérée dans tous les cas, même si les marchés ont été défavorables.
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Capital garanti : Que cache ce terme utilisé par les banques et assurances ?

Quelles sont les différences entre capital garanti, capital protégé et capital à promesse ?

Il existe trois catégories de placements dont la spécificité dépend de la garantie apportée : le placement à capital garanti, le placement à capital protégé et le placement à promesse.

  • Le placement à capital garanti se caractérise par la possibilité de l’investisseur à récupérer, à l’échéance du contrat, la totalité des fonds nets initialement versés. Le fonds à capital garanti favorise la sécurisation du capital aux dépens de la performance.
  • Le placement à capital protégé ne garantit l’investissement que partiellement. Si les indices augmentent, il est logique que l’investissement produise un haut rendement. Dans le cas contraire, le fonds offre des perspectives de rendement inférieures, de ce fait une moins-value est fortement probable et demeure inévitable.
  • Le placement à promesse ne contraint l’établissement financier à aucune forme de couverture. Ils font seulement la promesse de ne saisir qu’une performance minimale, même si les indices déprécient.

Dans quels types de contrats trouve-t-on un capital garanti ?

Le capital garanti peut être présent dans différents types de contrats d’assurance et de produits financiers :

  • Assurance-vie : Les contrats d’assurance-vie en euros sont, pour la plupart, des contrats avec un capital garanti à 100%. Ainsi, à l’échéance du contrat, l’assuré récupérera au moins sa mise initiale, majorée éventuellement des intérêts annuels.
  • Produits structurés : Il s’agit d’un type de placement financier dont le rendement dépend des performances d’un ou plusieurs sous-jacents (actions, obligations, etc.) tout en garantissant une partie de l’investissement.
  • Contrats de prévoyance : Dans certains cas, comme en cas de décès, un capital garanti peut également être prévu dans les contrats d’assurance de type prévoyance.

Les fonds sécurisés

Certains fonds d’investissement proposent aussi un capital garanti en intégrant des mécanismes de couverture destinés à minimiser les pertes lors des phases de baisse du marché. Toutefois, contrairement aux placements précédemment cités, il n’y a pas de garantie formelle quant au montant qui sera récupéré à l’échéance du contrat.

De quoi dépend la performance financière d’un capital garanti ?

La performance financière d’un capital dépend en fait de la formule de calcul appliquée à l’évolution d’un panier de valeurs boursières ou des indices pendant la durée du placement. Puisqu’en effet, les placements à capital garanti sont sensibles aux fluctuations des indices sur le marché boursier. Les rendements varieront en fonction de l’évolution des cours qui a tendance à s’effectuer de façon linéaire. Le mode de calcul est généralement basé sur la moyenne des variations et non la différence entre la valeur liquidative initiale et la valeur liquidative finale.

Quelles sont les techniques de gestion des placements à capital garanti ?

Le placement à capital garanti peut introduire trois sortes de dispositions quant à leur gestion : la gestion à effet cliquet, la gestion à effet coussin et la gestion des fonds autocall.

  • Lorsqu’il s’agit d’une gestion à effet cliquet, cela signifie qu’un actif a atteint ou excède un certain niveau, les bénéfices sont réunis et ensuite placés sur un ou des supports sécurisés.
  • Lorsqu’il s’agit d’une gestion de fonds à effet coussin, cela indique que la part des actifs risqués dépasse un niveau significatif, de ce fait, l’investissement est rétabli en faveur des actifs sécurisés.
  • On parle de gestion de fonds autocall lorsque les fonds investis sont appelés à être remboursés en anticipant des coupons. Le coupon n’est autre qu’un capital net des frais de souscription ajouté d’un gain basé sur l’évolution d’un indice boursier sous-jacent ou d’un panier de valeurs. Le fonds autocall a une durée de vie dépendant de la durée du placement, mais la durée maximale est de 10 ans. Lorsque le placement est géré en fonds autocall, le dépôt est garanti à terme du placement à condition que l’indice sous-jacent n’ait pas déprécié au-dessous d’un seuil prédéterminé, généralement de 30% à 40%.

Dans quelles situations opter pour un capital garanti ?

Choisir un placement ou un contrat avec un capital garanti dépend avant tout de votre profil d’investisseur et de vos besoins en matière de sécurité financière. Voici quelques exemples de situations où un capital garanti peut être intéressant :

  • Pour sécuriser une épargne : Si vous souhaitez placer de l’argent sans prendre de risque ou si vous avez besoin d’une certaine stabilité financière, le capital garanti est une option rassurante.
  • Lorsqu’on approche de la retraite : À mesure que l’on se rapproche de la retraite, il devient essentiel de limiter les risques et de protéger son capital. Le choix d’un contrat d’assurance ou d’un placement avec capital garanti apporte ainsi une tranquillité d’esprit.
  • Planification successorale : Un produit avec un capital garanti permet d’assurer la transmission d’un patrimoine en cas de décès, en récupérant un montant minimum garanti par le contrat d’assurance.

Toutefois, il est essentiel de noter que les placements avec capital garanti offrent souvent des rendements moindres que les placements plus risqués. Il convient donc d’évaluer vos objectifs financiers et votre tolérance au risque avant de choisir une telle option.

Quels sont les avantages et inconvénients d’un capital garanti ?

Pour finir, voici un résumé des avantages et inconvénients d’un capital garanti :

  • Avantages :
    • Sécurité financière avec une garantie sur le montant investi en cas de fluctuations défavorables du marché.
    • Tranquillité d’esprit pour l’investisseur, notamment dans les phases de la vie durant laquelle la protection du capital est essentielle (approche de la retraite, planification successorale).
  • Inconvénients :
    • Rendements généralement moins élevés que ceux des placements plus risqués.
    • Peut ne pas être adapté à tous les profils d’investisseurs, particulièrement les plus jeunes ou ceux ayant une tolérance au risque plus importante.

Quelles sont les deux nuances juridiques en termes de capital garanti ?

Il existe bel et bien deux nuances juridiques bien distinctes en termes de capital garanti : la notion d’aléas ou sinistres et le concept de primes versées. D’ailleurs, cela est clairement mis en évidence par l’article L.132-13 du Code des assurances.

Dans un contrat d’assurance, la notion d’aléa ou sinistre est souvent évoquée. Cette notion repose en fait sur la durée de vie de l’assuré. Ce qui signifie que le moment de versement du capital constitué aux bénéficiaires est totalement inconnu. Toutefois, les finalités d’un contrat d’assurance vie et de la succession patrimoniale doivent être clairement distinguées puisqu’elles diffèrent énormément. Les règles de la dévolution en matière de succession qui déterminent les héritiers ne sont pas applicables comme celles d’une assurance vie bien que ceux-là soient assez restreints.

Les primes versées sur un contrat d’assurance vie sont conservées par la compagnie d’assurance ce qui signifie que l’assureur à des dettes envers le souscripteur et en effectuant un rachat de capital, il exerce alors un droit de créance. Le versement des primes se fait en fonction du degré d’engagement du souscripteur, mais aussi de sa disponibilité temporelle et financière. Il peut s’agir d’un versement à prime unique, un versement à primes périodiques ou versement libre.

Un souscripteur est souvent tenu de choisir le versement à prime unique lorsque son investissement est très important puisque le versement doit se faire en une seule sans possibilité d’en faire d’autres dans le futur. Le versement à primes périodiques concerne le souscripteur qui décide de répartir ses dépôts selon un montant et une périodicité fixes. Et enfin, les contrats à versement libre permettent au souscripteur de verser le montant qu’il souhaite à tout moment sans que rien ne lui soit imposé.

Avis Mon Petit Placement : la plateforme qui vous accompagne pour faire fructifier votre épargne !

Vous avez remarqué que les vieilles méthodes d’épargne, comme le livret A ou le PEL, ne rapportent plus grand-chose de nos jours ? Du coup, pas mal de gens cherchent d’autres moyens de faire fructifier leur argent. C’est là que Mon Petit Placement entre en jeu. C’est un service d’investissement en ligne qui combine les avantages de l’assurance-vie avec des conseils sur mesure et un accès facile aux meilleures opportunités du moment.

Une offre adaptée à chaque profil d’investisseur

Chez Mon Petit Placement, l’objectif est de rendre l’investissement accessible à tous, quel que soit le niveau de connaissance financière ou la capacité d’épargne. Pour cela, la plateforme propose une gamme complète de solutions d’investissement, réparties en quatre niveaux de risque :

  • Prudent : pour les investisseurs souhaitant privilégier la sécurité de leur capital, avec une allocation majoritairement orientée vers des fonds en euros.
  • Équilibré : pour ceux qui sont prêts à prendre un peu plus de risques, avec une diversification sur les marchés actions et obligations.
  • Dynamique : pour les investisseurs recherchant une performance maximale, avec une exposition importante aux marchés boursiers internationaux.
  • Audacieux : pour ceux qui n’ont pas peur de prendre des risques et souhaitent profiter des opportunités offertes par les marchés émergents et les secteurs d’avenir.

Chaque profil est ensuite décliné en trois portefeuilles distincts, correspondant à différents montants d’investissement :

  1. Petit : accessible dès 300 € d’épargne.
  2. Moyen : pour un investissement compris entre 1 000 € et 10 000 €.
  3. Grand : réservé aux épargnants disposant de plus de 10 000 € à investir.

Un accompagnement personnalisé et digitalisé

L’une des forces de Mon Petit Placement réside dans son approche centrée sur l’accompagnement du client. Lors de l’inscription, chaque utilisateur se voit attribuer un conseiller personnel, chargé de l’aider à déterminer ses objectifs financiers et sa stratégie d’investissement. Ce conseiller reste disponible tout au long de la relation pour répondre aux questions, ajuster la stratégie si besoin et accompagner l’évolution du portefeuille.

Cette approche est complétée par une plateforme intuitive et ergonomique, permettant de suivre facilement l’évolution de ses placements et d’accéder à une information claire et transparente sur la composition du portefeuille, les frais et les performances réalisées.

Des outils pédagogiques pour comprendre l’investissement

Conscients que la finance peut parfois sembler complexe, Mon Petit Placement met à disposition de ses utilisateurs une série d’outils pédagogiques pour les aider à mieux comprendre les enjeux de l’investissement et prendre des décisions éclairées. Au programme : des articles de blog, des vidéos explicatives, des webinars ou encore des quiz interactifs.

Des frais réduits grâce au modèle digital

L’un des principaux avantages de Mon Petit Placement est son modèle 100 % digital, qui permet de réduire significativement les frais liés à la gestion des contrats d’assurance-vie. Ainsi, la plateforme ne prélève aucuns frais d’entrée, de sortie ou de versement sur les contrats, et les frais annuels de gestion sont limités à :

  • 0,60 % pour les fonds en euros.
  • 0,85 % pour les unités de compte (UC).

À titre de comparaison, les frais de gestion moyens constatés sur le marché sont de l’ordre de 1,80 % pour les UC et de 0,70 % pour les fonds en euros. De plus, Mon Petit Placement propose régulièrement des offres promotionnelles, sous forme de code promo, permettant de bénéficier de réductions supplémentaires sur les frais de gestion ou de profiter d’avantages exclusifs.

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Avis Mon Petit Placement : la plateforme qui vous accompagne pour faire fructifier votre épargne !

Une performance au rendez-vous ?

Mon Petit Placement sélectionne rigoureusement les supports d’investissement proposés, en privilégiant ceux qui offrent une performance supérieure à la moyenne du marché. Ainsi, les fonds en euros disponibles sur la plateforme affichent un rendement moyen de 2 % en 2020, contre 1,50 % pour le marché global.

Pour ce qui est des unités de compte, Mon Petit Placement ne communique pas de performance globale, mais met en avant des exemples de portefeuilles ayant réalisé des performances annuelles comprises entre 5 % et 20 % selon les profils de risque et les périodes considérées. Il est important de rappeler que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et que l’investissement en UC comporte des risques de perte en capital.

Des partenariats avec les meilleurs acteurs

Pour garantir la qualité des supports d’investissement proposés, Mon Petit Placement s’appuie sur des partenariats avec certaines des meilleures sociétés de gestion du marché, telles que Carmignac, Amundi ou BlackRock. Ces partenaires sont sélectionnés selon des critères stricts, incluant notamment la solidité financière, l’expertise sectorielle et l’historique de performance.

Notre avis sur Mon Petit Placement : une solution innovante et compétitive

Mon Petit Placement apparaît comme une alternative intéressante aux solutions d’épargne traditionnelles, alliant simplicité, accompagnement personnalisé et performance. Ses frais réduits et son offre diversifiée séduiront aussi bien les investisseurs débutants que les épargnants expérimentés à la recherche de nouvelles opportunités. Néanmoins, il convient de garder à l’esprit que l’investissement en assurance-vie comporte des risques et doit être appréhendé avec prudence.

Profitez de ces placements bien plus attractifs que le Livret A !

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Découvrons ensemble les alternatives possibles à la traditionnelle solution d’épargne qu’est le Livret A et comment vous pouvez diversifier vos placements pour optimiser la rentabilité de votre épargne.

Le taux du Livret A réévalué à la hausse ?

Le Livret A peine à protéger l’épargne face à l’inflation, malgré un taux relevé à 3%. De plus, la Cour des comptes met en garde contre le risque d’utilisation des fonds du Livret A par la Caisse des dépôts pour des projets plus risqués. Même s’il sera probablement relevé à 3,5% voir 4% le premier aout, le placement préféré des Français peinent toujours face à l’inflation. Pour cela, il faut donc observer les différentes alternatives pour diversifier son épargne et ainsi mieux la rentabiliser.

Les alternatives au Livret A

Plusieurs produits d’épargne permettent de faire fructifier son argent autrement que sur un Livret A tout en limitant les risques. D’autres placements peuvent offrir des rendements plus élevés. Par exemple, les actions, les fonds d’investissement, l’immobilier ou certains produits d’assurance-vie peuvent offrir de meilleurs rendements sur le long terme. Cependant, ces placements comportent généralement un risque plus élevé.

Le Plan Épargne Logement (PEL)

Le PEL est un produit d’épargne régulé par l’État français qui répond aux besoins des épargnants à court terme. Il offre plusieurs avantages, notamment une rémunération plus attractive que celle du Livret A, une exonération d’impôt sur les intérêts pour une durée maximale de 12 ans, et la possibilité de contracter un prêt immobilier à un taux préférentiel.

L’Assurance-vie

L’assurance-vie représente un bon équilibre entre sécurité et rentabilité. Elle protège vos économies avec des avantages fiscaux intéressants, surtout sur le long terme. Deux choix s’offrent à vous :

  • Fonds en euros : pour les épargnants prudents qui souhaitent garantir la sécurité de leur capital.
  • Unités de compte (UC) : pour ceux qui cherchent une meilleure rentabilité et sont prêts à accepter un niveau de risque plus élevé.

Les Comptes à terme

Ces comptes offrent une rémunération garantie pour une durée fixe, généralement comprise entre 1 et 5 ans. Ils conviennent aux épargnants qui n’ont pas besoin de disposer immédiatement de leur argent et qui cherchent une meilleure rentabilité que celle du Livret A.

En attendant, le livret A reste une option particulièrement intéressante pour disposer d’une épargne de sécurité que vous pouvez débloquer immédiatement. Si vous n’en avez pas, vous pouvez suivre ce tuto pour vous aider à ouvrir un livret A en ligne.

La diversification de l’épargne : clé d’une gestion optimale

Pour profiter au mieux des opportunités offertes par les différents produits d’épargne, il est essentiel de bien diversifier ses placements. Voici quelques conseils pour y parvenir :

  • Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier : répartissez votre épargne sur plusieurs produits afin de limiter les risques et d’optimiser la rentabilité globale.
  • Adapter ses placements en fonction de son profil : prenez en compte votre âge, vos objectifs financiers et votre tolérance au risque pour choisir les bons produits d’épargne.
  • Se tenir informé des évolutions du marché : surveillez régulièrement les taux d’intérêt, l’inflation et les tendances économiques pour ajuster vos placements en conséquence.
  • Faire appel à un conseiller financier : si vous n’êtes pas sûr de vos choix ou que vous souhaitez une aide personnalisée, consultez un professionnel qui saura vous orienter vers les meilleures solutions d’épargne.

Une sécurité incontestable qui ne suffit plus

Le Livret A est certes un produit d’épargne simple et sûr, mais il ne suffit plus aujourd’hui pour protéger efficacement son épargne face à l’inflation. L’alternative consiste donc à se tourner vers d’autres produits d’épargne, tels que le PEL, l’assurance-vie ou les comptes à terme, tout en diversifiant ses placements pour optimiser la rentabilité globale de son patrimoine.

Il faut souligner que, bien que le Livret A offre une facilité d’accès et une sécurité incontestables, il ne permet plus de lutter efficacement contre l’érosion monétaire due à l’inflation. Mais n’oublions pas, choisir entre ces différentes alternatives n’est que la première étape d’une gestion judicieuse de votre patrimoine.

La véritable clé réside dans la diversification de vos placements. Pensez à cela comme à une manière de mettre vos œufs dans différents paniers : cela permet non seulement de minimiser le risque, mais également d’exploiter le potentiel de différents types d’investissements.

Le Livret A est une option sûre, mais il ne devrait pas être votre seul placement. N’hésitez pas à explorer d’autres options d’épargne et à diversifier vos investissements. Cela vous aidera non seulement à préserver, mais aussi à augmenter votre capital.

Bruno Le Maire compte sur votre argent pour financer la transition écologique !

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L’assurance-vie, un levier pour financer la transition écologique

Le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, souhaite mobiliser l’épargne des Français afin de financer la transition écologique du pays. Dans une interview accordée à La Tribune, le ministre a déclaré vouloir utiliser les fonds placés dans les contrats d’assurance-vie pour participer au financement de projets liés à l’environnement.

Un enjeu crucial pour la France

La France s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de lutte contre le réchauffement climatique et de transition vers une économie plus verte. Pour y parvenir, il est nécessaire de trouver des sources de financement permettant de soutenir les investissements publics et privés dans ce domaine. En faisant appel à l’épargne des Français, le gouvernement entend ainsi contribuer à la mise en œuvre de sa politique environnementale tout en valorisant les efforts consentis par les épargnants.

Les Français, grands détenteurs d’assurance-vie

Les contrats d’assurance-vie représentent près de 1 800 milliards d’euros d’encours en France, soit environ deux tiers de l’épargne financière des ménages français. C’est donc un gisement considérable de ressources financières que le gouvernement souhaite mobiliser pour financer la transition écologique. En incitant les épargnants à consacrer une part de leur assurance-vie à des projets écologiques, le gouvernement espère ainsi générer plusieurs dizaines de milliards d’euros d’investissements dans ce secteur.

Des incitations fiscales pour encourager l’épargne verte

Pour convaincre les détenteurs d’assurance-vie de participer au financement de la transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé la mise en place d’un système d’incitations fiscales. Ainsi, les revenus tirés de ces placements verts pourraient bénéficier d’une exonération d’impôt sur le revenu ou de prélèvements sociaux, afin de les rendre plus attractifs pour les épargnants. Par ailleurs, les assureurs pourraient être incités à proposer des contrats spécifiquement dédiés au financement de projets environnementaux.

Un plan d’action pour mobiliser l’épargne en faveur de la transition écologique

Afin de mettre en œuvre cette stratégie, le ministre de l’Économie et des Finances compte présenter un plan d’action détaillé dans les prochains mois. Ce plan devrait comprendre plusieurs mesures visant à faciliter l’orientation de l’épargne vers les investissements verts :

  • La création d’un label “transition écologique” pour identifier les placements verts.
  • La mise en place d’un cadre réglementaire incitatif pour les assureurs et les gestionnaires d’actifs.
  • L’accompagnement des entreprises dans la transition vers une économie plus verte, notamment par le biais de prêts bonifiés ou de garanties d’État.

Une initiative saluée par les acteurs du secteur

La démarche proposée par Bruno Le Maire a été largement saluée par les acteurs de l’économie verte et de la finance responsable. Ces derniers estiment que la mobilisation de l’épargne des Français peut constituer un atout majeur pour accélérer la transition écologique, à condition toutefois de mettre en place des mécanismes de suivi et de contrôle adaptés pour s’assurer de la bonne utilisation des fonds investis.

Un pari audacieux pour l’avenir

En misant sur l’épargne des Français pour financer la transition écologique, le gouvernement fait un pari audacieux mais nécessaire pour relever les défis environnementaux auxquels la France doit faire face. Si cette stratégie se concrétise, elle pourrait permettre de débloquer des ressources financières considérables pour soutenir les projets verts dans le pays et contribuer ainsi à la réalisation des objectifs climatiques nationaux et internationaux. Il reste désormais à attendre la présentation du plan d’action annoncé par Bruno Le Maire pour mesurer pleinement l’ampleur de cette ambition.

Les meilleures astuces pour augmenter votre pouvoir d’achat !

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Face à la hausse généralisée des prix, les ménages français cherchent des solutions pour préserver leur pouvoir d’achat. Dans cet article, nous vous proposons plusieurs astuces pour faire face à l’inflation et limiter son impact sur votre budget.

L’épargne intelligente

En période de forte inflation, bien choisir ses placements financiers vous permettra d’optimiser votre épargne. Si le Livret A reste un placement sûr, d’autres opportunités peuvent être plus intéressantes en fonction de vos objectifs et de votre profil d’investisseur. N’hésitez pas à demander conseil auprès de votre banque ou d’un conseiller en gestion de patrimoine.

  • Le Livret A : placement sûr et accessible à tous, avec un taux actuel de 3%.
  • L’assurance-vie : permet de diversifier son épargne entre fonds en euros et unités de compte.
  • Les plans d’épargne-logement (PEL) : offrent un rendement intéressant pour financer un projet immobilier à moyen terme.
  • Le Plan Épargne Retraite (PER) : prépare votre retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.

Réduire ses dépenses courantes

Pour alléger son budget en période de hausse des prix, il est essentiel de traquer les dépenses inutiles et superflues. Voici quelques idées pour réduire vos coûts :

  • Opter pour des marques de distributeur plutôt que des marques nationales, souvent moins chères et de qualité équivalente.
  • Faire le tri dans ses abonnements : résiliez ceux dont vous ne profitez pas ou dont vous n’avez plus l’utilité.
  • Comparer les prix avant d’acheter, notamment sur internet, où les différences peuvent être importantes.
  • Profiter des promotions et des soldes pour acheter à moindre coût.
  • Cuisiner maison au lieu de consommer des plats préparés, souvent plus onéreux et moins sains.

Le stockage : une solution pour faire des économies sur les denrées alimentaires

Face à la hausse des prix de l’alimentation, certains ménages optent pour le stockage de denrées non périssables. Cette pratique consiste à acheter en grandes quantités lorsqu’un produit est en promotion et à le stocker pour pouvoir en profiter pendant plusieurs mois. Ainsi, on évite d’avoir à payer le prix fort lorsque l’on a besoin du produit.

Faire jouer la concurrence

Enfin, n’hésitez pas à faire jouer la concurrence entre les différents prestataires pour réduire vos dépenses :

  • Comparez les offres d’énergie (électricité, gaz) pour trouver le meilleur rapport qualité-prix.
  • Négociez vos contrats d’assurance ou faites appel à un courtier pour dénicher les meilleures offres.
  • Changez de banque si vous trouvez une offre plus avantageuse ailleurs en termes de frais bancaires et de services proposés.

Seconde main et échanges entre particuliers

Le marché de la seconde main connaît un véritable essor, notamment dans le domaine des accessoires pour animaux de compagnie, comme le souligne un extrait de presse. De nombreux sites de commerce en ligne comme Le Bon Coin ou Vinted proposent désormais des accessoires d’occasion pour nos amis à quatre pattes. Cette tendance s’étend également aux vêtements, aux meubles, aux objets déco et même aux équipements sportifs, il d’ailleurs aussi possible de faire de la location de vêtement. Acheter d’occasion permet de réaliser d’importantes économies tout en limitant notre impact environnemental.

Plusieurs astuces existent pour alléger son budget en période d’inflation. Adopter une consommation responsable, optimiser son épargne, réduire ses dépenses courantes et faire jouer la concurrence sont autant de solutions pour limiter l’impact de la hausse des prix sur votre pouvoir d’achat.

Soyez prêt à affronter n’importe quelle dépense imprévue grâce à ce système !

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Une baisse de salaire ? Votre voiture qui lâche ? Des réparations à effectuer ? Toutes ces dépenses imprévues sont une source de stress pour la plupart des français. Heureusement, il existe une solution simple à mettre en place pour laisser tous ces tracas loin derrière vous.

Épargne de précaution : un matelas disponible en tout temps

L’épargne de précaution est une forme d’épargne qui permet de se prémunir contre des dépenses imprévues ou une baisse soudaine des revenus. En effet, dans un contexte économique incertain, il est important de pouvoir faire face aux aléas de la vie sans mettre en péril sa situation financière. Selon un sondage récent, 65 % des Français optent pour cette stratégie d’épargne plutôt que pour l’épargne retraite.

Les objectifs de l’épargne de précaution

Se constituer une épargne de précaution a plusieurs objectifs :

  • Faire face à des dépenses imprévues (panne de voiture, travaux d’urgence, factures médicales, etc.).
  • Assurer une sécurité financière en cas de baisse des revenus (chômage, maladie, accident du travail, etc.).
  • Avoir un matelas financier pour saisir des opportunités (achat immobilier, création d’entreprise, investissement, etc.).
  • Préparer sa retraite sans impacter son niveau de vie actuel.

Comment se constituer une épargne de précaution ?

Choisir les bons outils d’épargne

Pour se constituer une épargne de précaution, il est nécessaire de choisir des supports de placement adaptés. En effet, il faut privilégier les placements sûrs, liquides et offrant un rendement correct. Parmi les options possibles :

  • Les livrets d’épargne réglementés (Livret A, Livret de développement durable et solidaire, etc.) : disponibilité immédiate et sécurité du capital.
  • Le fonds d’urgence sur un compte bancaire : accessible à tout moment et sans frais.
  • L’assurance-vie en euros : capital garanti, disponibilité sous quelques jours et rendement légèrement supérieur aux livrets réglementés.

Établir un plan d’épargne régulière

Afin de se constituer une épargne de précaution, il faut établir un plan d’épargne régulière. Cela permet de mettre de côté une somme d’argent fixe chaque mois, sans effort ni contrainte. L’idéal est d’opter pour des virements automatiques depuis son compte courant vers un support d’épargne dédié.

Déterminer le montant idéal de l’épargne de précaution

Il n’existe pas de montant universel pour l’épargne de précaution, car cela dépend de la situation personnelle et financière de chacun. Toutefois, certains experts recommandent de disposer d’une réserve financière équivalente à 3 à 6 mois de ses revenus nets.

Épargne de précaution vs épargne retraite : un choix nécessaire ?

Il est souvent difficile de choisir entre épargne de précaution et épargne retraite. Toutefois, prenez en compte vos objectifs financiers pour faire le meilleur choix possible.

  • Opter pour l’épargne de précaution si l’on souhaite se prémunir contre les aléas de la vie et disposer d’une réserve financière rapidement accessible.
  • Opter pour l’épargne retraite si l’on souhaite se constituer un complément de revenu pour sa retraite et bénéficier d’avantages fiscaux.

Néanmoins, il est tout à fait possible de combiner ces deux stratégies d’épargne en fonction de ses priorités et de ses besoins. Par exemple, on peut consacrer une partie de son épargne à la constitution d’un fonds d’urgence et l’autre partie à des placements à long terme pour préparer sa retraite.

L’épargne de précaution est une stratégie d’épargne essentielle pour se protéger des imprévus et assurer sa sécurité financière. En choisissant les bons outils d’épargne et en mettant en place un plan d’épargne régulière, il est possible de se constituer une réserve financière adaptée à ses besoins. N’oubliez pas de réévaluer régulièrement votre épargne de précaution en fonction de l’évolution de vos revenus, dépenses et objectifs.

Peut-on se fier à ChatGPT pour savoir comment investir notre argent durement gagné ?

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Qui n’a jamais entendu parler de l’intelligence artificielle (IA) ? Avec une croissance estimée à 19 % par an et un marché mondial qui devrait atteindre 900 milliards de dollars en 2026 ce marché est en plein boom. Ces technologies sont de plus en plus utilisées dans divers domaines, y compris pour donner des conseils financiers. Nous avons sollicité ChatGPT, l’IA développée par OpenAI, pour déterminer le meilleur placemen pour un Français moyen.

Les critères pris en compte par ChatGPT

ChatGPT prend en considération plusieurs éléments pour évaluer les placements. Voici les principaux critères analysés :

  • Objectifs financiers personnels
  • Tolérance au risque
  • Niveau de connaissance en matière financière
  • Durée d’investissement souhaitée

Objectifs financiers personnels

Les objectifs financiers varient selon les individus : certains préfèrent épargner pour un projet précis tandis que d’autres cherchent à faire fructifier leur capital. La capacité d’épargne et la volonté d’investir sur le long terme sont primordiales pour choisir le bon placement.

Tolérance au risque

La tolérance au risque est également un facteur important à prendre en compte. Certaines personnes sont prêtes à accepter un niveau de risque plus élevé pour espérer obtenir un rendement supérieur, tandis que d’autres préfèrent privilégier la sécurité et la stabilité.

Niveau de connaissance en matière financière

Le niveau de connaissance financière influence également le choix du placement. Les investisseurs avertis peuvent opter pour des produits financiers complexes, tandis que les épargnants novices peuvent se tourner vers des placements plus simples et accessibles.

Durée d’investissement souhaitée

Enfin, la durée d’investissement souhaitée est déterminante. Un horizon de placement court favorise les placements peu risqués, alors qu’un horizon plus long permet de prendre davantage de risques avec potentiellement de meilleurs rendements.

Les placements les plus populaires

L’assurance-vie et le livret A sont les deux placements préférés des français. Si l’un est plutôt voué à créer une épargne de sécurité disponible à tout moment, l’autre est censé offrir un meilleur rendement à plus long terme. D’ailleurs nous avions écrit un article Livret A vs Assurance vie selon ChatGPT. Voici un bref résumé de l’article :

Livret A

  • Avantages :
    • Simplicité et accessibilité
    • Absence de frais
    • Disponibilité immédiate des fonds
    • Risque nul (capital garanti)
  • Inconvénients :
    • Taux de rendement faible
    • Plafond de dépôt limité

Assurance-vie

  • Avantages :
    • Potentiel de rendement supérieur
    • Diversification des investissements
    • Flexibilité (retraits partiels, rachats…)
    • Fiscalité avantageuse après une certaine durée
  • Inconvénients :
    • Frais de gestion et d’entrée
    • Disponibilité des fonds moins immédiate
    • Risque selon les supports choisis

La conclusion de ChatGPT : le choix dépend des besoins individuels

Selon ChatGPT, il n’y a pas de réponse unique pour déterminer le meilleur placement. La réponse dépend des objectifs financiers personnels, de la tolérance au risque et du niveau de connaissance.

En définitive, le choix de vos produits d’épargne ou d’investissement doit être adapté à vos besoins ainsi qu’à votre capacité. Nous vous conseillons de vous faire accompagner par votre conseiller bancaire ou un gestionnaire de patrimoine qui vous indiquera les meilleurs solutions pour vous.

Diversifier les placements de votre assurance vie : une solution judicieuse pour augmenter votre rendement en 2023

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L’assurance-vie occupe une place prépondérante en France avec un encours de 1 884 milliards d’euros à la fin du mois de mars. Pour répondre aux attentes des épargnants et maintenir l’attractivité de ce placement, les assureurs ont adapté leur offre au fil des années en proposant une diversité de supports d’investissement de plus en plus large. Cette abondance de choix peut toutefois déstabiliser certains épargnants. Cependant, il n’est pas si compliqué de diversifier son contrat et prendre un peu de risque. En respectant quelques règles, il est possible d’espérer une meilleure performance à long terme.

L’importance de diversifier son assurance vie

Dans le paysage de l’assurance-vie en France, les unités de compte gagnent peu à peu en popularité, mais les chiffres de France Assureurs révèlent que près de la moitié des fonds placés dans ce type de contrat affiche une part inférieure à 20 % d’investissements risqués.

Au total, c’est près de 39 % de l’épargne totale qui demeure entièrement investie dans des fonds en euros. Ces statistiques soulignent une tendance où les Français privilégient encore largement la sécurité plutôt que la diversification de leur épargne.

Pourtant, en 2022 les assurances vie ont pour la plupart offert des rendements aux alentours de 2%, soit un moins bon rendement que le livret A. Diversifier les placements au sein de son assurance vie permet :

  • Flexibilité : l’assurance vie permet de choisir entre différents types de supports (fonds en euros, unités de compte, etc.) et offre la possibilité de réaliser des arbitrages en fonction de ses objectifs et de son appétit pour le risque.
  • Fiscalité avantageuse : après 8 ans de détention, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8% (ou à l’impôt sur le revenu selon votre choix), auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux de 17,2%. De plus, les versements effectués avant 70 ans peuvent bénéficier d’une exonération de droits de succession dans certaines conditions.
  • Potentiel de rendement : en diversifiant son assurance vie avec une part d’unités de compte (actions, obligations, SCPI, etc.), il est possible d’espérer une performance supérieure à celle des fonds en euros, bien que cela comporte également un risque de perte en capital.
  • Liquidité : contrairement à certains placements immobiliers, l’assurance vie peut être rachetée (en partie ou en totalité) à tout moment.

Comment diversifier son assurance vie ?

Définir ses objectifs et son profil d’investisseur

Avant de diversifier votre contrat d’assurance vie, vous allez devoir déterminer vos objectifs financiers (constitution d’un capital, préparation de la retraite, transmission de patrimoine, etc.) et évaluer votre appétit pour le risque. Cela vous permettra de choisir les supports les plus adaptés à votre situation et à vos attentes.

S’informer sur les différents supports disponibles

Les contrats d’assurance vie offrent désormais un large éventail de supports d’investissement. Pour bien diversifier votre assurance vie, il est important de vous renseigner sur les caractéristiques, avantages et inconvénients de chacun :

  • Fonds en euros : ils offrent une garantie en capital et une rémunération annuelle minimum, mais leur rendement tend à diminuer depuis plusieurs années.
  • Unités de compte (UC) : elles sont investies sur les marchés financiers et peuvent être composées d’actions, d’obligations, de SCPI, etc. Les UC présentent un potentiel de rendement plus élevé que les fonds en euros, mais également un risque de perte en capital.
  • Supports immobiliers : l’investissement en parts de SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) permet d’accéder à un patrimoine immobilier diversifié et généralement moins volatile que les actions.

Équilibrer son allocation entre fonds en euros et unités de compte

Une fois vos objectifs et votre profil d’investisseur déterminés, il s’agit de répartir votre épargne entre les différents supports en fonction de votre appétit pour le risque et de votre horizon de placement. En général, plus votre horizon est long, plus vous pouvez vous permettre d’investir une partie importante de votre assurance vie dans des UC ou des SCPI, afin de bénéficier de leur potentiel de rendement sur le long terme.

Faut-il encore miser sur l’assurance vie diversifiée en 2023 ?

Malgré la baisse de rendement des fonds en euros et les incertitudes liées aux marchés financiers, l’assurance vie diversifiée reste un placement incontournable pour de nombreux épargnants. Ses atouts en termes de flexibilité, de fiscalité et de potentiel de rendement en font un choix judicieux pour qui souhaite investir sur le long terme et profiter de la diversification offerte par les différents supports disponibles. Toutefois, il faudra bien se renseigner et d’adapter sa stratégie d’investissement à ses objectifs et à son profil de risque.

Sources

Livret A ou Assurance-vie ? ChatGPT dévoile quel est le meilleur placement pour un Français moyen

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Chat GPT n’est plus à présenter, l’intelligence artificielle créée par Open AI fait beaucoup parler d’elle ces derniers temps en se faisant remarquer pour ses performances époustouflantes. Nous l’avons sollicité pour conclure le débat entre le Livret A et l’Assurance-vie, pour enfin savoir quel était le placement le plus judicieux pour un Français moyen. Nous lui avons donc posé la question : “est-il plus judicieux d’ouvrir un livret A ou une Assurance-vie à l’heure actuelle ?
Voici sa réponse :

Choisir entre un Livret A et une assurance vie dépend de vos objectifs financiers personnels, de votre tolérance au risque et de votre horizon d’investissement.

Livret A avec un taux d’intérêt de 3 %

Le Livret A est un produit d’épargne sans risque, qui offre une garantie totale du capital investi. Il offre une liquidité immédiate, ce qui signifie que vous pouvez retirer vos fonds à tout moment sans pénalité.

Sécurité et garantie

Le principal avantage du Livret A est sa sécurité. Votre capital est garanti, ce qui signifie que vous ne risquez pas de perdre l’argent que vous y investissez.

Liquidité

La liquidité est un autre avantage majeur du Livret A. Vous pouvez retirer ou déposer de l’argent à tout moment, ce qui le rend parfait pour une épargne de précaution ou un fonds d’urgence.

Taux d’intérêt

Avec un taux d’intérêt de 3%, le Livret A offre un rendement décent, surtout si ce taux dépasse l’inflation. C’est nettement plus que le taux traditionnel de 0,5% et cela pourrait rendre le Livret A plus attractif pour certains épargnants.

Rendez-vous bancaire

Assurance Vie

L’assurance vie est un produit d’épargne à long terme, qui offre une fiscalité avantageuse après 8 ans. Elle peut être composée de contrats en euros, sans risque, ou de contrats en unités de compte, qui sont investis sur les marchés financiers et présentent un risque de perte en capital.

Potentiel de rendement

Le principal avantage de l’assurance vie est son potentiel de rendement à long terme. Même si le risque est plus élevé, les rendements peuvent être plus élevés, surtout pour les contrats en unités de compte.

Fiscalité avantageuse

L’assurance vie offre une fiscalité avantageuse, notamment après 8 ans. Cela peut être particulièrement intéressant pour ceux qui cherchent à optimiser leur fiscalité.

Flexibilité

Avec l’assurance vie, vous pouvez choisir entre différents types de contrats et ajuster votre niveau de risque en fonction de votre tolérance et de vos objectifs.

Le choix crucial de ChatGPT

Jusqu’ici, il s’est contenté de nous présenter les deux placements.

Nous lui avons donc posé la question : “En tant que français moyen, peu tolérant au risque, qui souhaite investir à court terme, et qui veut pouvoir retirer ses fonds à tout moment en cas de besoin, lequel de ces investissements choisirais-tu ?” Voici sa réponse :

Dans le scénario que vous avez décrit – c’est-à-dire une tolérance au risque faible, une préférence pour l’investissement à court terme et la nécessité d’une liquidité immédiate – le Livret A semble être le choix le plus approprié.

En effet, le Livret A est une option d’épargne sans risque, ce qui signifie que le capital est entièrement garanti. De plus, vous pouvez retirer ou déposer de l’argent à tout moment sans pénalités, ce qui est parfait si vous avez besoin d’un accès immédiat à vos fonds.

Avec un taux d’intérêt de 3% (comme vous l’avez mentionné précédemment), le Livret A offre également un rendement décent, en particulier pour un produit d’épargne sans risque.

Il est toutefois recommandé de consulter un conseiller financier pour obtenir des conseils personnalisés en fonction de votre situation financière personnelle.

On peut donc voir que dans le scénario d’un Français moyen, qui souhaite minimiser les risques de perte, tout en ayant la possibilité de retirer son argent en cas d’imprévu, ChatGPT conseille le Livret A.

100 000€ de budget ? Voici les meilleures solutions pour investir !

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Vous avez vendu votre appartement ou maison ? Un héritage ? Quoiqu’il en soit vous venez de récupérer 100 000€, ne les laissez pas dormir ! Découvrez les meilleures solutions d’investissement pour faire fructifier votre argent. Vous allez être surpris de voir à quel point il est facile de faire travailler votre argent pour en avoir plus. Il est temps de prendre les choses en main pour améliorer votre qualité de vie !

Investissement immobilier : les meilleures villes pour un budget limité

Dans certaines villes, l’investissement immobilier à 100 000 euros ou moins est tout à fait envisageable. Selon un classement réalisé par Le Parisien, certaines communes de plus de 30 000 habitants offrent des opportunités d’achat intéressantes avec un budget restreint.

Pour établir ce classement, plusieurs critères ont été pris en compte, notamment le prix du mètre carré, la dynamique démographique et le dynamisme en termes d’emplois. Voici quelques-unes des villes qui se démarquent dans ce domaine :

  • Roanne
  • Alès
  • Saint-Etienne

Investir dans l’immobilier locatif

L’achat d’un bien immobilier pour le louer peut être une option intéressante pour placer 100 000 euros en 2023. En choisissant cette solution, les investisseurs peuvent bénéficier de revenus locatifs réguliers et potentiellement d’une plus-value à la revente. Ainsi, il est possible de diversifier son patrimoine tout en générant des revenus complémentaires.

Achat d’un studio ou d’un appartement

Pour un budget de 100 000 euros, il est préférable de se tourner vers l’achat d’un studio ou d’un petit appartement. Ces biens, généralement situés en centre-ville ou dans des quartiers bien desservis, sont souvent recherchés par les étudiants et jeunes actifs. Ils présentent donc un potentiel locatif intéressant.

Investissement locatif en résidence services

Une autre option pour investir dans l’immobilier avec un budget de 100 000 euros est d’opter pour un logement en résidence services (étudiante, senior, tourisme…). Ces biens offrent généralement un rendement locatif supérieur à celui des logements classiques, et permettent de bénéficier d’avantages fiscaux comme le dispositif LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel).

Diversifier ses placements financiers

Attention à ne pas placer la totalité de vos100 000 euros au même endroit. Il est conseillé de répartir cette somme entre différents placements financiers, chacun ayant une utilité différente. Voici quelques idées pour diversifier son patrimoine :

  • Épargne de disponibilité : constituer une épargne de précaution sur un livret A ou un LDDS (Livret de Développement Durable et Solidaire) est essentiel pour faire face aux imprévus.
  • Assurance-vie : ce placement offre de nombreux avantages, notamment en termes de fiscalité et de transmission du capital. Il permet également d’investir dans une grande variété de supports : fonds en euros, unités de compte, immobilier…
  • SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) : les SCPI permettent d’investir dans l’immobilier sans avoir à gérer directement les biens. Elles offrent généralement un rendement intéressant et une diversification du patrimoine.
  • Investissement en bourse : investir en actions ou en fonds d’investissement peut permettre de profiter des opportunités offertes par les marchés financiers. Néanmoins, ce type de placement est plus risqué et nécessite une bonne connaissance des mécanismes boursiers.

Pour placer 100 000 euros en 2023, il est essentiel de bien réfléchir à ses objectifs financiers et à son profil d’investisseur. En fonction de ces critères, différentes options s’offrent à vous : investissement immobilier locatif, diversification des placements financiers… Quelle que soit la solution choisie, n’oubliez pas de consulter un conseiller en gestion de patrimoine pour bénéficier de conseils personnalisés et adaptés à votre situation.

Investir tôt pour gagner gros : les choix à faire pour les jeunes investisseurs !

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Investir à un jeune âge présente de nombreux avantages, notamment la possibilité de profiter de la croissance du marché sur le long terme et de bénéficier de l’effet des intérêts composés. Cependant, il peut être difficile de décider dans quoi investir en tant que jeune investisseur. Dans cet article, nous examinerons plusieurs options d’investissement adaptées aux jeunes, telles que les actions, l’immobilier et les placements financiers sûrs.

Investir en Bourse

La Bourse offre une multitude d’options pour les jeunes investisseurs qui souhaitent diversifier leur portefeuille et répartir leurs risques. Les actions représentent une part de propriété dans une entreprise cotée en Bourse, et elles peuvent offrir un potentiel de rendement élevé si l’entreprise se porte bien. Pour commencer en Bourse, il est important de :

  • Se familiariser avec les produits financiers disponibles, tels que les actions, les obligations et les fonds d’investissement
  • Choisir les enveloppes adaptées, comme le Plan d’Epargne en Actions (PEA) ou le compte-titres
  • Comparer les offres des différents courtiers en ligne pour trouver celui qui correspond le mieux à vos besoins et à votre budget
  • Apprendre le vocabulaire essentiel pour bien comprendre le fonctionnement de la Bourse

Actions de PME et finance responsable

Pour ceux qui souhaitent investir de manière plus responsable, il est possible de se tourner vers les actions des Petites et Moyennes Entreprises (PME) ou la finance responsable. Les PME offrent souvent un potentiel de croissance important et peuvent bénéficier d’un soutien fiscal dans certains cas. Quant à la finance responsable, elle consiste à investir dans des entreprises qui mettent en œuvre des pratiques durables et éthiques sur le plan social, environnemental et de gouvernance.

Investir dans l’immobilier

L’investissement immobilier peut également être une option intéressante pour les jeunes investisseurs. En effet, l’achat d’un bien immobilier peut permettre de générer des revenus locatifs, tout en constituant un patrimoine sur le long terme. Toutefois, il est important de prendre en compte certains facteurs avant de se lancer :

  • Le montant du prêt immobilier que vous pouvez obtenir et les taux d’intérêt actuels
  • Les frais associés à l’achat d’un bien immobilier, tels que les frais de notaire, les taxes et les charges de copropriété
  • La localisation du bien, qui aura un impact sur sa valeur et son potentiel de rentabilité
  • Les perspectives d’évolution du marché immobilier sur les années à venir

Investir dans les SCPI

Une alternative à l’investissement immobilier en direct peut être d’opter pour les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI). Ces sociétés collectent des fonds auprès des particuliers pour investir dans un portefeuille diversifié de biens immobiliers. Les SCPI offrent plusieurs avantages, notamment une mutualisation des risques, des frais de gestion réduits par rapport à l’investissement en direct et la possibilité d’accéder à différents types d’actifs immobiliers (bureaux, commerces, résidentiels, etc.).

Placements financiers sûrs et rentables

Pour les jeunes investisseurs qui souhaitent épargner sans prendre de risques, il existe des placements financiers sûrs offrant des rendements meilleurs que le Livret A. Certains de ces placements incluent :

  • Les assurances-vie en euros, qui garantissent le capital tout en offrant un rendement légèrement supérieur à celui du Livret A
  • Les plans d’épargne-logement (PEL) et comptes d’épargne-logement (CEL), qui permettent d’obtenir un prêt immobilier à un taux préférentiel tout en bénéficiant d’une rémunération sur les sommes épargnées
  • Les obligations d’État, considérées comme des placements très sûrs mais avec des rendements généralement faibles

Les jeunes investisseurs disposent de plusieurs options pour faire fructifier leur argent et bâtir leur patrimoine. En diversifiant son portefeuille et en optant pour des placements adaptés à ses objectifs et à sa tolérance au risque, il est possible de profiter pleinement des avantages de l’investissement dès le début de sa vie active.

Sources

Assurance-vie : pourquoi est-il important de ne pas se précipiter à abandonner les fonds en euros ?

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Face à la remontée du taux d’intérêt du livret A, il peut être tentant pour certains épargnants de transférer leur argent vers cette solution plutôt que de conserver leur assurance vie en euros. Cependant, avant de prendre une décision hâtive, il est essentiel de bien analyser tous les aspects des différents placements et de ne pas se contenter du rendement brut annoncé. Dans cet article, nous vous expliquerons pourquoi il est crucial de ne pas abandonner précipitamment les fonds en euros de votre assurance-vie.

Des taux qui varient au fil des mois

Certes, le taux d’intérêt du livret A a récemment augmenté à 3 %, tandis que le rendement net des assurances vie en euros tourne autour de 2 %. Toutefois, ces chiffres sont susceptibles de varier dans le temps. En effet, les performances des fonds en euros peuvent s’améliorer ou se dégrader en fonction des conditions économiques, de l’évolution des marchés financiers et des stratégies d’investissement des assureurs. Il est donc important de suivre régulièrement l’évolution de ces taux et de ne pas prendre de décisions basées sur des données ponctuelles.

La fiscalité avantageuse de l’assurance vie en euros

Un autre élément à prendre en considération lorsqu’on compare les rendements des différents placements est leur fiscalité respective. Si les intérêts générés par le livret A sont effectivement exonérés d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux, l’assurance vie en euros bénéficie également d’une fiscalité avantageuse, notamment lorsqu’elle est conservée pendant une longue période.

Ainsi, après 8 ans de détention, les gains issus des fonds en euros sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 7,5 %, auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux à hauteur de 17,2 %. Toutefois, chaque année, les sommes investies bénéficient d’un abattement annuel de 4 600 € pour une personne seule et de 9 200 € pour un couple. De ce fait, si le montant des intérêts perçus ne dépasse pas ces seuils, ils seront totalement exonérés d’impôt.

L’importance de la durée de détention

Comme mentionné précédemment, la fiscalité avantageuse de l’assurance vie en euros dépend en grande partie de la durée de détention du contrat. Plus cette dernière est longue, plus les avantages fiscaux sont importants. En revanche, si vous retirez vos fonds avant 8 ans, les gains seront soumis à l’impôt sur le revenu ou au PFU, selon votre choix. Il est donc primordial de bien réfléchir aux conséquences fiscales liées à un transfert anticipé de vos avoirs vers le livret A.

La diversification des placements

Enfin, il convient de rappeler que l’un des grands atouts de l’assurance vie réside dans sa capacité à offrir une diversification des placements. En effet, au sein d’un même contrat, vous pouvez investir à la fois dans des fonds en euros, mais également dans des unités de compte (UC) plus risquées, qui peuvent générer des rendements potentiellement plus élevés.

  • Les fonds en euros sont des placements sécurisés et garantis par les assureurs, avec un capital et un rendement minimum garantis. Ils sont donc particulièrement adaptés aux épargnants prudents et à ceux qui souhaitent protéger leur capital.
  • Les unités de compte, quant à elles, sont investies sur les marchés financiers et ne bénéficient pas de garantie en capital. Elles présentent donc un niveau de risque plus élevé, mais offrent en contrepartie un potentiel de rendement supérieur. Les UC conviennent davantage aux épargnants ayant une certaine tolérance au risque et une vision long terme de leur investissement.

En transférant l’intégralité de vos avoirs vers le livret A, vous renoncez à cette diversification et mettez tous vos œufs dans le même panier. Il est donc important de bien peser les avantages et les inconvénients de chaque solution avant de prendre une décision.

En somme, si le taux d’intérêt actuel du livret A peut paraître attractif de prime abord, il est important de ne pas se précipiter à abandonner les fonds en euros de votre assurance-vie. Prenez le temps d’analyser l’évolution des taux, la fiscalité et la diversification offerte par chaque placement avant de prendre une décision éclairée.

Assurance-vie : un désastre à prévoir avec le ralentissement de la collecte ?

La collecte de l’assurance-vie connaît actuellement un ralentissement, soulevant des inquiétudes quant à l’évolution future de ce placement privilégié par les Français. Face à cette situation, il est nécessaire de comprendre les causes de ce ralentissement et d’identifier les solutions pour mieux gérer votre assurance-vie. Nous allons donc vous expliquer les raisons de ce phénomène et vous donner quelques conseils pour tirer le meilleur parti de votre contrat d’assurance-vie.

Les causes du ralentissement de la collecte de l’assurance-vie

Plusieurs facteurs ont contribué au ralentissement de la collecte de l’assurance-vie au cours de ces derniers mois. En effet, elle s’élevait à 8,4 milliards d’euros à la fin de l’année 2022. En revanche, son montant est de désormais d’un peu plus de 1 milliard d’euros en avril 2023. Il est donc important de savoir quelles sont les principales causes de ce ralentissement. 

La baisse des taux d’intérêt

Les taux d’intérêt bas ont rendu les placements en assurance-vie moins attractifs, notamment pour les fonds en euros, qui offrent désormais des rendements plus faibles. Cependant, ils devraient dans les mois à venir atteindre les 3,50 % ce qui est une bonne nouvelle.

La concurrence des autres produits d’épargne

Face aux performances décevantes des fonds en euros, de nombreux épargnants se tournent vers d’autres solutions de placement, comme l’immobilier ou les actions, jugées plus rentables.

Le contexte économique

La crise sanitaire et ses conséquences sur l’économie ont également eu un impact négatif sur la collecte de l’assurance-vie, les épargnants préférant conserver leurs liquidités plutôt que d’investir.

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Assurance-vie : un désastre à prévoir avec le ralentissement de la collecte ?

Les clés pour gérer au mieux votre assurance-vie en période de ralentissement

Pour tirer le meilleur parti de votre assurance-vie malgré ce contexte difficile. Il est important de mettre en place un ensemble de stratégies efficace.

Diversifier votre épargne

Il est déconseillé de concentrer toute votre épargne en un seul endroit. En effet, vous pouvez tout à fait répartir vos investissements sur divers supports : fonds en euros, unités de compte ou encore immobilier. Cela vous permettra de diminuer les risques associés aux variations des marchés financiers, mais également d’accroître vos possibilités de générer des profits.

Opter pour une gestion pilotée

Dans le cas où vous ne vous sentez pas suffisamment à l’aise pour gérer vous-même votre assurance-vie, vous pouvez opter pour une gestion dirigée par un expert peut s’avérer judicieux. En effet, ce professionnel peut organiser tous vos placements selon votre tolérance au risque et aux circonstances du marché. Cela va donc vous permettra de pouvoir bénéficier d’une meilleure gestion de votre contrat d’assurance-vie.

Se renseigner sur les frais associés à votre contrat

Il est important de connaître les frais liés à votre assurance-vie : frais de gestion, frais d’entrée ou encore frais d’arbitrage. Pour ce faire, vous pouvez tout à fait comparer tous les coûts des différents contrats disponibles sur le marché peut vous permettre de faire des économies significatives.

S’informer régulièrement sur les performances de votre contrat

Le fait de suivre l’évolution de la collecte de l’assurance-vie et de rester informé des performances de vos placements vous permettra d’adapter en conséquence la gestion de votre contrat. Il ne faut donc absolument pas hésiter à consulter régulièrement vos relevés et à demander conseil à un professionnel.

Les perspectives d’avenir pour l’assurance-vie

Malgré le ralentissement actuel de la collecte, l’assurance-vie reste un placement incontournable pour les épargnants français. En effet, elle présente plusieurs atouts indéniables.

Une bonne sécurité de vos fonds en euros

le fonds en euros représente la base fondamentale de tout contrat d’assurance vie. L’un de ces caractéristiques principales est qu’il vous garantit de garder votre capital investi après déduction des frais d’entrée. Il vous offre également chaque année une rémunération sous forme de participation aux bénéfices.

Une fiscalité particulièrement avantageuse

L’assurance-vie vous offre la possibilité de bénéficier d’une fiscalité allégée. C’est notamment le cas si vous la rachetez après 8 ans de détention du contrat.

Une transmission possible de votre capital

En cas de décès, l’assurance-vie vous permet de transmettre votre capital aux membres de votre famille dans des conditions fiscales intéressantes.

Ainsi, malgré le contexte économique incertain et la baisse des rendements, l’assurance-vie conserve son intérêt en tant que placement diversifié et sécurisé. Pour bien gérer votre assurance-vie en période de ralentissement, vous ne devez pas hésiter à vous entourer de professionnels. Il est également important de suivre tous ces conseils pour optimiser votre épargne.

Quelques questions autour de l’assurance-vie :

Qu’est-ce-que la collecte en assurance-vie ?

La collecte nette est le résultat de la soustraction entre le montant total investi par les nouveaux souscripteurs à une assurance-vie et celui provenant des cessions de titres.

Quels sont les frais pour sortir d’une assurance-vie ?

C’est ce que l’on appelle des frais de gestion. Ils varient entre 0,30% et 1,00% de l’encours à la fin de l’année, mais en moyenne, ils se situent plutôt autour de 0,70%.

Comment prendre votre avenir en main et anticiper la retraite ?

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Face au vieillissement de la population, l’Etat a pris des mesures pour le moins contesté en faisant passer un nouvel âge pour la retraite contre l’avis général. Plus que jamais, face aux incertitudes concernant le système de retraite par répartition, il est nécessaire d’anticiper en pensant à votre retraite pour vous constituer un patrimoine. Pour cela, diverses solutions d’investissement sont à considérer pour préparer sa retraite le plus tôt possible. Découvrons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous.

L’assurance-vie, une solution incontournable

L’assurance-vie est un placement phare pour épargner en vue de sa retraite. Elle permet de bénéficier d’une fiscalité avantageuse et offre des rendements intéressants sur le long terme.

Plusieurs options de gestion sont possibles :

  • Gestion libre : l’épargnant choisit lui-même ses supports d’investissement ;
  • Gestion pilotée : un professionnel gère le portefeuille selon le profil de l’épargnant.

Il est important de commencer à investir tôt dans une assurance-vie, même avec de petits montants, pour profiter pleinement de ses avantages.

Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI)

Les SCPI sont un outil de placement immobilier dont le rendement potentiel permet d’espérer entre 4,5 et 5,5 % par an. Elles constituent un investissement à long terme adapté pour préparer sa retraite.

Les parts de SCPI offrent plusieurs avantages :

  • Diversification du patrimoine immobilier ;
  • Compléments de revenus réguliers ;
  • Accessibilité pour les petits budgets.

Pour bénéficier pleinement de ces avantages, il est conseillé d’investir sur une durée minimale de 8 ans. L’avantage de placer un partie de votre patrimoine en SCPI concerne notamment les différentes perspectives d’investissements en 2023.

Investir dans l’immobilier locatif

L’investissement dans l’immobilier locatif permet de se constituer un patrimoine et de percevoir des revenus complémentaires lors de sa retraite. Plusieurs options sont possibles :

  • Achat d’un appartement ou d’une maison ;
  • Investissement locatif meublé (LMNP) ;
  • Investissement dans des résidences services.

Il convient de bien choisir son bien immobilier, en fonction de sa situation géographique, de son prix et de sa rentabilité pour obtenir le meilleur rendement possible.

Conseils pour réussir son investissement locatif

Voici quelques conseils pour optimiser votre investissement locatif :

  1. Étudiez le marché local ;
  2. Choisissez un emplacement attractif ;
  3. Privilégiez les petites surfaces ;
  4. Optez pour un logement neuf ou rénové.

Les placements financiers pour diversifier son épargne

Avec un capital à investir, il est important de diversifier ses placements pour limiter les risques et maximiser les rendements. Deux règles fondamentales doivent être respectées :

  1. Les placements adaptés dépendent de l’horizon d’investissement ;
  2. Diversifier ses investissements pour limiter les risques.

Pour choisir les bons placements, il faut donc se poser les bonnes questions : objectif de capitalisation ou de revenus réguliers ? Court terme ou long terme ?

Exemples de placements financiers

Voici quelques exemples de placements financiers pour diversifier votre épargne en vue de votre retraite :

Pour préparer sa retraite efficacement, il est primordial de commencer à épargner le plus tôt possible et de diversifier ses placements. Assurance-vie, SCPI, investissement locatif et placements financiers sont autant d’options à étudier selon votre profil et vos objectifs.

N’hésitez pas à vous entourer de professionnels pour vous aider dans vos choix d’investissement et construire ainsi un patrimoine solide pour votre retraite.

Sources

Certains fonds euros d’assurance vie qui affichent des taux de 3,50 % en 2023

Il n’est pas toujours facile de savoir dans quoi il faut investir son argent. Cependant, certains placements deviennent beaucoup rentables que d’autres. C’est notamment le cas des fonds en euros qui ont des taux d’intérêt qui s’élèvent désormais à 3,50% net. Mais alors pourquoi faut-il se laisser tenter par un investissement en assurance-vie ? Nous allons tout vous expliquer.

Qu’est-ce-que les fonds euros de l’assurance-vie ?

C’est un choix de placement financier qui permet aux épargnants d’obtenir un rendement attractif tout en protégeant leur capital grâce à la garantie fournie par les compagnies d’assurance. Ils sont considérés comme l’un des placements les plus sûrs sur le marché, ce qui en fait une option intéressante pour diversifier votre épargne et optimiser vos rendements. Cela vous permet également de faire face à une conjoncture économique incertaine et des taux d’intérêt historiquement bas.

Pourquoi opter pour ce type d’investissement ?

Investir dans les fonds en euros de l’assurance-vie est parfaitement sécurisé pour un certain nombre de raisons. Il est donc relativement important de toutes les connaître.

La garantie du capital

Quel que soit le contexte économique, votre capital est garanti par la compagnie d’assurance, ce qui limite les risques liés à l’évolution des marchés financiers.

Une fiscalité avantageuse

Après 8 ans de détention, les gains provenant des fonds euros d’assurance-vie sont assujettis à un Prélèvement Forfaitaire Unique de 12,8%, ainsi qu’aux prélèvements sociaux (17,2%). Cela équivaut à un taux global de 30%, qui est inférieur à celui de la plupart des autres options de placement financier.

Un rendement attractif

En 2023, les fonds euros d’assurance-vie offrent un taux de rendement nettement supérieur à 3,50%, ce qui les place bien au-dessus des autres options de placement sans risque comme les livrets bancaires ou les comptes rémunérés. Cette attractivité est notamment évoquée par l’AGEFI qui est le service d’information leader des professionnels de la finance en France. En effet, il indique que les taux qui avait baissé depuis de nombreuses années repartent à la hausse.

Comment optimiser son rendement avec les fonds euros ?

Dans un contexte de taux bas et de rendements faibles, il est essentiel d’adopter une stratégie d’épargne diversifiée pour s’adapter aux évolutions du marché et maximiser ses gains. Ainsi, il peut être intéressant de combiner les fonds euros avec d’autres types de placement, tels que les unités de compte.

Combiner fonds euros et unités de compte

L’intégration d’une allocation en unités de compte dans votre contrat d’assurance-vie peut augmenter la performance globale tout en conservant la sécurité offerte par les fonds euros. Certains contrats offrent même des bonus sur le rendement des fonds en euros si un montant minimum est investi en unités de compte. Il s’agit généralement d’une bonification de +1% net sur le rendement du fonds en euros.

Diversifier vos placements

Pour optimiser votre épargne, il est également important de ne pas se limiter à un seul type de placement financier. Voici quelques catégories de placements et d’investissements financiers à considérer :

  • Les placements bancaires : ils vous offrent généralement une rémunération faible, mais garantie et sans risque. Ils peuvent être intéressants pour conserver une épargne de précaution ;
  • Les livrets d’épargne : ils vous permettent d’obtenir des rendements souvent supérieurs à ceux des placements bancaires. Vous pouvez donc diversifier votre épargne tout en limitant les risques ;
  • Les actions : elles offrent un potentiel de rendement important, mais sont également plus risquées. Il est particulièrement recommandé de les intégrer dans une stratégie d’investissement à long terme et de bien diversifier votre portefeuille ;
  • Les obligations : elles représentent un compromis entre sécurité et rendement. Cependant, leur performance peut varier en fonction des conditions de marché et de l’émetteur.
diversifier placements
Certains fonds euros d'assurance vie qui affichent des taux de 3,50 % en 2023

Avec des taux garantis supérieurs à 3,50% nets en 2023, les fonds euros d’assurance vie constituent une option d’épargne sûre et rentable pour les investisseurs. Toutefois, il est essentiel de diversifier vos placements et d’adopter une stratégie d’investissement adaptée à vos objectifs et à votre profil de risque afin d’optimiser vos rendements. Vous ne devez absolument pas hésiter à consulter un conseiller financier pour vous accompagner dans vos choix d’investissement.

Quels sont les avantages de l’assurance-vie ?

L’assurance-vie vous procure divers avantages tels qu’une fiscalité réduite, une transmission sécurisée du capital, ou encore la possibilité de convertir votre capital en rente viagère.

Quel est le plafond maximum de dépôt pour une assurance-vie ?

Le montant maximal de dépôt pour une assurance-vie est fixé à 30 500 € par souscripteur. Toutefois, il est important de savoir que cette limite s’applique uniquement aux versements effectués et non aux capitaux transmis. Les gains générés par les dépôts effectués jusqu’à 30 500 € sont également exemptés de droits de succession.

Comment se profile l’avenir de l’assurance-vie ?

En 2023, l’assurance-vie demeure une option de placement rentable particulièrement rentable . Les épargnants qui optent pour une allocation en fonds euros bénéficient d’un taux de rendement moyen de 1,30%, tandis que ceux qui investissent exclusivement en unités de compte peuvent obtenir un rendement supérieur à 20%.

Assurance-vie : quelles sont les conséquences de la faillite d’Eurovita ?

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Le contexte de la faillite d’Eurovita

La faillite d’Eurovita, une compagnie d’assurance-vie italienne, a récemment fait les gros titres et suscité des inquiétudes chez les souscripteurs d’assurances vie en Europe. La société s’est retrouvée en difficulté financière suite à des problèmes de liquidités et de solvabilité, qui ont finalement conduit à sa mise en faillite. Cette situation soulève des questions sur la sécurité des fonds des assurés et la solidité du secteur de l’assurance-vie en général.

Les causes de la faillite

Plusieurs facteurs ont contribué à la faillite d’Eurovita, notamment :

  • Des erreurs de gestion : La compagnie aurait pris des décisions d’investissement risquées et mal gérées, ce qui a affecté ses finances.
  • Des taux d’intérêt bas : Le contexte économique actuel, marqué par des taux d’intérêt historiquement bas, a rendu difficile pour les assureurs de générer suffisamment de revenus pour couvrir leurs engagements envers les assurés.
  • Une régulation insuffisante : Certains experts estiment que la faillite d’Eurovita met en lumière la nécessité d’une meilleure régulation et supervision des compagnies d’assurance-vie.

Quelles conséquences pour les assurés ?

La faillite d’Eurovita a soulevé des inquiétudes chez les souscripteurs d’assurances vie, qui se demandent si leurs fonds sont en danger. Plusieurs points sont à prendre en compte :

Le cas spécifique d’Eurovita

Tout d’abord, il est important de souligner que le cas d’Eurovita est spécifique et ne représente pas nécessairement une tendance générale dans le secteur de l’assurance-vie. En effet, la plupart des compagnies d’assurance sont soumises à des régulations strictes et doivent respecter des critères de solvabilité afin de garantir la sécurité des fonds des assurés. La faillite d’Eurovita peut être considérée comme un événement isolé plutôt qu’un signe avant-coureur d’une crise généralisée du secteur.

Les mécanismes de protection des assurés

En cas de faillite d’une compagnie d’assurance-vie, plusieurs mécanismes existent pour protéger les intérêts des assurés :

  • La garantie des contrats d’assurance : Les contrats d’assurance-vie sont garantis par les actifs de la compagnie d’assurance, ce qui signifie que les fonds des assurés sont protégés même en cas de faillite.
  • Les Fonds de garantie : De nombreux pays ont mis en place des Fonds de garantie des assurances de personnes (FGAP), qui peuvent intervenir pour indemniser les assurés en cas de défaillance d’une compagnie d’assurance-vie. Ces fonds sont généralement financés par les cotisations des compagnies d’assurance elles-mêmes, garantissant ainsi une protection supplémentaire pour les assurés.
  • La reprise des contrats par une autre compagnie : En cas de faillite, les contrats d’assurance-vie peuvent être repris par une autre compagnie d’assurance, qui prend en charge les engagements de l’entreprise défaillante. Cette solution permet aux assurés de conserver leurs garanties et de poursuivre leur contrat avec un nouvel assureur.

Faut-il s’inquiéter pour son assurance-vie ?

Malgré la faillite d’Eurovita, il n’est pas nécessaire de céder à la panique concernant la sécurité de votre assurance-vie. En effet, les risques liés à la faillite d’une compagnie d’assurance-vie sont relativement limités, grâce aux mécanismes de protection mis en place pour protéger les intérêts des assurés. Toutefois, il est toujours important de rester vigilant et de suivre attentivement l’évolution du secteur de l’assurance-vie, afin de prendre les meilleures décisions pour sécuriser vos investissements.

Comment choisir son assurance-vie ?

Pour éviter les mauvaises surprises, voici quelques conseils pour bien choisir son assurance-vie :

  • Comparer les offres : Prenez le temps de comparer les différentes offres d’assurance-vie disponibles sur le marché, en tenant compte des frais, des garanties proposées et de la qualité du service.
  • Se renseigner sur l’assureur : Avant de souscrire un contrat d’assurance-vie, il est important de se renseigner sur la solidité financière et la réputation de la compagnie d’assurance concernée. Consultez les avis en ligne et les classements établis par les organismes spécialisés pour vous faire une idée de la fiabilité de l’assureur.
  • Diversifier ses placements : Pour limiter les risques, il peut être judicieux de diversifier vos investissements en souscrivant à plusieurs contrats d’assurance-vie auprès de différents assureurs, ou en optant pour des placements complémentaires tels que l’épargne-retraite ou l’investissement immobilier.

En conclusion, la faillite d’Eurovita ne doit pas être perçue comme une menace généralisée pour les assurés et leurs fonds en assurance-vie. Toutefois, cette situation rappelle l’importance d’être vigilant dans le choix de son assurance-vie et de suivre régulièrement l’évolution du secteur pour sécuriser au mieux ses investissements.

Assurance-vie : Comment transmettre votre patrimoine en toute sécurité ?

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Comment gérer l’assurance-vie dans le cadre d’une succession ?

L’assurance-vie est un outil de prévoyance permettant de constituer un capital ou une rente en faveur d’un bénéficiaire désigné. En cas de décès de l’assuré, le capital ou la rente est versé au bénéficiaire, qui peut être un proche ou un tiers.

Dans le cadre d’une succession, l’assurance-vie présente plusieurs avantages :

  • Le capital versé au bénéficiaire n’est pas soumis aux droits de succession, ce qui permet d’alléger la fiscalité globale de la transmission du patrimoine.
  • Le versement du capital est rapide, car il ne dépend pas des formalités liées à la succession.
  • Il est possible de désigner plusieurs bénéficiaires, qui peuvent se partager librement le capital ou la rente selon leurs besoins et leurs envies.

Fiscalité de l’assurance-vie en cas de succession

La fiscalité de l’assurance-vie en cas de succession est favorable, puisque le capital versé au(x) bénéficiaire(s) n’est pas soumis aux droits de succession traditionnels. Toutefois, il existe quelques exceptions :

  • Si les primes versées sur le contrat d’assurance-vie sont manifestement exagérées par rapport à la situation financière du souscripteur, elles peuvent être réintégrées dans l’actif successoral et soumises aux droits de succession.
  • Si le bénéficiaire est une personne morale (association, entreprise), les sommes versées sont soumises à l’impôt sur les sociétés ou aux impôts commerciaux.

Gérer les donations pour optimiser sa succession

Les donations permettent de transmettre de son vivant une partie de son patrimoine à ses héritiers. Elles constituent un moyen d’anticiper la transmission de son patrimoine et d’alléger la fiscalité successorale.

Il existe plusieurs types de donations :

  • La donation simple : elle consiste à donner un bien présent sans contrepartie.
  • La donation avec charge : elle oblige le donataire à remplir certaines conditions (par exemple, entretenir la propriété donnée).
  • La donation-partage : elle permet de partager de son vivant son patrimoine entre ses héritiers, en s’assurant que chacun reçoive une part équitable.

Fiscalité des donations

Les donations sont soumises à des droits de mutation à titre gratuit, qui varient selon le lien de parenté entre le donateur et le donataire, ainsi que la valeur du bien donné. Toutefois, il existe des abattements qui permettent de limiter l’imposition :

  • Un abattement de 100 000 € par enfant tous les 15 ans.
  • Un abattement de 31 865 € par petit-enfant tous les 15 ans.
  • Un abattement spécifique pour les donations en faveur d’un handicapé, même s’il n’est pas parent du donateur.

Il est également possible de bénéficier d’une réduction des droits de donation si le donateur a moins de 70 ans et si la donation est consentie en pleine propriété.

Bien anticiper sa succession avec l’assurance-vie et les donations

Pour réussir sa succession, il est essentiel de bien maîtriser les mécanismes de l’assurance-vie et des donations. En effet, ces outils permettent d’organiser la transmission de son patrimoine de manière optimale, en favorisant ses héritiers et en limitant la fiscalité. Il est donc recommandé de se faire accompagner par un professionnel (notaire, conseiller en gestion de patrimoine) pour mettre en place une stratégie successorale adaptée à ses objectifs et à sa situation personnelle.

Assurance vie ou Livret A : quel est le meilleur placement pour protéger votre épargne en 2023 ?

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Face à l’incertitude économique et les préoccupations entourant la fiabilité de certains établissements bancaires, il est essentiel de bien choisir entre l’assurance vie et le Livret A pour protéger et faire fructifier son épargne en 2023. Cet article vous aidera à prendre la meilleure décision pour sécuriser votre argent.

Le Fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR) : un filet de sécurité pour les épargnants

Pour rassurer les épargnants face aux potentiels scénarios catastrophes tels que les faillites bancaires, le FGDR couvre, pour partie, les pertes subies en cas de défaillance de votre banque. Cependant, il est important de souligner qu’il n’est pas question de contagion bancaire en France pour le moment.

Comment fonctionne le FGDR ?

  • Il indemnise les épargnants jusqu’à 100 000 € par titulaire et par établissement bancaire.
  • Il couvre les dépôts effectués sur les livrets réglementés, tels que le Livret A et le Livret de développement durable et solidaire (LDDS).
  • Il ne couvre pas les contrats d’assurance-vie en unités de compte, qui sont investis en actions, obligations ou autres placements financiers.

Assurance vie : un placement plus rémunérateur mais avec des risques

L’assurance vie est un produit d’épargne très prisé en raison de sa fiscalité avantageuse et de son potentiel de rendement supérieur au Livret A. Toutefois, il est important de bien choisir son contrat d’assurance vie en fonction de ses objectifs et de sa situation personnelle. Voici quelques critères à prendre en compte :

  • Type de support d’investissement : fonds en euros garantis ou unités de compte plus risquées
  • Frais de versement, de gestion et d’arbitrage
  • Conditions d’accès, notamment en termes de versements minimums
  • Qualité de la compagnie d’assurance et du gestionnaire de fonds

Les contrats d’assurance-vie luxembourgeois : une alternative sécurisée ?

Ces contrats offrent une protection accrue pour les épargnants grâce à la législation luxembourgeoise, qui impose la séparation des actifs de l’assureur et de ceux de l’épargnant. En cas de faillite de la compagnie d’assurance, les épargnants sont donc protégés. Cependant, ces contrats sont généralement réservés aux investisseurs avertis et nécessitent un ticket d’entrée élevé.

Livret A : sécurité et disponibilité de l’épargne, mais faible rendement

Le Livret A est un placement sûr et accessible à tous, avec une garantie totale des fonds déposés, une rémunération fixée par l’État et une exonération d’impôts sur les intérêts. Cependant, son taux de rémunération est actuellement assez faible (0,5 %) et ne permet pas toujours de faire face à l’inflation.

Comment optimiser son épargne avec le Livret A ?

  • Maintenir un solde suffisant pour couvrir ses dépenses courantes et imprévues
  • Diversifier son épargne en combinant le Livret A avec d’autres placements plus rémunérateurs, tels que l’assurance vie ou les comptes-titres

Conclusion : quel choix pour protéger votre épargne en 2023 ?

Pour sécuriser au mieux votre épargne en 2023, il est recommandé d’adopter une stratégie diversifiée. Le Livret A peut constituer la base de votre épargne de disponibilité, tandis que l’assurance vie, choisie avec soin en fonction de vos objectifs et de votre profil de risque, peut offrir un potentiel de rendement plus important. N’hésitez pas à consulter des comparateurs et des guides spécialisés pour vous aider dans votre choix.

Sources

L’encours de l’épargne règlementée atteint de nouveaux records en 2022

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L’encours des Livrets A et des Livrets de développement durable et solidaire (LDDS) pour 2022 a augmenté de 40 milliards d’euros, a annoncé lundi la Caisse des dépôts. La hausse s’explique par l’augmentation du taux de rémunération du Livret A, augmenté deux fois, qui se trouve désormais à 2 %. D’autant plus que ce taux passera à 3 % le 1er février 2023. Reste que ces réévaluations sont inférieures au niveau d’inflation qui continue de sévir en France. Continuer de lire

Les premiers rendements 2022 des fonds euros en assurance-vie sont publiés

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Plusieurs assureurs ont déjà annoncé des augmentations de la rémunération de leurs fonds euros en 2022. Il s’agit d’une rupture après une décennie marquée par des taux d’intérêt extrêmement bas. Pour autant, la chute des marchés financiers en 2022 ne permet pas aux compagnies de compenser l’inflation, ni même de concurrencer le Livret A. Continuer de lire

Fin d’année : comment calculer la rentabilité de ses contrats d’assurance vie ?

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L’assurance vie est un placement financier très populaire en France. Cependant, il est parfois difficile de savoir si l’on est rentable ou non avec ce type d’investissement. Avec la fin d’année, au moment de faire les comptes, il est normal de vouloir connaître le rendement de son assurance vie. Heureusement, il existe quelques astuces simples pour calculer sa rentabilité. Continuer de lire

Le livret A est-il plus attractif que l’assurance-vie ?

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Même s’il y a eu un volume record de revenus bruts au cours des sept premiers mois de l’année, qui a été enregistré depuis 2010, juillet a vu les résultats de l’assurance-vie devenir moins bons. Les épargnants ont été touchés par un environnement changeant qui a affecté leur épargne. Cela comprend une hausse des taux d’intérêt et une baisse des cours des actions. Cela pourrait remettre en cause la pérennité de l’assurance-vie dans un futur proche. Continuer de lire

Face à l’inflation, les français investissent dans le livret A !

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Les données de la Caisse des Dépôts publiées le 25 juillet indiquent que le Livret A présente un solde positif de 2,64 milliards d’euros. Il s’agit du solde le plus élevé depuis 2009, date à laquelle le compte de dépôt avait rassemblé 2,62 milliards d’euros. L’encours des dépôts s’élève à 362,5 milliards d’euros. L’une des principales raisons en est que le taux d’intérêt sur le Livret A a doublé, passant de 1 % à 2 % le 1er août 2022. Continuer de lire

Épargne salariale : un déblocage anticipé possible jusqu’au 31 décembre 2022

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Les sénateurs ont introduit un déblocage anticipé de la participation et de l’intéressement dans le projet de loi sur le pouvoir d’achat. Les salariés doivent en faire la demande au plus tard avant la fin d’année pour un montant n’excédant pas 10 000 €.

Jusqu’à 10 000 euros qui doivent être utilisé pour consommer

Cette mesure a été quelque peu passée sous silence, peut-être parce qu’elle n’a suscité aucune polémique. La commission sénatoriale des affaires sociales propose un déblocage anticipé de l’épargne salariale dans un projet de loi portant mesures d’urgence pour le pouvoir d’achat.

Le ministre du Travail Olivier Dussopt a souligné à l’entame des discussions au Palais du Luxembourg jeudi dernier que le texte a été “enrichi dans les commissions de l’Assemblée nationale et du Sénat” et que le gouvernement “ne souhaitait pas revenir sur plusieurs apports”, notamment le déblocage de l’épargne salariale. Durant le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, 2020, dans un contexte politique certes très différent, la sénatrice LR a tenté en vain de l’obtenir.

Dans le détail, l’intéressement et le produit de l’intéressement – ​​par opposition aux versements volontaires et éventuels abondements – peuvent être versés en un seul versement à la demande du bénéficiaire s’ils ne dépassent pas 10 000 € (17,2 % de prélèvement ensuite).

Une condition principale : affecter ces économies à « l’achat d’un ou plusieurs biens ou la fourniture d’un ou plusieurs services », en précisant l’amendement, ce dernier est destiné à soutenir le pouvoir d’achat des épargnants en période de très forte inflation (6,1 % en juillet selon l’INSEE). Le bénéficiaire doit conserver les pièces justificatives attestant de l’usage des sommes versées afin qu’elles puissent être fournies à l’administration fiscale si nécessaire.

A noter que tous les produits d’épargne salariale ne seront pas concernés. Les plans d’épargne retraite collectifs (Perco, Percol) et les fonds qui investissent dans des entreprises solidaires sont en effet exclus du dispositif.

L’exposé des motifs de l’amendement précise également que “la libération des fonds investis dans des titres de sociétés, des fonds communs de placement d’entreprises ou des sociétés d’investissement à capital variable sera régie par un accord collectif afin de ne pas altérer la capacité de l’entreprise à lever des fonds”.

Un dispositif déjà mis en place par le passé

Pour rappel, les versements effectués au PEE ou au PEI sont gelés pendant 5 ans minimum en échange d’une exonération d’impôt sur le revenu lors du retrait. Ainsi, si vous agissez entre la loi qui devrait être promulguée dans les prochains jours et le 31 décembre 2022, vous n’aurez pas à attendre cette échéance.

Ce n’est pas la première fois qu’un mécanisme précoce de déblocage de la participation et du partage des bénéfices est mis en place. Il y a eu des précédents en 1994, 1996, et dans un passé encore plus proche, en 2004.

Jacques Chirac l’a mis en place à l’époque, entraînant une augmentation de la consommation d’environ 2 milliards d’euros, soit moins du tiers des fonds débloqués. Le reste a été utilisé pour l’investissement dans le logement ou… transféré vers d’autres véhicules d’épargne.

Nicolas Sarkozy a aussi mis en place cette possibilité entre février et fin juin 2008 par une loi sur le pouvoir d’achat avec le même plafond que la mesure de cette année : 10 000 euros. Puis 6,5 milliards d’euros ont été débloqués. François Hollande l’a à nouveau utilisé entre juillet 2013 et décembre 2013, doublant le plafond à 20 000 euros. La mesure a moins bien réussi qu’espéré : seulement 2,2 milliards, bien en deçà des 4 milliards espérés par l’exécutif.

Livret A : une collecte importante au premier semestre 2022

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Le taux du Livret A va doubler à 2% à partir du 1er août et devrait encore monter l’an prochain, selon la Banque de France. Selon l’Observatoire BPCE, ce niveau de rendement devrait accélérer les arbitrages en France, favoriser les livrets réglementés au détriment des dépôts à vue, et ne pas concerner l’assurance-vie, alors que les taux d’épargne restent élevés. Continuer de lire

Le taux du livret A passera à 2% au mois d’août

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Bercy a soutenu la proposition du président de la Banque de France de doubler le taux du Livret A. François Villeroy de Galhau a laissé entendre mercredi que ce taux passerait à 2% à partir du 1er août, contre 1,5% actuellement et 0,5% en janvier dernier. Cette augmentation est justifiée par une accélération de l’inflation, qui aura également un impact sur d’autres produits d’épargne, dont le fonds d’assurance-vie en euros. Continuer de lire

La DeFi est-elle vraiment mieux que les banques traditionnelles ?

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Dans le monde des crypto-monnaies, il est devenu courant de se moquer des rendements que nous offrent les banques traditionnelles. Cependant, la comparaison semble parfois plus compliquée qu’il n’y paraît. Si le livret A rapporte des intérêts souvent décrits comme ridicules tandis que la Defi propose régulièrement des rendements à 2 chiffres, de nombreux inconvénients et dangers persistent. Continuer de lire

Les connaissances financières, la meilleure arme dans le contexte actuel

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Pour réussir financièrement, la connaissance est essentielle. Cependant, de nombreux européens et américains manquent de connaissances financières. Du montant que vous économisez à la dette que vous devez, nombreux peuvent être les points de friction surtout en période de crise comme nous avons vécu durant la pandémie de Covid ou depuis le début de l’année avec la guerre en Ukraine. Cette situation est difficile pour beaucoup. Continuer de lire

Comment investir alors que la guerre est aux portes de l’Europe ?

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Deux ans seulement après une baisse des marchés liée à la crise sanitaire, la Bourse a été frappée par les ondes de choc de la crise ukrainienne. Le 24 février, des affrontements ont éclaté entre l’Ukraine et la Fédération de Russie lorsque les troupes russes sont entrées sur le territoire ukrainien. L’Europe et les États-Unis ne se sont pas engagés militairement, mais ont déployé des sanctions économiques sévères en réponse aux actions militaires du gouvernement russe. Quel impact sur l’épargne et l’investissement des particuliers ? Continuer de lire

Hausse du taux d’épargne

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Comme chaque trimestre, les montants des flux d’épargne financière des Français sont publiés par la Banque de France. D’après les derniers résultats, un nouveau record a été enregistré. Ceci correspond  à une montée de 21.7%. Cette augmentation a sans doute été causée par l’assurance-vie qui intéresse de plus en plus des particuliers.

Une montée du taux d’épargne sur presque tous les pays

Au cours du premier trimestre 2021, L’Hexagone connaît une forte progression en ce qui concerne le taux d’épargne financière. Il en est de même pour l’Italie et l’Espagne. Pourtant, cette montée reste inférieure à celle du trimestre précédent. Par contre, pour l’Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis, l’augmentation du taux d’épargne a été progressive. Celle-ci démontre donc que les particuliers préfèrent épargner, malgré la crise économique causée par la pandémie Covid-19.

D’après les résultats publiés par la Banque de France, le taux d’épargne financière atteint les 12,9% qui demeurent être un haut historique.

Une augmentation historique du taux d’épargne

Au cours du premier trimestre de l’année 2021, les particuliers épargnent jusqu’à 5,1 Mds de plus que le taux d’épargne des mois précédents. Cela a sans doute été causé par les mesures imposées par l’État pendant les confinements successifs. À l’heure actuelle où la plupart des secteurs sortent de la crise, les ménages ont désormais la capacité de mettre de côté une grosse somme d’argent.

La préférence des ménages pour conserver leur épargne

En principe, les particuliers décident de déposer leur argent sur les dépôts à vue ainsi que les livrets d’épargne réglementée. Ils décident de ne plus opter pour les autres  livrets. Pareillement, les flux d’actifs se présentant sous forme de produits de fonds propres profitent également d’une montée.

Ainsi, l’assurance-vie en unités de comptes commence à gagner du terrain. Le nombre de souscriptions des particuliers à cette solution augmente de plus en plus. Si de nombreuses personnes décident de souscrire à une assurance-vie, c’est grâce aux offres que celle-ci permet actuellement d’offrir.

Source France Transactions

Épargne : gagner davantage et sans risque sans Livret A

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Le Livret A est un placement  spécialement connu pour épargner sans être exposé à aucun risque. À savoir que d’autres solutions existent. Celles-ci vous offrent le privilège d’épargner en toute sûreté. LEP, Livret Jeune, fonds d’euros de l’assurance-vie, voici les solutions qui sont actuellement à disposition.

Le LEP

Le LEP ou le Livret d’Épargne Populaire s’agit d’une solution spécifiquement réglementée. Il présente un taux d’intérêt assez intéressant qui est de 1% net d’impôt. Ceci est bien évidemment le double du livret A ainsi que celui de développement durable et solidaire. Le LEP dispose d’un plafond de 7 700 euros qui est faible par rapport au 22 950 euros du livret A. Il n’est donc pas destiné pour ceux qui veulent épargner grand. Aussi, un plafond de ressources doit être respecté. Il est important de savoir le montant précis.

Le Livret jeune

Comme son nom le laisse clairement entendre, son usage est pratiquement réservé aux jeunes. Ceci consiste à un livret réglementé. Il n’y a donc aucun risque sur son usage. Ce qui est intéressant avec le Livret jeune, c’est que le taux d’intérêt n’est pas le même pour toutes les banques. Ceci est de 0.50% à la Société Générale si chez Mileis, ce taux est à 2,5%. À la  BNP Paribas, le taux d’intérêt est de 1%. Il en est de même pour LCL ou la Banque HSBC. Pour ce qui est du plafond de dépôt, ceci est de 1 600 euros.

Les fonds euros de l’assurance vie

Il  est entièrement possible d’épargner par le biais des fonds euros de l’assurance vie. L’argent s’économise en le déposant sur des unités de compte qui sont non garanties. Ceci peut se placer sur des fonds euros qui profitent d’une garantie en capital. C’est la meilleure solution pour protéger le patrimoine de l’assuré. Un taux de rendement intéressant est en place pour ces fonds euros de l’assurance vie. Pourtant, il est d’une grande importance de trouver les meilleurs contrats d’assurance vie.

Source Ouest-france

Assurance vie : Commencer à investir quand on est encore jeune

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Quand il s’agit d’assurance vie, il est toujours important de commencer plus tôt. Sachez que contrairement aux autres assurances, celle-ci s’adapte à tous les âges et surtout à tous les projets. Mais, à 20 ou à 25 ans, vous ne savez pas par où commencer ? Où placer vos premières économies ?

Différente solution pour épargner vos économies

Actuellement, les assureurs vous proposent différentes solutions afin de vous aider à placer vos économies. Certains vous proposent de miser sur l’achat d’un appartement et d’autres vous incitent à opter pour un contrat d’assurance vie. Vous pouvez même épargner votre économie grâce à l’ouverture d’un livret jeune ou un livret A. Mais, comment choisir ? Commencez à vous former, à comprendre les différents types d’actifs, d’investissement afin de démarrer une fois prêt. Une assurance vie vous offre la possibilité de valoriser votre capital.

Les livrets d’épargne

Les livrets d’épargne sont considérés comme les meilleures solutions quand on est encore jeune. Et si vous avez un petit salaire, on vous conseille de vous investir dans cette solution d’épargne pour votre assurance vie. Le fait d’opter pour cette solution vous permet de constituer une somme d’argent disponible rapidement. C’est une solution qui est sans risque. De plus, elle n’a pas besoin de frais d’ouverture. De plus, les livrets vous permettent un retrait d’argent du jour au lendemain par simple virement. Grâce à ces livrets, vous aurez la chance de conserver au minimum deux à trois mois de salaire, que vous puissiez miser sur votre compte courant ou votre livret A.

Éviter l’achat d’un appartement.

Si vous avez décidé de miser sur l’achat d’un appartement, on vous conseille de réaliser quelques études avant d’opter pour cette solution. C’est une décision qui n’est pas adaptée à un jeune qui envisage de voyager ou de changer de région tous les deux ans. Votre travail pourrait vous amener à vivre dans une autre région. Si vous souhaitez acheter un logement, vous devez déjà savoir ce que vous allez en faire d’ici quelques années. Cela est dans le but d’éviter de revendre votre maison ou votre bien.

Qu’est-ce que le capital d’une assurance vie ?

D’une manière générale, le capital d’une assurance-vie n’est autre que le total des sommes versées sur un contrat d’assurance ajoutée des intérêts nets produits pendant la durée du contrat. Souscrire une assurance-vie permet à l’épargnant de poursuivre divers objectifs parce qu’elle permet de produire des revenus complémentaires en vue de la retraite ou d’une transmission de fonds en cas de décès. Il s’avère que l’assurance-vie est un moyen qui permet de se constituer un capital sur le moyen ou long terme.

Quelle est la différence entre assurance capital décès et une assurance-vie ?

Ces deux types d’assurances poursuivent des objectifs disparates. La première chose à comprendre c’est que les deux assurances sont totalement différentes et cela crée souvent la confusion.

L’assurance vie capital décès

L’assurance vie capital décès ou assurance décès est un moyen de prévoyance en cas de décès de l’épargnant. L’assurance vie capital décès permet de protéger les proches de l’épargnant en cas de décès et non un outil de prévoyance décès. De cette façon, ce type d’assurance permet de créer une richesse sous forme d’un capital ou d’une rente aux héritiers du défunt.

L’assurance vie entière

L’assurance vie entière concerne un placement financier sans clause en cas de décès. De cette façon, l’assurance vie se transforme en un produit d’épargne. En d’autres termes, il s’agit d’un produit de placement sur lequel il est autorisé d’épargner un capital pour le faire fructifier. Son but étant de se constituer un capital sous forme d’épargne pour sécuriser l’épargnant au terme du contrat afin qu’il puisse fiancer des projets personnels ou réaliser un revenu complémentaire.

Qui peut bénéficier du capital dans le cas d’une assurance vie entière ?

Les bénéficiaires du capital d’une assurance vie entière dépendent de la durée du contrat.
Lorsque le contrat est convenu selon un terme fixe précis, le bénéficiaire du capital doit aussi y être précisé par le souscripteur ; dans ce cas le bénéficiaire est préalablement choisi par le souscripteur lui-même.

Lorsque le contrat arrive à son terme et que l’assuré soit encore vivant, le bénéficiaire reste l’assuré lui-même. Toutefois, si l’assuré décède avant les termes du contrat, le bénéficiaire sera celui indiqué dans le contrat d’assurance-vie de son vivant, cela peut être le souscripteur lui-même, le partenaire, les descendants, les frères et sœurs, une personne convenante.

En outre, lorsque le contrat a été consenti pour une durée fixe, prorogeable ou durée viagère, l’assuré est libre de récupérer partiellement le capital ou sa totalité à n’importe quel moment. L’épargnant est également libre de laisser fructifier le capital jusqu’à son décès en vue d’une transmission de capital et de bénéficier des réductions d’impôts.

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Qu'est-ce que le capital d'une assurance vie ?

Quels sont les avantages de récupérer le capital en plusieurs fois ?

Mis à part le fait de disposer des revenus réguliers, il est avéré que le fait de retirer le capital épargné en plusieurs fois présente de nombreux avantages pour le bénéficiaire.

D’abord, cela permet au bénéficiaire d’échapper au paiement des frais relatifs au réinvestissement immobilier ou financier ; ensuite, le solde sur le contrat continue d’augmenter. Après, l’assuré continue de profiter des avantages de défiscalisation sur le solde disponible dur le contrat d’assurance vie.

Si la périodicité des retraits s’étale pendant huit ans, l’assuré peut bénéficier d’un abattement d’impôts à raison de 4600 à 9200 euros sur les retraits.

Comment récupérer le capital d’un contrat d’assurance vie en cas de décès de l’assuré ?

La clôture d’une assurance vie se fait automatiquement en cas de décès de l’assuré. Pour pouvoir réclamer le capital épargné par le défunt, les bénéficiaires peuvent retirer leurs parts en se présentant auprès de la compagnie d’assurance dans les 10 ans suivant la date de décès de l’assuré. Cependant, l’article 114 du code des assurances stipule que passé ce délai, cela peut être prolongé si les bénéficiaires n’ont pas su l’existence de cette assurance à condition de prouver cette méconnaissance.

Pour pouvoir toucher plus rapidement le capital-décès, le ou les bénéficiaires choisis par l’assuré indiqués dans le contrat doivent se faire connaître auprès de l’assureur en se munissant d’un dossier complet selon les exigences de ce dernier. Il est également très important de fournir une pièce justifiant le décès de l’assuré puisque sans acte de décès, aucun versement ou retrait n’aura lieu.

Un mois après la réception du dossier requis par la compagnie d’assurance, avec accusé de réception à l’appui, elle dispose d’un délai d’un mois au maximum pour effectuer le versement aux bénéficiaires. À défaut de respect de délai, l’article 123 du code des assurances oblige l’assureur à verser des intérêts de retard aux bénéficiaires dont le taux équivaut au double du taux d’intérêt appliqué pendant les deux derniers mois du placement. Le taux d’intérêt de retard est triplé si le non-respect de délai se prolonge encore à trois mois.

Assurance vie : la fiabilité des fonds en euros tient-elle toujours ?

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En termes d’investissement, l’assurance est l’une des alternatives qui séduisent le plus aux épargnants français. Lors de la souscription à une assurance vie, les souscripteurs ont le choix entre le placement de leur épargne en fonds en euros ou en unités de compte. Les fonds en euros offrent l’avantage de la garantie du capital initial et des intérêts, peu importe la tournure des évènements sur le plan économique et financier.

D’un autre côté, les unités de comptes présentent plus de risques, car il s’agit d’investir sur les marchés boursiers (actions ou obligations) ou des fonds de placement immobilier tels que les SCPI, OPCI, etc. Les montants placés comme investissements sont alors convertis en unités de compte (UC). Les risques existent, car la garantie mise en place par les assureurs privilégie le nombre d’unités de compte et non la valeur, car cette dernière peut varier en fonction de la fluctuation des machés financiers ou de l’immobilier. Les UC peuvent offrir un rendement considérablement plus élevé aux assurés près à braver les risques concernant la perte de capital en cas d’effondrement des marchés.
Maintenant, face à la crise sanitaire actuelle, les marchés boursiers sont en déclin et une grande partie des assurés se demandent s’il aurait été plus prudent d’avoir choisi un contrat en fonds en euros.

Les assurés ont été encouragés à investir en unités de compte

Le président de Generali annonçait vers la deuxième moitié de l’année 2019 :

Le modèle de la sécurité absolue, de la liquidité permanente, de la garantie totale et à tout instant du capital, qui est, finalement, une réplication du modèle du Livret A, qui est à bout de souffle. Le monde du fonds euros roi est terminé !

Dans les faits, les assureurs encourageaient les épargnants à souscrire à un contrat d’assurance vie en unités de compte, comportant des risques, mais au rendement plus rentable, plutôt que de choisir les fonds en euros. L’initiative visait à générer un meilleur rendement pour les assureurs afin de pouvoir améliorer la rémunération des épargnants. Cependant, la tournure des évènements récents aura eu raison des perspectives escomptées.

Le déclin des contrats en unités de compte depuis le début de la crise sanitaire

L’amplification de la propagation du virus Covid-19 et les mesures prises au niveau international quant au confinement ont eu des répercussions considérables sur l’économie. Les rendements des différents livrets d’épargnes tels que le livret A ou le LDDS (livret de développement durable et solidaire) ont baissé de manière conséquente. La crise a également touché d’autres produits financiers tels que l’assurance vie en unités de compte qui était censée être l’alternative la plus rentable pour les assurés. Si les versements en unités de compte ont atteint les 23 milliards d’euros durant la première moitié de l’année 2019, l’investissement en UC connait aujourd’hui une période de vache maigre en raison de la dégringolade des marchés boursiers et une baisse non négligeable au niveau des marchés immobiliers.

Si l’on se réfère aux chiffres les plus récents, on a pu observer la perte de plus de 30 % du CAC 40 en un trimestre depuis le début de l’année. Cette instabilité du marché accentue les risques encourus par les assurés qui ont choisi des contrats en unités de compte. Le doute commence à s’installer dans les esprits et de plus en plus de personnes se demandent s’il n’aurait pas mieux valu se fier aux fonds en euros. Dans un même temps, une partie des assureurs et des experts continuent de soutenir l’idée que les marchés boursiers vont inévitablement remonter au terme de la crise et que les rendements liés aux unités de comptes resteront « la rémunération la plus rentable » pour l’assuré.

La stabilité des fonds en euros malgré un rendement en baisse

D’un côté, les assurances vie en unités de compte sont dans une mauvaise passe, mais cela ne signifie pas que les fonds en euros ne sont pas concernés par les répercussions de la crise liée au coronavirus. En effet, le rendement des fonds en euros a commencé à baisser depuis quelque temps, avant même l’entrée en confinement du pays. Si le rendement était de 1,8 % en 2018, cette valeur est descendue à 1,4 % en 2019. Cette année, l’éventuelle nouvelle diminution du rendement des fonds en euros est à considérer. Cela n’est pas une raison de s’alarmer, car bien que le rendement soit faible, les placements de fonds en euros d’une partie ou de la totalité du capital restent une alternative visiblement sans danger. Les mécanismes de garanties liées à ce placement permettent de sécuriser l’investissement, quelle que soit la tournure des évènements sur le plan économique et financier. D’un point de vue plus élargi, cette solution est, pour le moment, plus rentable en comparaison avec d’autres produits d’épargne tels que le LDDS ou le livret A dont la rémunération de l’épargnant est tombée à une valeur de 0,5 %.

Une solution alternative

Les avis des experts divergent en ce qui concerne le choix entre les fonds en euros et les unités de comptes. Les unités de comptes présentent des risques réels et observables bien qu’ils soient calculables, profitables et gérables. La solution du contrat multi-plate-forme semble être la plus intéressante, car le souscripteur peut placer son capital dans les deux supports disponibles. Le déposant a la possibilité de gérer la répartition de son approvisionnement. Il peut par exemple décider de placer 75 % de son capital en fonds euros et les 25 % restants sur des investissements en unités de compte. Cette solution permet aussi d’être exonéré de l’impôt sur les plus-values au bout de huit ans de contrat. Il s’agit ainsi d’un moyen de placer son argent sans délaisser les fonds en euros tout en tentant d’améliorer le rendement avec des investissements en unités de compte. Il est cependant conseillé de bien négocier les frais d’entrée, de considérer les frais d’arbitrage et de s’assurer de la possibilité d’arbitrer à tout moment.

L’assurance vie peut-elle aider en période de crise sanitaire ?

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Les retombées de la crise sanitaire engendrée par la propagation du coronavirus se font sentir à différents niveaux. Si la majorité des Français se sont mis à épargner plus qu’ils ne consomment, certaines entreprises font face à des problèmes financiers relativement difficiles à surmonter. Chaque entreprise essaie de trouver différentes solutions pour renflouer la trésorerie et survivre jusqu’à la fin de la période de confinement. En effet, plusieurs revendeurs, ou autres PME doivent faire face aux charges de la société en raison de la fermeture des magasins et ateliers. Malgré l’augmentation du nombre de collectes de certains produits d’épargne, certaines personnes se retrouvent dans l’impossibilité de remédier à leurs difficultés financières. La question qui se pose est alors : peut-on se reposer sur son assurance vie dans les cas d’extrême urgence ?

L’assurance vie peut être utilisée en cas de force majeure

L’histoire d’un entrepreneur dont l’entreprise est en difficulté financière a été relatée sur l’émission radio « Club de confinés » de RTL. Le dénommé « Pascal », de Besançon, dans le Doubs, a tenté de débloquer environ 50 000 € des fonds de son assurance vie pour renflouer la trésorerie de sa petite franchise d’ameublement. En règle générale, il est tout à fait possible d’exiger un rachat partiel de son assurance vie dans un délai de 8 à 10 jours. La tournure des évènements actuelle pourrait interférer sur cette période d’attente en raison des dispositions prises au sein des institutions concernées face aux obligations de confinement des employés. Durant l’émission, le maître Noachovitch affirme que selon l’article L132-23 du Code des assurances, il est possible de « demander une avance » sans avoir à aller au terme du contrat d’assurance vie. L’avocate continue en précisant qu’il « s’agit d’un prêt consenti par l’assureur qui ne pourra l’accorder que si le contrat comprend une valeur de rachat, c’est-à-dire la valeur de remboursement du capital en cas de dénouement anticipé du contrat ». Ainsi, l’information importante à retenir est le fait qu’il faut que le contrat d’assurance vie comprenne une valeur de rachat. Les personnes détenant des contrats compatibles avec cette condition peuvent légalement demander un rachat de leur placement de manière anticipée. Le choix d’un rachat anticipé soulève cependant la question de la rentabilité d’une telle action.

Les unités de compte sont fragilisées depuis le début de la crise du coronavirus

L’assurance vie correspond à un placement de long terme. Les durées de détentions longues suivies d’un abattement sur les gains réalisés (4 600 € pour une personne seule et 9 200 € pour un couple à imposition commune) au terme de 8 ans de contrat, sont encouragées par la fiscalité de l’assurance vie. Cependant, en cette période difficile pour l’économie française, les unités de comptes (UC) connaissent des pertes importantes. Le président de la Faider (la Fédération des associations indépendantes de défense des épargnants pour la retraite), Guillaume Prache a déjà tenté de mettre les épargnants en garde :

Dès le mois de décembre 2019, nous disions qu’il fallait faire attention avant de pousser les épargnants à basculer des fonds euros vers les unités de compte.

En effet, en l’espace d’un mois, du 20 février au 20 mars 2020, le CAC 40 qui se cotait à environ 6 100 points se retrouve actuellement à 4 066 points. L’indice du CAC 40 de 26,37 % en 2019 a connu un recul de près de 37,5 % à la date du 20 mars dernier. Malgré l’avertissement du président de Faider, un grand nombre de personnes se seraient tournées vers un contrat d’assurance vie en unité de compte en dépit des risques que cela pourrait représenter pour leur investissement. Effectivement, il aurait été plus avantageux pour les épargnants de ne pas avoir troqué leurs contrats de fonds en euros pour les unités de compte dont la rentabilité dépend des actions, de l’immobilier (SCPI, OPCI), des obligations. Dans les faits, le fonds en euros est moins risqué si l’on ne considère que le fait que le capital soit garanti.

Que faut-il faire pour limiter les pertes et pouvoir bénéficier au maximum de son assurance vie en cas de difficulté ?

Le plus important est d’essayer de diversifier les placements en ce qui concerne l’assurance vie pour limiter les risques. Avant de se décider à vendre des unités de compte, il est indispensable de bien s’informer sur l’évolution future que pourrait prendre la situation. Il faut regarder de près la répartition des investissements par rapport à la situation personnelle et financière du concerné. En effet, un pourcentage minimum de supports risqués à conserver dans les contrats existe :

l’épargnant a la possibilité de mettre la partie en unités de compte sur le fonds euros, mais en respectant souvent un minimum de 25 % en UC

explique François Carlier, délégué général de l’association de consommateurs CLCV. Selon lui, « Les unités de compte que vous conserverez doivent être les plus sécurisées comme les fonds obligataires par exemple » pour atténuer les dégâts.

Toujours selon l’article L.132-5-1 du Code des assurances, l’épargnant qui vient de souscrire à un contrat d’assurance vie en unités de compte a le droit de se rétracter dans un délai de 30 jours à partir de la date de signature du contrat. Pour ce faire, le concerné doit faire part de son désir de se rétracter auprès de son assureur en envoyant une lettre recommandée ou un recommandé électronique avec une demande d’avis de réception. Il faut cependant faire très attention à ce qui sera mentionné dans la lettre, car la différence entre un rachat du contrat et la renonciation peut prêter à confusion. Les répercussions d’une telle erreur pourraient être d’envergure pour l’assuré, car ce sera à lui d’endosser toutes les pertes.

En conclusion, les assurés ont le droit de mettre un terme à leur contrat d’assurance vie de manière anticipée pour racheter leur placement en totalité ou en partie. Cette mesure n’est cependant pas conseillée, car l’épargnant se retrouve perdant à tous les coups.

Contrats d’assurance vie en SCPI Scellier

Des contrats d’assurance vie peuvent-ils être adossés à des SCPI Loi Scellier ?

Non, c’est impossible pour la simple raison que la réduction Scellier n’est envisageable que si les revenus émanant des SCPI Scellier sont imposés comme des revenus fonciers, ce qui est impossible dans le cadre de la fiscalité de l’assurance vie. En revanche, il est possible d’acquérir des parts de SCPI Scellier via une SCI ou bien une SCPI.

SCPI de rendement

Pour rappel, il existe plusieurs types de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier).
Des SCPI de rendement, de valorisation et fiscales dont voici les noms :

  • SCPI « Malraux »
  • SCPI « Méhaignerie »
  • SCPI « Robien »
  • SCPI « Duflot »
  • SCPI « Pinel »
  • et bien sûr celle citée : SCPI « Scellier »